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Les problèmes de santé mentale stables au Canada

Contrairement à la perception, les problèmes de santé mentale chez les jeunes au Canada ne sont pas en croissance. Telles sont les conclusions d’une étude réalisée à l’université d’Ottawa et publiée dans le Canadian Medical Association Journal.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs se penchent sur les principaux symptômes de santé mentale (hyperactivité, agressivité, dépression, anxiété, pensées suicidaires et troubles comportementaux) et les comparent aux deux ans. Des questionnaires anonymes sont ainsi analysés après avoir été envoyés à plus de 32 000 enfants, âgés de 10 à 15 ans.

Parmi les tendances observées dans cette recherche, notons les éléments suivants : 

– Dépression et anxiété : Les symptômes n’ont pas changé chez les enfants de 10-11 ans et les 12-13 ans.

– Il y a une légère baisse de cas de dépression et d’anxiété chez les enfants de 14-15 ans.

– Les pensées suicidaires sont en baisse chez les enfants de 12-13 ans et 14-15 ans.

– L’hyperactivité est en hausse chez les enfants de 10-11 ans et 12-13 ans.

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Les problèmes de santé mentale stables au Canada

Contrairement à la perception, les problèmes de santé mentale chez les jeunes au Canada ne sont pas en croissance. Telles sont les conclusions d’une étude réalisée à l’université d’Ottawa et publiée dans le Canadian Medical Association Journal.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs se penchent sur les principaux symptômes de santé mentale (hyperactivité, agressivité, dépression, anxiété, pensées suicidaires et troubles comportementaux) et les comparent aux deux ans. Des questionnaires anonymes sont ainsi analysés après avoir été envoyés à plus de 32 000 enfants, âgés de 10 à 15 ans.

Parmi les tendances observées dans cette recherche, notons les éléments suivants : 

– Dépression et anxiété : Les symptômes n’ont pas changé chez les enfants de 10-11 ans et les 12-13 ans.

– Il y a une légère baisse de cas de dépression et d’anxiété chez les enfants de 14-15 ans.

– Les pensées suicidaires sont en baisse chez les enfants de 12-13 ans et 14-15 ans.

– L’hyperactivité est en hausse chez les enfants de 10-11 ans et 12-13 ans.

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5 indices qui vous mettent la puce à l’oreille pour le TDAH

Empowher donne des trucs pour reconnaître un enfant qui pourrait souffrir de trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

1- Les 3 principales catégories de symptômes sont l’inattention, l’impulsivité et l’hyperactivité.

2- Les filles ont tendance à démontrer plus d’inattention, alors que chez les garçons, la combinaison d’hyperactivité et d’inattention est plus fréquente.

3- À l’école, votre enfant risque de se démarquer par son incapacité à demeurer en place ou à écouter les consignes. Parlez aussi à l’enseignant.

4- Dans les sports, alors que les autres évoluent dans une même direction, votre enfant risque de regarder le chien qui se promène dans la rue.

5- Les oublis sont fréquents, partout où l’enfant va. Son manteau dans l’autobus, son parapluie chez un ami, son cellulaire… quelque part et il ne s’en souvient pas.

La seconde étape consiste à consulter votre médecin de famille ou pédiatre. Celui-ci pourra vous aider à établir un diagnostic.

Par la suite, avant même de penser à la médication, sachez qu’il existe des classes comptant moins d’élèves pour aider les jeunes avec des besoins spécifiques.

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Nouvelle avenue pour le traitement des troubles reliés au problème d’attention

Selon Medical News Today, les expertes en développement cognitif de l’Université d’Indiana, Catarina Vales et Linda Smith, démontrent que la méthode d’apprentissage peut être influencée par le langage et ainsi diminuer le développement des troubles d’attention.

Ces scientifiques affirment que le langage doit renforcer l’image lors de l’apprentissage. Elles ont remarqué que les enfants étaient plus prompts aux mots qu’aux images.

Le langage s’adresse directement au système cognitif de l’enfant, ce qui améliore son habileté d’apprentissage. Ainsi, Vales et Smith suggèrent de nouvelles voies afin d’influencer le développement du trouble de déficit d’attention avec hyperactivité, les difficultés scolaires ainsi que d’autres troubles reliés à l’attention.

L’exercice utilisé demandait à des enfants de 3 ans d’identifier un objet à l’écran, dans une pièce contenant de nombreux articles. Lorsqu’en plus de l’image, on leur disait le mot (ex. : lit), tout de suite, leur attention se détachait des autres objets distrayants, puisqu’elles faisaient directement appel à la mémoire.

Il s’agit de la première recherche suggérant que les mots agissent directement sur la mémoire. Celle-ci a toujours été considérée comme déficiente dans le développement de troubles d’attention. Or, au contraire, on démontre ici que le langage améliore cette mémoire. C’est pourquoi les scientifiques sont persuadés qu’ils pourraient limiter le développement du TDAH, notamment.

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Le TDAH serait une maladie soit trop diagnostiquée soit simplement inventée

Selon The Examiner, le spécialiste Richard Saul remet en question le bien-fondé du TDAH. Selon lui, il n’existe pas de telle maladie. Les médecins refusent simplement de traiter les problèmes sous-jacents auxquels font face tant d’adultes et d’enfants souffrant des symptômes associés.

Le déficit d’attention avec hyperactivité a été décrit pour la première fois en 1980 et est apparu la même année dans l’American Psychiatric Association’s Diagnostic and Statistical Manuel (DSM), le manuel utilisé par les différents intervenants en psychologie et psychiatrie.

Le nombre d’enfants diagnostiqués du TDAH est passé de 7,8 % en 2003 à 11 % en 2011. Sur ce nombre, 2 enfants sur 3 reçoivent de la médication. Selon Saul, de tous ceux qui se sont présentés à son cabinet, enfant ou adulte, un nombre important présentaient une problématique sous-jacente. Ainsi, il croit que ce terme et la maladie elle-même devraient disparaître du DSM.

Dr Saul affirme que le trouble du déficit d’attention avec hyperactivité est plutôt une accumulation de symptômes, et c’est pourquoi il recherche toujours les causes réelles. Selon lui, le TDAH « est une excuse », et non une réalité.

Le livre de Richard Saul s’intitule ADHD Does Not Exist: The Truth About Attention Deficit and Hyperactivity Disorder

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Hausse importante du TDAH durant la dernière décennie

Le sondage a été rendu possible grâce aux données du rapport de 2011-2012 du National Survey of Children’s Health. Les informations récoltées concernent les enfants de 4 à 17 ans.

CBC rapporte que 6,4 millions d’enfants aux États-Unis souffrent de TDAH, soit 2 millions de plus qu’en 2003. Il s’agit d’une hausse de 42 % en 10 ans.

Dans un communiqué, la responsable de l’étude, Susanna Visser, des Centers for Disease Control and Prevention, a expliqué : « Ces résultats démontrent qu’un nombre important de jeunes enfants pourraient profiter de la thérapie comportementale recommandée en âge préscolaire ».

Le TDAH atteint désormais 1 jeune fille sur 11 et 1 garçon sur 5 à l’école secondaire. Or, si les symptômes ne sont pas traités, ils peuvent entrainer des difficultés au sein de la famille et à l’école, ainsi que se traduire en difficultés relationnelles et sociales.

Selon Science World Report,  les données rapportent que 15 à 19 % des enfants souffrant de TDAH n’ont reçu aucun traitement, que ce soit thérapeutique ou médical. Parmi ceux-ci, 1 enfant sur 3 s’est retrouvé dans les « cas sévères » du trouble comportemental.

D’où l’importance, pour les parents, de consulter rapidement un spécialiste.

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L’absence de routine de sommeil entrave le développement du cerveau chez les enfants

On croit à tort que la routine du sommeil n’est pas si importante. Or, cette nouvelle recherche risque de peser dans la balance, selon la professeure Yvonne Kelly, de l’University College London (UCL) Epidemiology & Puclic Health.

« L’irrégularité de l’heure du coucher mène à un état du corps et de l’esprit similaire au décalage horaire », rapporte Kelly. « Cela compromet le développement ainsi que le fonctionnement quotidien de l’enfant. »

Ce sont 10 000 enfants du Royaume-Uni qui se sont soumis au suivi à 3 ans, 5 ans, puis 7 ans. Des données relatives à l’heure du coucher et au nombre d’heures de sommeil ont été compilées.

En l’absence de routine du sommeil régulière, les comportements d’hyperactivité et de déficit d’attention étaient fréquents. En intégrant une routine stricte, les parents et enseignants notaient rapidement des changements positifs.

Le rythme circadien régule les cycles d’éveil et de sommeil, et donc de vigilance. Conséquemment, lorsque les enfants sont dérangés dans leur cycle de sommeil, leur vigilance est déséquilibrée.

Selon l’article publié sur Scienceworldreport, la bonne nouvelle, c’est que lorsque l’on agit tôt, le phénomène menant vers les troubles comportementaux est « réversible ».

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Encore plus de bénéfices pour l’allaitement

Afin de déterminer si le développement du TDAH (Trouble déficitaire de l’attention/Hyperactivité) était associé à l’absence ou à un faible taux d’allaitement maternel, le Dr Aviva Mimouni-Bloch, de la Faculté Sackler de l’Université de Tel-Aviv et chef du Centre neurologique de l’enfant à l’hôpital de Loewenstein, a réalisé une étude rétrospective sur les habitudes d’allaitement de trois groupes d’enfants.

Un était formé d’enfants atteints de TDAH, un autre avec les frères et sœurs de ceux-ci, et un groupe sans TDAH et sans aucun lien à la maladie.

Publiés dans le journal médical Breastfeeding Medecine, les résultats ont clairement montré un lien entre l’allaitement et les risques de développer le TDAH.

En fait, les nourrissons de 3 mois n’ayant pas été allaités voyaient leurs risques de le développer être 3 fois plus élevés que ceux ayant été allaités.

Des enfants n’ayant pas été allaités, certains avaient des frères et sœurs qui, eux, l’avaient été. Les résultats ont aussi démontré que malgré leur génétique familiale, ils étaient beaucoup moins atteints de TDAH, ce qui en dit long sur l’impact du lait maternel.

Bien que les chercheurs ne sachent pas encore pourquoi l’allaitement a un impact sur le développement du TDAH, il se pourrait que ce soit le lait maternel lui-même ou encore le rapprochement entre la mère et le bébé pendant l’allaitement qui joue un rôle. De plus amples recherches sont prévues sur le sujet.

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Le chocolat est bon pour les enfants

Ce sont les petits qui seront heureux! En effet, tant que l’on comprend bien la différence entre le bon et le mauvais chocolat, le premier devrait faire partie de l’alimentation de nos enfants autant que de la nôtre.

Plus le pourcentage de cacao est élevé, mieux c’est (65 à 95 % de cacao). Selon le nutritionniste Hervé Robert, « le chocolat est un aliment énergétique aux apports nutritionnels intéressants pour les enfants ».

Sur Famili.fr., il est expliqué qu’il en est ainsi à cause de ses propriétés antioxydantes et de sa teneur en magnésium, potassium, fer, phosphore, de vitamines PP, B2, B9 et des substances toniques et stimulantes comme la théobromine, la caféine, les cannabinoïdes et la phényléthylamine.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, il permet aussi de lutter contre le stress, la fatigue, les maladies cardiovasculaires, le diabète et certains cancers.

Fait encore plus surprenant, la poudre de cacao possède un effet anticariogène dû à la présence de tanins, de fluor et de phosphates, le tout aidant à prévenir la carie!

Pour les enfants, il est recommandé d’attendre l’âge de 2 ou 3 ans avant de donner du chocolat en morceau, et une dose de 50 g par jour semble être la quantité maximum.

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TDAH plus risqué dans les quartiers près des routes à grande circulation

La recherche a été menée en Allemagne par Carla Tiesler du Helmholtz Zentrum German Research Center for Environnemental Health, rapporte My Health News Daily, et les résultats sont probants.

Les enfants exposés aux routes bruyantes ont près de 30 % plus de symptômes d’hyperactivité et d’inattention que ceux qui vivent dans des quartiers moins bruyants. L’échantillonnage utilisé était constitué de 900 enfants de 10 ans.

La psychologue du Boston Children’s Hospital, Michelle Bosquet, appuie cette recherche, qui s’ajoute à de nombreuses études sur le sujet. Il est désormais prouvé que le bruit et la pollution chimique affectent le comportement et la santé mentale des enfants.

Cependant, le manque de sommeil mène à une lacune sur le plan de la concentration, puis se dirige tout droit vers l’hyperactivité et le trouble d’attention. Selon le Dr Andrew Adesman, du Cohen Children’s Medical Center de New York, il s’agit du même questionnement que « l’œuf ou la poule ».

« Lequel vient en premier? On ne le sait pas », affirme Adesman. S’il se pose la question, c’est que les symptômes du manque de sommeil peuvent aisément ressembler au trouble de déficit de l’attention, alors que le TDAH crée à son tour un trouble du sommeil.

Un détail qui a son importance, et une question à laquelle aucun spécialiste ne peut répondre.