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Des jeunes de plus en plus stressés et fatigués

Top Santé rapporte quelques statistiques étonnantes et inquiétantes concernant la jeune relève de l’humanité, alors qu’une étude-sondage française dresse un sombre portrait de la santé mentale chez les 20-35 ans.

D’abord en termes de stress et de fatigue, alors que plus de 50 % des jeunes répondants à l’étude affirment « subir un stress élevé », et que plus de 40 % avouent ressentir de l’épuisement ou de la fatigue découlant d’un trouble du sommeil (insomnie, cauchemars, réveils fréquents, etc.).

Étonnant, si l’on considère que ces statistiques semblent fondre de moitié chez les répondants plus âgés…

Pire encore, il semble qu’une personne âgée entre 20 et 34 ans sur trois souffre de problème de dépression ou de troubles de l’humeur. Ces symptômes psychologiques mènent finalement près de 60 % des jeunes à surconsommer de l’alcool, toujours selon les résultats de l’étude effectuée en France.

Bien qu’il s’agisse d’un phénomène qu’on pouvait déjà ressentir, constater de tels résultats suite à une étude du genre a de quoi inquiéter.

Aucune réponse quant aux raisons qui expliquent ce phénomène n’est avancée ici, mais les chercheurs devront certainement se pencher sur les causes de cet inquiétant portrait de la santé mentale de la jeune génération, afin d’en trouver les solutions.

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La modération a bien meilleur goût, même dans le sport

Le professeur et pédiatre Richard Bélanger souhaite sensibiliser les amateurs de sport au phénomène de surentraînement, rapporte Radio-Canada, notamment chez les jeunes.

Le Dr Bélanger indique que même s’il est fantastique et hautement bénéfique de s’intéresser au sport et de pratiquer des activités physiques, il est tout aussi important de savoir tracer une ligne et d’éviter d’en faire trop.

Pour étayer ses propos, le spécialiste s’est allié à des chercheurs de l’Université de Genève et de l’Université de Suisse pour mener à bien une étude sur le sujet. L’équipe a donc analysé les cas de 1245 jeunes individus, âgés de 16 à 20 ans.

En observant différents facteurs et différentes réactions chez les sujets de l’étude, Bélanger et ses collègues ont déduit que la « norme » de temps accordé aux activités physiques devrait s’établir à 7 heures par semaine.

En dépassant ce nombre, il semble que plusieurs problèmes puissent survenir, à savoir du surmenage, des troubles de l’humeur, des symptômes dépressifs et du stress.

Comme quoi la modération a bien meilleur goût, même dans le sport!

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La dépression affecterait directement les cellules

Une nouvelle étude hollandaise révèle que les cellules sont directement affectées à la suite d’une dépression nerveuse, rapporte le Daily Mail (UK).

Les chercheurs affectés à cette nouvelle recherche ont observé les transformations observables sur les structures cellulaires appelées télomères, et les impacts subséquents sur la santé et l’organisme des individus découlant de la dépression.

L’équipe hollandaise conclut que la dépression ne fait pas que laisser des traces sur le plan psychologique, mais qu’elle contribue au vieillissement prématuré des cellules, et donc du corps.

L’étude, qui analysait plus de 2400 cas, remarque une accélération du processus de vieillissement des cellules, ce qui pourrait se traduire par une moyenne de quatre à six ans.

Les résultats de cette recherche, par ailleurs publiée dans le magazine Molecular Psychiatry, amènent les spécialistes à s’inquiéter du phénomène, et ils rappellent qu’il est important d’être vigilant afin d’éviter de sombrer dans une dépression.

Une surcharge de travail, une mauvaise alimentation, un manque de luminosité, une épreuve difficile ou des troubles du sommeil, entre autres, sont autant de facteurs qui peuvent mener à la dépression. On suggère d’être à l’écoute de son corps et de ses besoins, et de ne pas hésiter à consulter lors de l’apparition des premiers symptômes d’une dépression ou de troubles de l’humeur.

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Une étude vante les mérites de la conscience contre les effets du vieillissement

Tout le monde doit maintenant savoir qu’un régime alimentaire équilibré ainsi qu’un programme d’exercice physique régulier permettent d’afficher une meilleure mine, une meilleure taille et une meilleure santé en général.  

Mais une nouvelle étude vient ajouter un troisième volet, souvent négligé, à cette quête de santé et de prévention des effets du vieillissement. Il s’agit du soin de la conscience et de l’esprit, par des moyens comme la méditation, par exemple.

Surmonter et éviter le stress quotidien, l’angoisse et les appréhensions de l’avenir seraient donc des facteurs aussi importants que l’alimentation et l’exercice physique, selon Santé Log, qui rapporte les conclusions d’une équipe de chercheurs présentées lors de Conférence Neuroscience 2013.

Les spécialistes impliqués dans l’étude ont observé l’impact de différentes actions et mesures sur la santé de rongeurs, et ont pu vérifier l’importance des émotions et de la bonne santé de l’esprit sur les effets du vieillissement.

Bien qu’un régime faible en calories et un style de vie actif ont également clairement démontré leurs effets bienfaiteurs sur la santé et contre le vieillissement lors de l’étude, l’équipe de chercheurs croit qu’il est maintenant temps d’accorder autant d’importance à l’humeur et à la gestion du stress, en cette ère moderne.

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Les adolescents aussi souffrent des blues de l’hiver

Le trouble affectif saisonnier (TAS), aussi appelé dépression saisonnière, survient apparemment plus fréquemment auprès des femmes. Mais il affecte aussi les plus jeunes. Dans certains cas, comme l’indique SheKnows, l’affection peut-être invalidante.

Les jeunes filles, plus particulièrement, sont à surveiller. Si l’un des parents est dépressif ou souffre lui-même du TAS, le risque est d’autant plus élevé. Soyez donc plus attentif si c’est le cas chez vous, dès que les journées sont plus courtes et, donc, que la luminosité diminue.

Les signes du TAS sont similaires à ceux de la dépression, mais ils reviennent en boucle à la fin de l’automne, début de l’hiver. Ce sont les changements drastiques d’humeur, d’habitudes alimentaires et de troubles du sommeil qui sont à surveiller, ainsi que la chute de résultats scolaires.

La première étape est la discussion avec votre ado. Soyez ouvert, à l’écoute. Si de l’aide d’un spécialiste est nécessaire, allez-y ensemble et, surtout, aidez votre enfant à trouver les réponses à ses questions.

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Facebook peut s’avérer néfaste pour les femmes célibataires

Une spécialiste des relations, mademoiselle Zoe Strimpel, lance un sérieux avertissement aux personnes seules qui utilisent Facebook de façon quotidienne, et spécialement les femmes, rapporte le Daily Mail (UK).

C’est que selon Strimpel, les nombreuses images de bonheur presque hollywoodien sur Facebook peuvent s’avérer néfastes pour la santé psychologique en minant progressivement le bonheur et l’humeur.

L’envie, le voyeurisme, l’apitoiement et les idées noires sont des réactions ou des symptômes qui peuvent ensuite apparaître chez les personnes qui ne sont pas en phase avec leur situation.

En somme, la spécialiste croit que les nombreuses représentations de mignons bébés et de mariages heureux, entre autres, tendent à envoyer le message que le célibat est un problème, une « lacune ».

Strimpel n’y va pas de main morte en suggérant carrément de se débarrasser de son compte Facebook, lors d’une conférence présentée récemment.

Pour la spécialiste, Facebook est porteur de messages souvent négatifs, narcissiques, faux, et les informations proposées sont souvent carrément inutiles à l’expansion du bonheur et au mieux-être de l’humain.

Si on réfléchit un instant, il devient difficile de la contredire.

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Les gauchers plus à risque de développer des troubles comme la schizophrénie

Les personnes qui écrivent de la main gauche sont-elles plus à risque de développer certains problèmes de santé mentale ou neurologiques, comme la schizophrénie?

C’est ce qu’avance une nouvelle étude sur le sujet rapportée par Top Santé, qui fait état des variations qui s’opèrent au cerveau des gauchers. Celles-ci pourraient paver la voie au développement de maladies comme la schizophrénie, par exemple.

L’étude américaine, parue dans l’édition d’octobre de SAGE Open, analysait les données et réactions observables chez 107 patients. Elle trace un parallèle entre le fait d’être gaucher et les risques de schizophrénie.

« Le cerveau humain se développe de façon asymétrique, de sorte que certains processus cognitifs surviennent principalement du côté gauche ou droit. Il a été suggéré que les variations de cette latéralité contribuent à certaines formes de maladies mentales, comme la schizophrénie », résument les chercheurs américains.

Seule bonne nouvelle, ces mêmes gauchers seraient moins sujets aux troubles de l’humeur et de la santé psychologique, comme la dépression.

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Les problèmes liés au retour à l’heure normale

C’est déjà le retour de ce moment où chaque personne effectuera presque simultanément un même geste simple, mais fort important : changer d’heure.

C’est le dimanche 3 novembre à 3 :00 AM, donc dans la nuit de samedi à dimanche, que nous devrons revenir à l’heure dite « normale », et ainsi reculer de 60 minutes horloges et cadrans.

Mais selon Top Santé, plusieurs problèmes liés à ce changement peuvent survenir, peu importe l’âge.

Les enfants peuvent sembler de moins bonne humeur le matin, par exemple, ce simple changement d’une heure pouvant affecter leur cycle de sommeil et leur « routine » biologique.

Mais le phénomène peut également attaquer les parents et les adultes, dont certains disent ressentir une certaine fatigue, une déprime ou encore une baisse de régime au travail suivant le retour à l’heure normale.

Qu’on parle ici d’effet placebo ou de déprime hivernale, puisque ce changement d’heure annonce bel et bien l’arrivée de l’hiver, il ne faut jamais prendre nos symptômes et nos humeurs à la légère, croient les spécialistes.

On suggère plutôt de vaquer à nos occupations à notre rythme, d’éviter le stress et de ne pas hésiter à consulter, ne serait-ce qu’une fois, si les troubles de l’humeur ou les baisses d’énergie deviennent soudainement trop importantes.

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Reconnaître les premiers signes d’une dépression nerveuse ou professionnelle

L’automne apporte son lot de déprime, malgré sa beauté et ses couleurs fascinantes, et plusieurs personnes sont victimes d’une baisse de régime et de troubles de l’humeur à cette période.

Pour certains, ces symptômes seront plutôt précurseurs d’une véritable dépression, et il est important de savoir dépister le phénomène avant qu’il soit trop tard, selon Top Santé

Reconnaître une dépression avant qu’elle s’installe pour de bon peut épargner quantité de douleur et de temps, et peut même sauver des vies dans certains cas.

Le Dr Jean-François Lacoste s’inquiète particulièrement des troubles dépressifs et de l’humeur causés par le travail, que ce soit par une surcharge ou une frustration, des cas qui ne sont souvent pas pris au sérieux par les patients.

« Quand il se manifeste au travail, on a tendance à ne pas s’apercevoir de ces symptômes, car les choses se dégradent petit à petit. Souvent, les personnes en dépression vivent dans le déni. La dépression se manifeste par plusieurs symptômes : on ressent une impression de surmenage, une perte de plaisir. On va au travail à reculons. On se replie sur soi-même », explique avec conviction le Dr Lacoste.

Tristesse, épuisement, perte d’appétit ou surconsommation d’aliments sucrés, consommation élevée d’alcool ou de drogue (illégales, mais aussi de prescription), libido faible, voilà quelques facteurs qui peuvent indiquer que l’on glisse doucement vers une dépression… ou qu’on nage en plein dedans.

On conseille vivement de consulter rapidement un spécialiste de la santé afin de voir les options qui s’offrent, et de ne jamais prendre la décision d’opter pour des antidépresseurs à la légère.

Le seul fait d’en parler et de chercher de l’aide, cependant, peut permettre d’éviter de sombrer dans une spirale infernale de l’humeur et d’atteindre un dangereux point de non-retour.

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Une étude trace un lien entre la foi et la dépression

Une nouvelle étude sur les impacts de la spiritualité et la religion dans la vie des croyants trace un parallèle entre la foi et un risque accru de dépression, révèle Top Santé.

Cette étude britannique vient pourtant contredire presque toutes les recherches et études similaires effectuées sur le sujet, qui concluaient massivement plutôt l’inverse.

Or, selon le professeur Michael King, qui signe cette nouvelle étude et la publie dans le magazine Psychological Medicine, les sujets qui se disent croyants et spirituels ont jusqu’à trois fois plus de chances de développer un trouble de l’humeur comme la dépression.

« … la religion, et davantage encore la spiritualité sans lien avec une religion formelle, se révèle impuissante à aider qui que ce soit à se sortir d’un moment de déprime. Pire, elles pourraient même constituer des facteurs aggravants », conclut l’équipe de King.

Il admet cependant que nombre d’études précédentes sur le sujet ont démontré le contraire, et croit que d’autres analyses restent à faire.

Le professeur King a-t-il raison ou ferait-il plutôt preuve… de mauvaise foi?