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Le sexe et le sommeil devant la télé pourraient contribuer à la dépression

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions étonnantes tirées d’une étude sur les troubles dépressifs en provenance du NHS, en Angleterre.

On y apprend qu’outre les facteurs de risques déjà connus en matière de dépression et de troubles de l’humeur, par exemple la vie sociale et amoureuse, l’argent et le stress professionnel, plusieurs autres peuvent venir s’ajouter à la liste et vous mener tout droit vers une dépression. Et certains ont de quoi surprendre…

À commencer par le sexe, qui semble laisser des traces de tristesse chez plusieurs personnes, malgré son effet bienfaiteur à très court terme. Un tiers des femmes, par exemple, ressentiraient cet effet retour, si l’on se base sur des chiffres issus d’une étude australienne.

Plus étonnant encore, un autre facteur de risque de la dépression serait de s’endormir devant la télévision. Si plusieurs personnes (célibataires surtout) semblent apprécier le doux ronron du téléviseur la nuit, il appert que ce dernier est très mauvais pour la santé mentale. Même son de cloche en ce qui concerne les ordinateurs et autres engins du genre.

Quelques autres facteurs sont également mentionnés, comme une baisse de consommation de viande rouge, une surutilisation de médicaments (surtout les antidépresseurs, ironiquement), et même votre posture lorsque vous êtes assis!

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Réduire les risques de dépression en vieillissant grâce au vin

Vieillir comme le bon vin pourrait bien être plus facile… grâce au vin!

En effet, selon les informations rapportées par Top Santé, le vin serait un allié de taille dans la prévention de la dépression chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge, soit de 55 à 80 ans, en moyenne.

C’est justement cette tranche d’âge qu’ont analysé des chercheurs espagnols lors d’une étude qui trace un lien direct entre la consommation de vin et une réduction des risques de dépression chez les gens à l’âge de la retraite.

« Nous avons sélectionné 5500 personnes âgées de 55 à 80 ans et, pendant sept ans, nous avons suivi leur état de santé psychologique et mis en parallèle leur consommation de vin. Nous nous sommes rendu compte que le risque de dépression était diminué en moyenne de 32 % chez les personnes qui buvaient de deux à sept petits verres de vin par semaine », explique Miguel Martinez-Gonzalez, de l’Université de Navarre.

Donc, en moyenne, l’effet optimal pourrait se faire sentir avec un verre de vin bu quotidiennement, mais les excès risquent d’apporter plus de problèmes qu’ils n’en règlent!

Comme l’élément clé de cette réduction des risques de troubles dépressifs est le resvératrol, on suggère aussi de consommer des petits fruits comme la canneberge ou les mûres, par exemple.

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La dépression frappe autant les hommes que les femmes

Plusieurs études et recherches tendent à vouloir démontrer que la dépression est un trouble qui frappe davantage les femmes que les hommes, ou à tout le moins que ces dernières présentent plus souvent des symptômes liés à la dépression que leurs congénères masculins.

Or, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, rien ne serait plus faux. Les conclusions de l’étude tracent plutôt un portrait équitable chez les deux sexes en matière de dépression, avec un pourcentage similaire d’environ 16 % de la population.

On suggère que l’impression générale actuelle, à savoir que les femmes sont plus sujettes aux symptômes de la dépression, pourrait bien être explicable par le fait que les hommes sont plus enclins à garder leurs émotions pour eux et à ne pas demander d’aide.

« Cela ne nous aide pas beaucoup de savoir que plus d’hommes souffrent de dépression que nous le pensions, si nous ne pouvons les amener à franchir la porte pour obtenir de l’aide », tranche Lisa Martin, auteure principale de l’étude en provenance du Michigan, aux États-Unis.

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Le bénévolat pourrait bien vous faire vivre plus longtemps

Une stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Guérir la dépression par la thérapie sonore

De nouvelles recherches tendent à démontrer l’avenir prometteur de la thérapie sonore pour le traitement des troubles de l’humeur et de la dépression, selon le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université d’Arizona, notamment, ont tenté l’expérience des ultrasons sur 14 étudiants volontaires, dont la moitié seulement ont reçu véritablement une « dose » d’ultrasons.

Les sujets croyaient participer à une étude sur la maîtrise de la douleur et n’y ont vu que du feu. Les chercheurs ont donc pu surveiller les variations de l’humeur de leurs sujets volontaires, quelque 10 minutes après l’expérience.

Les résultats, basés sur des échelles exhaustives de calcul des différentes émotions humaines possibles, révèlent des pointes de « bonne humeur » évidentes à la suite du traitement.

« Il est intéressant de constater que les ultrasons à la tête ont des effets sur le fonctionnement du cerveau et qu’ils peuvent influencer l’humeur. Il y a un potentiel d’aide contre la dépression clinique et l’anxiété. Toutefois, il faudra encore plus de travail et d’essais cliniques bien menés avant de pouvoir emmener ça en clinique », résume le professeur Nick Craddock, du Collège royal des psychiatres.

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La « dépression Facebook » : un phénomène bien réel?

Top Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

op Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La surqualification pourrait mener à la dépression

Êtes-vous trop qualifié pour le poste que vous occupez actuellement?

Votre niveau d’études est-il beaucoup plus impressionnant que votre feuille de route? Attention, ce genre de constat pourrait vous mener tout droit vers une dépression…

C’est du moins la conclusion à laquelle arrivent des chercheurs belges, notamment après avoir analysé les dossiers de plus de 16 000 employés à travers l’Europe.

Présentées devant l’American Sociological Association, ces conclusions parlent d’un risque accru de troubles de l’humeur et de dépression chez les gens trop qualifiés pour leur emploi actuel, entre autres explicable par un manque de motivation et de stimulation.

« La raison pour laquelle les gens surqualifiés présentent un risque élevé de détresse psychologique pourrait être parce que, par définition, ils ne sont pas stimulés dans leur emploi et ne peuvent pas utiliser toutes les compétences qu’ils ont acquises au cours de leurs études », explique Piet Bracke, une professeure belge, à Live Science.

Ces propos, repris par Top Santé, sont accompagnés d’une mise en garde voulant que si le marché du travail ne connaît pas la même croissance que la popularité des hautes études, les sociétés modernes pourraient se retrouver avec de plus en plus de travailleurs dépressifs.

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Deux tasses de café pourraient réduire les risques de suicide de moitié

Le Daily Mail (UK) propose une étude initialement publiée par des chercheurs de Harvard, qui tend à démontrer que le café serait bel et bien un outil de taille dans la lutte à la dépression.

Plus encore, selon l’étude, de deux à quatre tasses de café par jour permettraient de réduire les risques de suicide de 50 %.

Cette quantité permettrait même une meilleure protection que le thé et le chocolat. Par contre, les chercheurs préviennent les consommateurs et les gens qui souffrent de dépression ou de trouble de l’humeur que de consommer du café ne constitue pas un remède ou une médication adéquate.

Il s’agit simplement d’un impact découlant de la consommation du café, un effet démontré clairement lorsque les chercheurs ont comparé les dossiers médicaux des amateurs de caféine à ceux qui n’en consomment que peu ou pas du tout.

Les données compilées recoupaient les dossiers de 200 000 hommes et femmes, ce qui s’avère suffisant pour parler d’une recherche exhaustive!

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L’effet du soleil sur l’humeur démystifié

C’est bien connu, plusieurs personnes ressentent grandement les effets bénéfiques du soleil, notamment sur leur humeur. À l’inverse, ces mêmes personnes ressentent souvent une impression de « dépression saisonnière » lorsque les rayons du soleil se font plus rares.

Top Santé rapporte les propos de spécialistes, qui expliquent que ces phénomènes ne relèvent pas que d’un effet placebo quelconque, mais plutôt d’une réelle cause à effet.

« On sait que la lumière forte exerce un effet dynamisant. Des expériences ont prouvé qu’elle galvanise notre humeur, augmente l’activité physique et accroît nos performances intellectuelles », lance la Dre Sylvie Royant-Parola.

Les spécialistes croient que la lumière entrerait dans le corps par les yeux, pour ensuite activer certaines zones du cerveau.

Cela influencerait alors les niveaux de dopamine et de sérotonine, des hormones qui influencent justement à leur tour l’humeur et le « taux de bonheur ».

Plusieurs problèmes peuvent donc survenir lorsque le corps manque de lumière, ce qu’il est suggéré de contrer par la luminothérapie.

Étrangement, on ne fait cependant pas mention de ces gens qui se retrouvent subitement de meilleure humeur… les jours de pluie!

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Manger selon nos humeurs, ou mieux comprendre les signaux du corps

Plusieurs écarts et sautes d’humeur, qu’elles soient positives ou négatives, pourraient bien indiquer les changements observés par le corps et ainsi signifier quel aliment serait le bienvenu dans votre organisme.

Même chose en ce qui concerne plusieurs petits « problèmes de santé », selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), puisqu’une multitude de messages seraient envoyés par notre corps pour nous indiquer les manques à pallier.

Par exemple, une humeur maussade pourrait signifier qu’il est temps de vous offrir un apport en viande comme un steak, alors que des chevilles enflées pourraient plutôt signifier un besoin en potassium (comblé par la banane, notamment). Les maux d’estomac pourraient être réglés par un apport en vitamine A, alors que la perte du goût indiquerait un manque en fer. Les douleurs musculaires (en général) pourraient quant à elles signifier un besoin en vitamine D.

C’est le genre de constat auquel arrivent plusieurs spécialistes, qui y vont de ces recommandations. Mangez donc selon vos humeurs et écoutez attentivement votre corps, qui détient souvent la clé de vos maux, mais qui demeure souvent incompris!