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Les patients souffrant d’Alzheimer reproduiraient les émotions environnantes

The National Library of Medicine dévoile des conclusions fort intéressantes concernant la maladie d’Alzheimer et comment elle agit sur les patients qui en souffrent sur le plan émotionnel.

Des chercheurs californiens, de UCLA et UCSF, ont constaté que les patients atteints d’Alzheimer avaient tendance à réagir aux émotions environnantes et démontrées par les proches, et à les reproduire.

Ainsi, une personne anxieuse et troublée ne ferait pas bon ménage auprès des personnes atteintes d’Alzheimer, ne faisant que contribuer à un état de confusion et de malaise.

« Le calme appelle le calme », lance le Dr Sam Gandy, spécialiste new-yorkais sur la question.

« C’est la façon dont voyagent les émotions à travers les gens et sans avertissement. Les maladies comme l’Alzheimer et les autres démences accentuent cet effet de contagion émotionnelle », explique Virginia Sturm, de l’Université de San Francisco.

Les chercheurs se disent stupéfaits de constater le lien unique qui unit les êtres humains entre eux, et croient que ces conclusions permettront aux intervenants d’effectuer du meilleur travail auprès des patients. 

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La dépression chez les femmes de plus de 40 ans pourrait mener à l’infarctus

Top Santé rapporte une étude exhaustive concernant les troubles dépressifs chez les femmes de plus de quarante ans, qui laisse croire qu’un lien de cause à effet est possible entre la dépression et certains problèmes cardiaques.

Après avoir suivi plusieurs femmes de 47 à 52 ans sur une période de 12 ans, les chercheurs de l’Université du Queensland, menés par le Dr Jackson, concluent que les femmes victimes de dépression une fois dans la quarantaine voient leurs risques de subir un infarctus augmenter d’un peu plus du double (2,4 fois).

L’étude corrobore donc les résultats de recherches précédentes effectuées sur des femmes de 60 ans et plus qui faisaient état d’un risque trois fois plus important de crise cardiaque à la suite d’un diagnostic de dépression.

Cette nouvelle étude est importante, car elle permet de souligner un autre facteur de risque d’AVC et de maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez la femme. Les antidépresseurs seraient également risqués pour le cœur, ce qui fait alors bondir les statistiques!

Les chercheurs veulent sensibiliser les femmes de 40 ans et plus à se mettre au sport, qui permet non seulement de garder un cœur en santé, mais aussi de tenir à l’écart plusieurs problèmes psychologiques et troubles de l’humeur. 

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L’effet antidépresseur de l’exercice physique vanté

Alors que plusieurs études et rapports de spécialistes indiquent qu’il serait peut-être bon de revoir à la baisse le nombre de prescriptions d’antidépresseurs et de diagnostics « préventifs » de dépression, voici une étude qui vante l’exercice comme méthode alternative.

Pour les Drs Chad Rethors et Madhukar Trivedi de l’Université du Texas, l’activité physique permet non seulement de garder une bonne santé générale, mais aussi mentale, rapporte Top Santé

Peu onéreux et très efficace, l’exercice est une option de choix en prévention ou en traitement de troubles dépressifs. Cependant, les chercheurs croient qu’il existe des contextes et des paramètres précis pour assurer le bon fonctionnement de ce traitement alternatif.

D’abord, il ne faut pas lésiner. On conseille vivement jusqu’à cinq séances par semaine d’exercice physique, de 45 minutes minimum chacune, à bonne intensité.

On constate que cette façon de faire commence à porter des fruits après la quatrième semaine de labeur, et qu’il faut maintenir le rythme durant près de 12 semaines pour assurer un « traitement » complet.

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La dépression pourrait bien se transmettre d’une personne à l’autre

Top Santé rapporte une étude sur la dépression qui révèle des faits étonnants au plan scientifique, mais dont plusieurs personnes se doutaient probablement.

Selon les chercheurs américains qui se sont penchés sur le sujet, la dépression serait transmissible, ou « contagieuse », selon le type de personnes qui gravitent autour de la personne qui en souffre.

Ainsi, les personnes plus vulnérables à l’énergie des autres ou plus susceptibles de développer des troubles dépressifs elles-mêmes pourraient être influencées par une personne dépressive, et voir leur humeur changer radicalement.

L’étude, publiée récemment dans le magazine Clinical Psychological Science, parle de « vulnérabilité cognitive » et prétend que les jeunes sont particulièrement sensibles au phénomène.

L’environnement de ces derniers devient donc primordial pour assurer leur développement, le succès dans leurs études et sur le marché du travail, et pour éviter d’éventuels troubles dépressifs.

« Si vous incitez ces jeunes à s’entourer de personnes positives, vous éviterez à certains de sombrer dans la dépression. Alors que s’ils s’entourent de personnes moroses, ils ont de fortes chances de céder à leurs idées noires », concluent les chercheurs.

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Une mauvaise alimentation mène aussi à la mauvaise humeur

Le fait de ne pas veiller à son alimentation ne mènerait pas qu’à des problèmes de santé physique chez la femme, selon Santé Log.

D’après une étude en provenance de la Pennsylvanie, les problèmes de comportement en alimentation sont aussi gages de troubles psychologiques, notamment en ce qui a trait à l’humeur.

Présentées lors du dernier congrès annuel de l’American Psychosomatic Society, ces conclusions font état de la relation des femmes avec la nourriture, et des résultats sur leurs émotions qui en découlent.

« Nous nous sommes intéressés à l’étude de femmes dans leur vie de tous les jours pour suivre leur humeur et leurs habitudes alimentaires, et obtenir ainsi une image plus précise de la relation entre les émotions et l’alimentation », expliquent les chercheurs de Penn State.

Les résultats démontrent cependant qu’une femme de bonne humeur ne devrait pas nécessairement voir celle-ci se dégrader, mais que celle qui s’avère déjà colérique ou dépressive a de grandes chances d’empirer son cas.

Les chercheurs précisent également que ces variations d’humeur sont relatives au degré d’intensité du trouble alimentaire, les pires troubles étant ceux comme l’anorexie et la boulimie.

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Des capacités cérébrales améliorées grâce à la bonne humeur

On cherche de plus en plus de moyens pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau, et une solution partielle pourrait s’avérer aussi simple qu’efficace.

En effet, The National Library of Medicine propose une étude sur le sujet, initialement publiée dans la plus récente édition du magazine Cognition and Emotion.

Cette étude parle des bienfaits de la bonne humeur ou d’émotions positives sur le cerveau des gens plus âgés, et de comment cet état esprit peut influencer la qualité de prise de décisions et de la mémoire chez les aînés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’Université de l’Ohio, tous les petits bonheurs sont bons! Un sac de friandises, une visite inopinée, un nouveau passe-temps, bref, tout ce qui peut améliorer l’humeur d’une personne âgée peut s’avérer hautement bénéfique.

Encore une fois, on constate les effets et conséquences des différentes émotions ressenties par l’être humain sur la santé.

« Il y a eu plusieurs études qui ont démontré que les jeunes adultes sont plus créatifs et ont de meilleures performances cognitives lorsqu’ils sont de bonne humeur. Mais à cause du déclin observé pour le cerveau des personnes plus âgées, nous n’étions pas certains si le même phénomène s’appliquait. Les résultats sont donc une bonne nouvelle », conclut Elle Peters, professeure en psychologie.

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Le blues de l’hiver, pas nécessaire

Allez! On se retrousse les manches et on ne se laisse pas aller à la déprime hivernale!

Pour plusieurs personnes susceptibles de souffrir de dépression saisonnière, le « blues de l’hiver » semble être un incontournable. Voilà qui n’est pas la bonne attitude pour la contrer, bien au contraire. Ne vous laissez pas abattre par le froid et votre prédisposition à la déprime hivernale!

Voici d’ailleurs quelques suggestions pour vous aider à garder le moral malgré les froids sibériens, selon The National Library of Medicine.

D’abord, vous aurez sans doute remarqué qu’une bonne partie du blâme de votre morosité repose sur la luminosité, ou le manque de lumière en hiver. Il serait alors bon de revisiter votre routine de sommeil. Essayez de vous coucher plus tôt, afin de vous lever plus tôt. Ainsi, vous profiterez de plus de lumière qu’en utilisant ces heures le soir et la nuit.

Variez aussi vos activités, et reprenez ce passe-temps ou cette passion que vous chérissez tant! Pas d’excuses, l’hiver n’est pas la période de l’année pour s’empêcher de faire ce que l’on aime.

Même chose en matière d’alimentation, ce n’est pas du tout le moment de faire de la culpabilité et de vous mettre au régime draconien.

Faites-vous plaisir et essayez de pratiquer une ou des activités extérieures! Si vous y parvenez, vous verrez sans doute un changement radical dans votre humeur… et votre attitude.

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Les fruits et légumes et la santé mentale

Les « rois de la bouffe » et protecteurs de la santé en alimentation, les fruits et légumes, sont maintenant affublés d’une nouvelle réputation, lance La Presse.

En effet, les fruits et légumes sont non seulement les meilleurs alliés de la minceur et de la santé, mais ils seraient aussi fort bénéfiques sur la santé mentale.

C’est du moins ce que croient des chercheurs néo-zélandais, alors qu’ils ont vérifié cette théorie sur 281 sujets, de jeunes adultes, sur une période de 21 jours. L’étude qui en ressort parle carrément d’un effet sur la bonne humeur!

« Les jours pendant lesquels les sujets mangeaient plus de fruits et légumes, ils rapportaient se sentir plus calmes, plus énergiques et plus dynamiques qu’à leur habitude. », conclut la Dre Tamlin Conner, auteure en chef de l’étude.

De plus, on signale que ces effets seraient observables également le lendemain. On peut donc dire que oui, il existe des impacts sur la santé mentale à manger des fruits et des légumes, puisque la bonne humeur (ou le fait d’être heureux) réduit le stress… et ce dernier est l’ennemi numéro un à abattre en santé dans notre société moderne.

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Les caroténoïdes au service de l’humeur

Santé Log s’attarde aux effets possibles sur l’humeur de certains légumes qui contiennent des caroténoïdes. En effet, on avance que ces légumes pourraient bien avoir un impact sur votre humeur, et ainsi influencer vos réactions.

C’est du moins ce que concluent des chercheurs de la prestigieuse université Harvard, qui publient leurs conclusions sur le sujet dans le magazine scientifique Psychometric Medicine.

On y apprend notamment l’impact possible de ces aliments sur l’optimisme, ou le fait de voir les choses du bon œil. Pour prouver ces dires, les chercheurs donnent des statistiques qui démontrent que les gens qui se disent optimistes présentent des taux de caroténoïdes dans le sang plus élevés que les autres.

Pour étoffer le dossier, les experts de Harvard ont pris le temps d’étudier les cas de près de 1000 hommes et femmes qui se sont prêtés au jeu. Après avoir soustrait plusieurs autres facteurs et isolé celui-ci, les chercheurs sont convaincus : les gens plus joviaux et optimistes présentent des niveaux de caroténoïdes haussés de 3 à 13 %, selon les individus.

Outre ces nouvelles révélations, on rappelle qu’il est de notoriété publique que la consommation quotidienne de fruits et légumes est bénéfique pour la santé.

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Les boissons gazeuses diètes reliées à des risques de dépression

Les gens qui consomment des boissons gazeuses diètes pourraient développer des troubles de dépression, suggère une étude rapportée notamment par www.nlm.nih.gov.

L’étude américaine trace cependant des paramètres, stipulant qu’on parle ici plus précisément des adultes et des gens qui boivent plusieurs de ces boissons quotidiennement.

La même chose s’appliquerait aussi aux buveurs de jus de fruits concentrés (qui ne contiennent généralement pas de fruits) ainsi qu’aux amateurs de thé glacé.

En contrepartie et dans la même veine, les buveurs de café seront heureux de lire que ceux qui consomment plusieurs cafés par jour ont moins de risque de devenir dépressifs.

Le même phénomène serait observable en ce qui concerne toutes les boissons sucrées, mais les statistiques concernant les boissons diètes, comme les sodas, sont plus élevées en matière de risques de développement de la dépression et de troubles de l’humeur.

Cependant, pour la professeure en psychiatrie Eva Redei, ceci soulève autant de questions que de réponses, et elle croit qu’on ne peut citer un facteur unique en ce qui a trait à la dépression.

D’autres études sur le sujet sont donc à prévoir.