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Grossesse : attention au téléphone mobile?

C’est ce qu’ont relevé des chercheurs de l’Université Yale dans la plus récente revue Scientific Reports. Ils ont découvert que l’exposition aux rayonnements des téléphones mobiles pendant la grossesse pouvait affecter le développement du cerveau des enfants.

Après avoir fait des expériences sur des souris gravides, les chercheurs se sont aperçus que les rongeurs, une fois nés, souffraient de problèmes de mémoire, d’hyperactivité et d’anxiété.

Pour arriver à cette conclusion, l’activité électrique du cerveau de souris adultes qui avaient été exposées à des rayonnements dans le fœtus a été mesurée. Une série de tests psychologiques et comportementaux ont également été faits.

Pour un groupe de scientifiques britanniques de l’University College de Londres, cette étude est complètement « alarmiste et injustifiable ».

Leurs contre-arguments reposent sur le fait que les souris à naître auraient reçu une dose de radiation beaucoup plus élevée que ce que l’enfant dans l’utérus peut obtenir. De plus, il semblerait que la distance entre le téléphone mobile et l’utérus n’était pas conforme à la femme et la souris en période de gestation.

Finalement, ils ont ajouté que la comparaison est impossible entre les rongeurs et les humains, parce que les souris sont nées après seulement 19 jours, avec un cerveau qui est à un stade beaucoup plus précoce de développement que celui des bébés humains.

Ils ont remarqué également que le niveau d’anxiété avait diminué chez les souris exposées aux radiations, alors qu’il est généralement plus élevé chez les enfants atteints de troubles de comportement.

Des tests auprès de fœtus humains seraient nécessaires pour extrapoler et obtenir des résultats concluants. Toutefois, ceux-ci sont interdits par des organisations qui protègent la santé de l’homme.

La dernière étude controversée portant sur le même sujet remonte à deux ans et avait été réalisée par des scientifiques de l’Université de Californie à Los Angeles.

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L’anesthésie en lien avec l’hyperactivité chez les enfants?

Les enfants exposés à deux anesthésies ou plus avant l’âge de trois ans ont deux fois plus de risque d’être atteint d’un TDAH qu’un autre enfant qui n’a jamais eu à vivre ce genre de situation, décrit une étude observationnelle publiée dans le Mayo Clinic Proceedings.

En effet, les enfants qui n’avaient pas été exposés à l’anesthésie et la chirurgie avant l’âge de trois ans avaient 7,3 % de chances d’être confrontés à un TDAH. Le taux après une seule exposition à l’anesthésie demeurait approximativement le même.

Cependant, pour les enfants qui avaient eu deux ou plusieurs expositions à l’anesthésie et la chirurgie, le taux de TDAH augmentait à 17,9 %, et ce, peu importe les facteurs démographiques.

C’est lorsque le comportement et des changements dans le cerveau de jeunes animaux se sont produits, à la suite d’une chirurgie avec anesthésie, que la curiosité des scientifiques a été piquée.

David Warner, un médecin anesthésiste pédiatrique à la Clinique Mayo, et instigateur de l’étude observationnelle, tient à mentionner que l’anesthésie n’est pas pour autant une cause définitive du déclenchement du TDAH.

Il rappelle que son étude est observationnelle et que plus d’examens seront faits par sa clinique ultérieurement pour établir les autres facteurs qui pourraient être responsables de la fréquence plus élevée du TDAH chez les enfants avec de multiples expositions à l’anesthésie.

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Structure et exercices physiques pour les enfants atteints de TDAH

Les enfants atteints de TDAH sont souvent confrontés à des impulsions d’hyperactivité et ont du mal à maintenir leur attention.

Bien que cela puisse sembler paradoxal, effectuer un programme structuré d’exercices physiques définis aide les enfants souffrant de TDAH à améliorer leur coordination musculaire et leur motricité, de même que leur capacité à traiter l’information.

Dans une étude récemment publiée dans le Journal of Attention Disorders, les chercheurs ont mis en place un programme d’activité physique qui comprend un échauffement, des activités aérobiques, des exercices musculaires, des habiletés motrices et un refroidissement pour 10 enfants atteints de TDAH.

Grâce à un moniteur de fréquence cardiaque, l’intensité de l’activité physique était observée chaque fois (3 séances par semaine). Le but était de maintenir le rythme d’intensité élevé à modéré, tout au long de l’activité.

L’une des principales conclusions de cette étude est que les parents et les enseignants ont observé de meilleurs résultats scolaires, au moment où les enfants ont pratiqué le programme physique.

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Les enfants hyperactifs doivent avoir une saine alimentation

Une étude américaine publiée dans la revue Pédiatrics révèle que les parents des enfants qui souffrent d’hyperactivité et de trouble du déficit de l’attention devraient être plus vigilants quant au type d’aliments que mangent leurs bambins.

Dans leur rapport, les chercheurs de la Faculté de médecine de Chicago expliquent : « Porter une attention plus soutenue à l’éducation des parents et des enfants pour qu’ils suivent un régime alimentaire sain, laissant de côté les aliments qui semblent prédisposer au TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité), est peut-être le remède pratique alternatif ou complémentaire le plus prometteur pour traiter le TDAH ».

Malgré cette conclusion, les spécialistes semblent douter de certains régimes alimentaires populaires qui suggèrent de ne consommer que des produits exempts de colorants alimentaires rouge et orange, ou encore qui remettent en cause les régimes sans allergènes, comme les germes de blé, les œufs, le chocolat et le fromage.

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Hyperactivité chez les enfants : les traitements inquiètent

Dans la mire des spécialistes, on retrouve la Ritaline. Ce psychostimulant inquiète un certain nombre de médecins, car il est prescrit excessivement, explique le site Magic maman.

Le professeur Maurice Corcos, chef du service de psychiatrie à l’Institut mutualiste Montsouris à Paris, évoque un « surdiagnostic et par conséquent une surprescription des médicaments » destinés aux enfants hyperactifs.

Les experts ont également peur des effets secondaires, comme les risques cardiaques, qui découlent de cette surmédicalisation.

Pour le moment, les recherches ne révèlent pas de lien entre la prise de traitements contre l’hyperactivité et les arrêts cardiaques ou encore les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Cependant, les médecins restent prudents. Même l’Agence européenne du médicament recommande une surveillance régulière des patients qui prennent de la Ritaline.

Pour l’avenir, il sera nécessaire de faire plus de recherches sur les causes de l’hyperactivité et les conséquences des traitements suivis par les enfants.

 

 

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Pas de problèmes avec les psychostimulants

Selon le Journal of the American Medical Association,qui publie les derniers résultats obtenus après analyse de 150 000 dossiers médicaux de personnes âgées de 25 à 64 ans, les traitements contre les troubles d’attention et l’hyperactivité ne posent donc pas de problème.
 
Par le passé, on mentionnant que les psychostimulants, comme les amphétamines, le méthylphénidate et le Pemoline, pouvaient faire grimper la pression sanguine et le rythme cardiaque. Toutefois, aucune preuve n’avait été apportée concernant un risque accru de crise cardiaque ou d’autres complications graves.
 
Cependant, les études doivent se poursuivre, car bien que celle-ci soit importante, elle ne considère pas les personnes de 65 ans et plus, et s’est déroulée seulement sur un an au lieu d’un long terme.
 
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Pas de problèmes avec les psychostimulants

Selon le Journal of the American Medical Association,qui publie les derniers résultats obtenus après analyse de 150 000 dossiers médicaux de personnes âgées de 25 à 64 ans, les traitements contre les troubles d’attention et l’hyperactivité ne posent donc pas de problème.
 
Par le passé, on mentionnant que les psychostimulants, comme les amphétamines, le méthylphénidate et le Pemoline, pouvaient faire grimper la pression sanguine et le rythme cardiaque. Toutefois, aucune preuve n’avait été apportée concernant un risque accru de crise cardiaque ou d’autres complications graves.
 
Cependant, les études doivent se poursuivre, car bien que celle-ci soit importante, elle ne considère pas les personnes de 65 ans et plus, et s’est déroulée seulement sur un an au lieu d’un long terme.
 
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Réussite scolaire : il faut être attentif

Une récente de l’Université de Montréal démontre que les problèmes d’inattention sont au cœur des échecs scolaires, et ce, plus que peut l’être l’hyperactivité. De plus, les enfants qui sont inattentifs à ce point auraient besoin de profiter de mesures préventives, selon Medical News Today.

Pour tirer ces conclusions, on a suivi 2 000 enfants, parents et enseignants sur une période de 20 ans. Les enseignants étaient responsables de relever les signes de l’inattention, dont la difficulté de concentration et la tendance à abandonner facilement, notamment.

Quant à l’hyperactivité des jeunes sujets, elle était évaluée selon des critères généraux. On a par la suite accompagné les enfants jusqu’à la fin de leurs études.

Il a été relevé que si 89 % des enfants hyperactifs réussissaient à obtenir leur diplôme d’études secondaires, c’était le cas pour seulement 29 % de ceux qui souffraient de problèmes d’inattention.

Les spécialistes en santé mentale devront maintenant statuer à savoir si l’inattention et l’hyperactivité doivent être différenciées dans la prochaine édition du DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux).

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Augmentation du nombre de cas de TDAH

Les chercheurs du CDC’s National Center for Health Statistics ont analysé les dernières statistiques sur le TDAH, et ils ont remarqué que le nombre de diagnostics a passé de 7 %, de 1998 à 2000, à 9 %, de 2007 à 2009.

 

Lors de l’analyse, on a constaté que le nombre de diagnostics émis est plus grand chez les garçons que chez les filles, chez les 5 et 17 ans.

En effet, le pourcentage serait passé de 9,9 % à 12,3 % chez les garçons et de 3,6 % à 5,5 % chez les filles. Autre constatation, l’augmentation du nombre de cas a largement été observée chez les enfants vivant dans des ménages aux revenus inférieurs à la moyenne. Le nombre de cas pour les ménages sous le seuil de la pauvreté était supérieur à 10 %, comparativement à 7,9 % pour les familles plus aisées.

Comme les recherches antérieures indiquaient que plusieurs enfants présentant tous les symptômes de TDAH n’avaient pas été diagnostiqués faute d’avoir accès aux soins de santé, par exemple, il est difficile pour les chercheurs d’affirmer avec certitude que cette augmentation n’est pas liée à une détection accrue du trouble déficitaire.

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Les enfants adoptés sont plus à risque de problèmes comportementaux

Une récente recherche suggère que les enfants d’adoption, comparativement à ceux qui vivent avec leurs parents biologiques, sont plus enclins à développer des troubles comportementaux tels que l’hyperactivité, le manque de confiance en soi et des difficultés d’apprentissage scolaire.

Néanmoins, selon Science Daily, cette étude, publiée dans le Spanish Journal of Psychology, met l’accent sur ces différences d’adaptation dans une région spécifique de l’Europe. La recherche a été réalisée par des chercheurs du Département UAB de la Clinique de santé psychologique en Espagne et les résultats sont basés sur un échantillon de 52 enfants.
 
Les candidats d’adoption, âgés de 6 à 11 ans, provenaient de différents pays, notamment la Chine, le Népal, la Bulgarie, la Russie, l’Ukraine, la Colombie, le Guatemala, Haïti, le Pérou et l’Éthiopie. D’autre part, un groupe supplémentaire de 40 enfants mésadaptés étaient aussi comparés.
 
Bien que dans la majorité des cas, tant les enfants biologiques que ceux d’adoption réagissent de façon similaire aux contraintes d’adaptation sociale, les garçons adoptés semblent avoir plus de difficulté. Ces troubles sont d’autant plus fréquents lorsqu’un enfant est adopté après l’âge de 3 ans.
 
D’autre part, les résultats affirment que ceux qui développent des troubles comportementaux proviennent principalement de l’Europe de l’Est, soit de Bulgarie, de Russie et d’Ukraine dans le cas présent. Les facteurs évalués considéraient également le contexte familial et socio-économique de ces régions.