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Les éponges marines à la rescousse de l’humain

Des scientifiques australiens viennent de faire une découverte pour le moins étonnante.

 

Pendant cinq ans, ils ont étudié la séquence génétique des éponges marines de la grande barrière de corail. Ils ont constaté qu’une espèce partageait un nombre important de gènes avec l’humain.

Bien que l’on sache depuis très longtemps que l’homme descend du singe, nous apprenons maintenant qu’une espèce d’éponge de mer partage 70 % de nos gènes, y compris ceux liés au cancer.

Cette découverte permettrait de faire avancer la recherche sur le cancer et les cellules souches. « Cela pourrait nous informer sur la manière dont nous appréhendons nos propres cellules souches et dont nous pourrions les utiliser pour de futures applications médicales », explique le chercheur de l’Université de Queensland, Bernard Degnan.

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Le cheval à la rescousse des humains

Une nouvelle étude publiée dans le magazine Science pourrait aider les médecins à comprendre comment le virus de la grippe contourne les effets des vaccins et arrive à se propager sans problème.

Étant donné que la manière de vacciner les humains est trop variable, on a étudié des poneys vaccinés ou non.

Il est à noter que depuis 1950, les chevaux, surtout ceux de course, sont aussi vaccinés contre la grippe et les résultats obtenus sont assez intéressants pour aider les spécialistes à développer une vaccination optimale dans le futur.

On a suivi les changements des acides aminés produits dans une protéine de la grippe. C’est d’ailleurs ce qui permet au virus de déjouer le système immunitaire.

Chez les chevaux, on a noté que plus il y avait une différence entre les souches vaccinales et virales, plus il y avait de chance que l’animal soit infecté et contagieux. Cela influençait même la durée de la période de contagion.

Ces nouveaux résultats seront donc analysés en profondeur afin de voir s’il est possible de mieux organiser les stratégies de vaccination et mieux protéger la population contre le virus.

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Les moustiques à la rescousse des humains

Le moustique transmetteur du paludisme, communément appelé malaria, pourrait servir dans la recherche pour combattre la maladie.

Selon une étude publiée dans le magazine Science, des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale ont découvert que la modification d’un seul gène, le TEP1, affecte la résistance du moustique à l’infection.

L’étude a porté sur le moustique Anopheles gambiae, le principal transmetteur de la malaria en Afrique. On a analysé sa résistance au parasite et on a découvert que son gène TEP1 était différent de celui des autres espèces.

Cela pourrait donc mener à des programmes plus efficaces pour enrayer cette affection qui touche 250 millions de personnes par année et fait un million de morts, surtout en Afrique.