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Comment aider son enfant hyperactif

Ce sont des statistiques. Mais la réalité, lorsque notre enfant est hyperactif, peut être difficile à gérer, surtout à l’école. Selon psychoenfants.fr, le trouble de déficit d’attention avec hyperactivité ou TDAH se déclare habituellement entre 4 et 7 ans.

Les symptômes passent par l’incapacité à se concentrer sur une tâche plus de 2 minutes, à des réactions vives et agressives, des difficultés à s’organiser et de la difficulté à accepter les interdits et l’autorité. Malheureusement, ces comportements entraînent souvent des disputes familiales.

Selon le Dr François Bange, psychiatre, il faut d’abord accepter la « pathologie ». L’enfant n’agit pas ainsi volontairement.

L’enfant hyperactif manque fréquemment de confiance en lui, à force de réprimandes et d’échecs. Il est donc essentiel de le féliciter, l’encourager, le rassurer et le garder occupé.

La Dre Stéphanie Bioulac recommande d’ailleurs de mettre l’emphase sur des tâches très précises à accomplir et de n’en donner qu’une seule à la fois. Dresser la table, ranger les souliers, etc. Elle suggère également de procéder avec un tableau cumulatif de « points ». Si ceux-ci sont suffisamment nombreux à la fin de la semaine, l’enfant aura une récompense.

Une note d’espoir, si le TDAH est difficile au primaire, chez près de 50 % des cas, les symptômes s’atténuent grandement à l’adolescence.

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Le colorant rendrait-il hyperactif?

Lors de la rencontre annuelle de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, des spécialistes ont statué que les colorants alimentaires rendent les enfants hyperactifs.

Selon Medical News Today, on a tiré cette conclusion à la suite d’une revue de plusieurs données recueillies sur le sujet. Il semble qu’il y ait suffisamment de preuves pour avancer un lien entre les colorants chimiques et l’hyperactivité.
 
On prévoit déjà des actions quant à ces substances, voire qu’elles deviennent toutes interdites.
 
Les colorants sont pourtant omniprésents dans l’alimentation des enfants. On en retrouve dans les céréales, les jus, les bonbons, le yogourt, de même que dans des centaines d’autres produits.

Nous ingérons 5 fois plus de colorants que dans les années 50. Il y aurait donc un lien entre cette augmentation et l’explosion du nombre de cas d’hyperactivité chez les enfants.

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Plus de dépendances chez les enfants avec le TDAH

Indépendamment du sexe et de l’ethnie, un enfant atteint d’un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) connaîtra plus souvent des problèmes de consommation une fois adulte.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des spécialistes de l’Université de la Caroline du Sud après avoir analysé 27 études longitudinales. Celles-ci avaient suivi au total plus de 10 000 enfants.

Sur une période de 10 ans, on a donc observé 4 100 enfants atteints du TDAH et 6 800 enfants non atteints. On a remarqué que ceux avec le trouble avaient deux à trois fois plus souvent des problèmes de consommation à l’adolescence et à l’âge adulte.

Ces problèmes concernaient l’alcool, la nicotine, la marijuana, la cocaïne ainsi que d’autres drogues. De plus, on a remarqué que les personnes qui avaient eu un trouble déficitaire de l’attention n’arrivaient pas à se défaire de leur dépendance.

Selon les chercheurs de cette étude, parue dernièrement dans Clinical Psychology Review, on pourrait douter du résultat s’il ne s’agissait que d’une seule étude. Or, la conclusion est tirée de plus de 25 recherches différentes.

On peut donc conclure à l’importance d’un diagnostic le plus tôt possible et à la nécessité d’un suivi médical adéquat pour les enfants atteints du TDAH.

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Problème de santé chez les enfants exposés aux pesticides

L’Environmental Health Perspectives dévoile une toute nouvelle étude sur les effets des pesticides sur les enfants et les femmes enceintes.
 
Les enfants exposés aux pesticides, que ce soit après leur naissance ou dans le ventre de leur mère, sont plus susceptibles de développer un déficit de l’attention et de l’hyperactivité que les autres enfants.
 
Même si ces conclusions ne sont pas encore définitives, c’est une nouvelle preuve qui démontre que les organophosphates affectent le fonctionnement du cerveau. Ces composés organiques attaquent le système nerveux des moustiques et les scientifiques ont trouvé des traces chimiques d’absorption chez les jeunes enfants et les femmes enceintes.
 
Bien que quelques symptômes de déficit d’attention et d’hyperactivité puissent commencer à se faire sentir lorsque l’enfant a trois ans, c’est réellement à cinq ans que les troubles apparaissent et deviennent de plus en plus problématiques, surtout avec l’entrée à l’école.
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L’ADN pour expliquer le déficit d’attention

Une recherche publiée dans Molecular Psychiatry prétend que des centaines de variations génétiques pourraient être la cause du trouble de déficit d’attention (TDA) avec hyperactivité.

« Notre découverte des mutations génétiques qui altèrent le développement du système nerveux pourrait éventuellement favoriser une intervention plus rapide auprès des enfants qui souffrent de ce trouble », a mentionné l’auteure derrière ces résultats, la Dre Josephine Elia de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie.

Madame Elia et son équipe ont analysé les génomes de 335 enfants souffrant de trouble d’attention et les ont comparés à ceux de 2 000 sujets jugés non hyperactifs. Il en résulte que les mutations génétiques sont plus courantes chez les patients avec un TDA que chez ceux du groupe-test.

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Les effets du Ritalin

Les travaux menés par le Dr Liv Larsen Stray, de l’Université de Stavanger en Norvège, l’amènent à conclure que le Ritalin (méthylphénidate) peut traiter efficacement les enfants atteints d’un trouble hyperkinétique, une maladie qui s’apparente au déficit de l’attention avec hyperactivité.

Le Dr Stray a travaillé avec 24 garçons atteints d’un trouble hyperkinétique qui se caractérisait par une difficulté à maîtriser les mouvements, notamment lors de l’écriture, et une impulsivité.

« Notre étude démontre qu’une seule dose de méthylphénidate améliore le tonus musculaire et apporte une certaine fluidité des mouvements aux enfants souffrant d’un trouble hyperkinétique », a souligné le chercheur.

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Baby Einstein, nocif pour les enfants?

Le Dr Dimitri Christakis, chercheur et directeur du Child Health Institute de l’Université de Washington à Seattle, juge que les émissions de télévision produites pour les poupons, comme les DVD Baby Einstein, ne devraient pas leur être présentées.

Pour le pédiatre, le montage rapide, les couleurs acidulées, les sons et les lumières clignotantes de ces contenus télévisés stimulent trop les bambins de moins de deux ans, ce qui pourrait expliquer, en partie, la hausse des cas des troubles de déficit de l’attention avec hyperactivité au cours des 20 dernières années.

Pour en arriver à ces conclusions, M. Christakis a analysé 78 études qui s’étaient penchées sur le sujet.

Du même souffle, le chercheur accuse les scientifiques qui ont participé à l’élaboration de ces émissions pour bébés et les parents qui sont parfois obsédés par l’idée que leur progéniture soit intelligente et stimulée dès le berceau.