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Le TDAH responsable de la dépression

Des chercheurs américains ont établi un lien entre le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDHA) et la dépression, nous apprend Canada.com.

D’après eux, les parents devraient faire preuve d’une plus grande vigilance pour les enfants atteints, car ceux-ci auraient plus souvent tendance à sombrer dans la dépression, voire à commettre un suicide.

Cette étude a été réalisée par les universités de Chicago et de Pittsburgh. On a suivi 123 enfants de 4 à 6 ans diagnostiqués avec un TDAH, et ce, pendant 14 ans, soit jusqu’à leurs 18 à 20 ans.

Ces enfants ont ensuite été comparés avec un groupe de 119 enfants dont le mode de vie était similaire. Ces derniers ont été observés une fois par jour pendant leurs 4 premières années de vie, puis de 6 à 9 ans et de 12 à 14 ans.

On a donc pu prouver que les enfants diagnostiqués entre 4 et 6 ans avaient 18 % plus de chances de vivre une dépression. Cela représente 10 fois plus de cas que chez les autres enfants.

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Un million d’enfants américains mal diagnostiqués

Fait inquiétant relevé par deux études américaines dévoilées par le Journal of Health Economics : près d’un million d’enfants aux États-Unis auraient reçu un faux diagnostic de déficit de l’attention avec hyperactivité.
 
Après avoir examiné 12 000 enfants, on constate que ceux qui sont plus jeunes dans leur classe sont souvent seulement immatures comparativement aux autres et ne sont pas aux prises avec l’un de ces troubles.
 
Ainsi, ces enfants faussement hyperactifs et inattentifs se voient prescrire du Ritalin, le médicament le plus couramment utilisé pour traiter ces problèmes.
 
Le problème est qu’en raison de leur date d’anniversaire, ils ont une maturité différente de celle de leurs camarades de classe et même un an peu faire toute une différence, selon les experts.
 
Ces jeunes sont donc plus immatures que les plus vieux et on leur donne un diagnostic de déficit de l’attention avec hyperactivité beaucoup trop rapidement, sans investiguer davantage.
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Le sucre ne rend pas les enfants hyperactifs

Depuis de nombreuses années, les parents croient que donner des sucreries à leurs enfants les rendra hyperactifs ou augmentera les symptômes de l’hyperactivité chez ceux qui en souffrent déjà.
 
Yoopa rapporte que tout cela n’est qu’un mythe mensonger tenace. De nombreuses études scientifiques ont démontré qu’il n’y avait aucun lien entre l’hyperactivité des enfants et la consommation de sucre.
 
En fait, les petits seraient plus excités par tout ce qui entoure le droit de consommer des sucreries. La majorité du temps, lorsque des parents consentent à ce que leur progéniture mange des bonbons, gâteaux, biscuits, chocolats et autres douceurs, c’est lors de sorties en famille, de fêtes, de visites chez des grands-parents gâteau ou chez des cousins par exemple.
 
Rappelons que les aliments peu accessibles deviennent beaucoup plus attrayants pour les enfants et c’est normal, car tous aiment le goût du sucre. Donc, les troubles de comportement n’apparaissent pas avec la consommation de sucre, ni chez les enfants ni chez les adultes. Le seul problème est de mettre une limite aux enfants pour éviter qu’ils n’en consomment trop.
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L’hyperactivité causée par les pesticides

Certains pesticides pourraient favoriser le développement du trouble de l’hyperactivité avec déficit de l’attention (THADA) chez les enfants, rapporte la revue Pediatrics.
 
C’est la conclusion à laquelle arrivent la chercheuse Maryse F. Bouchard et ses collègues des universités de Montréal et Harvard.
 
Après avoir observé 1 139 enfants et mesuré la concentration de pesticides dans leur urine, on affirme qu’une exposition à de fortes concentrations de pesticides contribue au THADA.
 
« Notre étude révèle que l’exposition aux organophosphorés pendant l’enfance, et donc le développement, pourrait avoir des effets persistants sur le système nerveux et provoquer des comportements de type THADA tels que des troubles de l’attention et des déficits cognitifs », mentionne Mme Bouchard.
 
Des études précédentes avaient démontré ces mêmes effets chez les animaux exposés aux pesticides.
 
Le THADA touche environ 5 % des enfants et les spécialistes constatent que plus de la moitié conserveront des symptômes à l’âge adulte.
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L’ADN pour expliquer le déficit d’attention

Une recherche publiée dans Molecular Psychiatry prétend que des centaines de variations génétiques pourraient être la cause du trouble de déficit d’attention (TDA) avec hyperactivité.

« Notre découverte des mutations génétiques qui altèrent le développement du système nerveux pourrait éventuellement favoriser une intervention plus rapide auprès des enfants qui souffrent de ce trouble », a mentionné l’auteure derrière ces résultats, la Dre Josephine Elia de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie.

Madame Elia et son équipe ont analysé les génomes de 335 enfants souffrant de trouble d’attention et les ont comparés à ceux de 2 000 sujets jugés non hyperactifs. Il en résulte que les mutations génétiques sont plus courantes chez les patients avec un TDA que chez ceux du groupe-test.

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Les bienfaits de la sieste chez l’enfant

La sieste chez les enfants de quatre à cinq ans n’est pas seulement bénéfique pour les adultes qui en prennent soin, mais également pour les petits eux-mêmes.

Selon une étude, dont on a présenté les résultats lundi dernier (8 juin) lors du congrès de l’Associated Professional Sleep Societies, les risques d’hyperactivité, d’anxiété et de dépression diminuent lorsque les bambins dorment un peu durant le jour.

Le Dr Brian Crosby, du département de psychologie de l’Université de la Pennsylvanie, a travaillé avec 62 enfants. 77 % d’entre eux avait l’habitude de faire une sieste durant le jour et il a découvert que le taux d’hyperactivité, d’anxiété et de dépression était plus élevé chez les enfants qui ne dormaient pas le jour.

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Les effets du Ritalin

Les travaux menés par le Dr Liv Larsen Stray, de l’Université de Stavanger en Norvège, l’amènent à conclure que le Ritalin (méthylphénidate) peut traiter efficacement les enfants atteints d’un trouble hyperkinétique, une maladie qui s’apparente au déficit de l’attention avec hyperactivité.

Le Dr Stray a travaillé avec 24 garçons atteints d’un trouble hyperkinétique qui se caractérisait par une difficulté à maîtriser les mouvements, notamment lors de l’écriture, et une impulsivité.

« Notre étude démontre qu’une seule dose de méthylphénidate améliore le tonus musculaire et apporte une certaine fluidité des mouvements aux enfants souffrant d’un trouble hyperkinétique », a souligné le chercheur.

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Baby Einstein, nocif pour les enfants?

Le Dr Dimitri Christakis, chercheur et directeur du Child Health Institute de l’Université de Washington à Seattle, juge que les émissions de télévision produites pour les poupons, comme les DVD Baby Einstein, ne devraient pas leur être présentées.

Pour le pédiatre, le montage rapide, les couleurs acidulées, les sons et les lumières clignotantes de ces contenus télévisés stimulent trop les bambins de moins de deux ans, ce qui pourrait expliquer, en partie, la hausse des cas des troubles de déficit de l’attention avec hyperactivité au cours des 20 dernières années.

Pour en arriver à ces conclusions, M. Christakis a analysé 78 études qui s’étaient penchées sur le sujet.

Du même souffle, le chercheur accuse les scientifiques qui ont participé à l’élaboration de ces émissions pour bébés et les parents qui sont parfois obsédés par l’idée que leur progéniture soit intelligente et stimulée dès le berceau.

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Hausse de la médication chez les enfants

Des données, publiées dans la revue Pediatrics, démontrent que le taux d’enfants américains sous médication, âgés de 5 à 19 ans, est en hausse depuis 2005.

Ente 2002 et 2005, les prescriptions pour traiter le diabète de type 2 et l’asthme ont augmenté de 46 %. Quant aux traitements contre les troubles de l’attention avec hyperactivité, ils ont été prescrits davantage, à raison de 40 %.

Ce phénomène serait attribué à un meilleur diagnostic de ces maladies par les professionnels de la santé, qui n’hésitent plus à recommander la médication appropriée.

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Des colorants alimentaires à bannir

En raison du rôle qu’ils jouent dans l’hyperactivité des enfants, six colorants alimentaires pourraient être bannis sur le territoire européen. Le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC) et 41 autres organismes font pression sur l’Union européenne (UE) afin que les produits qui contiennent ces six colorants soient retirés des tablettes.

« Il est inacceptable de laisser sur le marché des substances suspectées d’augmenter l’hyperactivité chez les enfants, d’autant plus qu’elles n’ont aucune valeur ajoutée si ce n’est que de colorer la nourriture », soutient Monique Goyens, directrice générale du BEUC.

Aujourd’hui (11 avril), des experts des pays de l’UE sur la sécurité alimentaire doivent se pencher sur la question.

En mars dernier, l’Autorité européenne de sécurité des aliments avait conclu que l’étude britannique qui stipulait que les colorants augmentaient le risque de déficit de l’attention « n’apportait que des preuves limitées d’un léger effet sur l’activité et l’attention de certains enfants ». Elle ne suffirait donc pas pour modifier la politique européenne en matière de colorants alimentaires.