Catégories
Uncategorized

Le lait et le soya pour réduire l’hypertension

Les participants à la recherche devaient chaque jour remplacer une collection ou une partie de leur repas par un supplément de 40 g de protéines de lait, de soya ou par un placébo.
 
L’exercice se déroulait sur une période de huit semaines avec une pause de trois semaines entre chaque supplément.
 
Les résultats ont démontré que les protéines de lait faisaient baisser la pression artérielle de 2,3 mmHg et celles du soya de 2 mmHg. Ce qui permettrait de réduire d’environ 6 % le taux de mortalité dû aux accidents vasculaires cérébraux et de 4 % les troubles cardiaques.
 
Le placebo, quant à lui, a légèrement fait augmenter l’hypertension, rapporte le journal Circulation.
 
Toutefois, il est encore prématuré de suggérer de prendre ces protéines pour traiter l’hypertension, des études complémentaires étant nécessaires.
 
Catégories
Uncategorized

Même une modeste diminution du sel est bénéfique

Il y a peu de temps, une étude d’une équipe de l’Université d’Exeter affirmait qu’il n’y avait pas de preuve solide des bienfaits d’une réduction de la consommation de sel.
 
Cependant, les chercheurs disent aujourd’hui que les résultats ont été mal interprétés. Il est reconnu que le sel favorise l’hypertension,  un facteur de risque important dans les maladies cardiovasculaires.
 
Toute diminution de la quantité de sel consommée sera donc bénéfique pour la santé. Même une réduction de 2 g permet de réduire de près de 20 % les risques d’incidents cardiovasculaires.
 
Plus la consommation de sel est diminuée et plus la pression artérielle diminue, donc les risques cardiovasculaires sont réduits également, rapporte The Lancet.

Catégories
Uncategorized

Les protéines de soya et de lait contre l’hypertension

Il semblerait que les suppléments de lait ou de soya pourraient être efficaces pour abaisser la pression systolique.
 
Selon le Circulation: Journal of the American Heart Association, une étude, effectuée sur 352 personnes de plus de 22 ans avec des signes de risques accrus d’hypertension ou des cas légers de maladie, démontre que les protéines de soya et de lait peuvent remplacer les glucides ainsi que prévenir et traiter l’hypertension artérielle.
 
Cela concorde avec une étude antérieure qui affirmait qu’une alimentation riche en produits laitiers faibles en gras diminuait la pression artérielle, un problème de santé qui peut éventuellement entraîner des crises cardiaques, des insuffisances cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des dommages aux reins.
 
Maintenant, des études à long terme doivent être faites pour savoir quelles seraient les nouvelles recommandations alimentaires pour contrer l’hypertension avec les protéines de soya et de lait.

Catégories
Uncategorized

Méditer pour réduire les risques d’attaques cardiaques

Les personnes qui pratiquent la méditation transcendantale, une méthode pour réduire le stress, et qui souffrent de maladies cardiaques réduisent de 47 % leurs risques d’attaques mortelles ou non.
 
Les Archives of Internal Medicine rapportent une étude effectuée sur neuf ans auprès de 201 personnes âgées en moyenne de 59 ans présentant un rétrécissement des artères coronaires. Toutes prenaient des anticholestérols et des antihypertenseurs.
 
La moitié du groupe a pratiqué la méditation et l’autre moitié a reçu des séances d’information traditionnelles sur les bienfaits de saines habitudes de vie sur le cœur.
 
Les personnes qui ont eu les séances de méditation ont réduit leur risque de mortalité de 47 %. De plus, on a noté que leur tension artérielle et leur niveau de stress et de colère avaient chuté de façon significative.

Toutefois, la méditation ne doit pas remplacer les traitements médicaux, mais plutôt être pratiquée en complément de ces derniers. Plus d’études se pencheront sur le sujet prochainement.

Catégories
Uncategorized

Des médicaments contre l’hypertension augmentent la survie au cancer du sein

Les bêtabloquants, couramment utilisés pour combattre l’hypertension artérielle, aident à se remettre d’un cancer du sein.
Selon l’étude rapportée par le Daily Mail, les femmes qui prennent ce type de médicament ont de meilleures chances de survie à la maladie, et ce, sans récidive.
 
Deux études sur le sujet ont démontré les bienfaits de ces médicaments. Dans une première étude, les femmes qui en avaient ont survécu plus longtemps, sans récidive de la maladie, que les femmes qui ne prenaient pas de médicaments contre l’hypertension.
 
Dans la deuxième étude, les femmes avec ce traitement étaient moins susceptibles d’avoir un cancer agressif et d’en mourir.
 
Après trois ans, on a remarqué que 87 % des femmes sous bêtabloquants étaient encore en vie et en santé, comparativement à 77 % chez celles sans médicaments.
 
Maintenant, il reste à prouver le lien entre ces meilleures chances de survie potentielles et les médicaments contre la pression artérielle.
Catégories
Uncategorized

En santé, pas seulement durant la grossesse!

Selon une étude américaine parue dans l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, il ne faudrait pas se soucier de sa santé et de son alimentation uniquement pendant une grossesse. Il semble que la santé de la femme ait un impact jusqu’à sept ans avant qu’elle soit enceinte.

En effet, le risque de diabète de grossesse serait déjà dessiné par le profil cardiaque et métabolique de la mère, et ce, avant même qu’elle tombe enceinte.
 
Ce risque serait multiplié par 5 lorsqu’une femme a un indice de masse corporelle (IMC) plus grand ou égal à 25 et qu’elle a un taux de glucose entre 100 et 140 mg/dl.
 
On pourrait donc prédire le diabète de grossesse en mesurant le taux de glucose, l’IMC et l’hypertension d’une femme.

Les chercheurs ajoutent que le facteur le plus déterminant de cette forme de diabète demeure l’obésité, qui survient dans 44 % des cas. Sinon, il semble que l’hypertension augmente les risques de 50 %.

Catégories
Uncategorized

Pour mieux soigner les tout petits bébés

On peut lire dans The Lancet qu’un groupe international de scientifiques a statué qu’une évaluation générique du poids fœtal ainsi que du poids de naissance est la meilleure façon de prévoir les problèmes périnataux.

Rappelons qu’un petit poids fœtal peut entraîner plusieurs risques pour la santé de l’enfant à naître. La mort à la naissance est plus fréquente chez ces bébés, par exemple. Ils présenteraient aussi des problèmes de comportement dans une plus grande proportion.
 
Plus tard dans leur vie, ils sont finalement plus enclins à souffrir de diabète, d’hypertension et de maladies cardiaques.
 
Les méthodes les plus courantes pour déterminer le poids fœtal consistent entre autres à l’analyse d’ultrasons et à la compréhension de caractéristiques de la mère et du bébé à naître.

Les chercheurs soulignent toutefois que les méthodes actuelles ne sont pas toutes accessibles au sein des pays en voie de développement. Établir une charte mondiale du poids fœtal constitue donc un réel défi.

Catégories
Uncategorized

Le sel ne serait pas aussi nocif qu’on le croyait

Une équipe de l’Université de Louvain en Belgique, dirigée par le Dr Jan Staessen, a découvert qu’une alimentation riche en sel ne serait pas aussi mauvaise pour la santé qu’on le croyait.
 
3 700 Européens ont été suivis pendant huit ans. Ils étaient séparés en trois groupes selon leur consommation de sel (grande, moyenne, faible). Aucun n’avait de maladie cardiaque au début de l’étude et les deux tiers avaient une pression artérielle normale.
 
Au terme de la recherche, on n’a remarqué aucune différence significative dans les trois groupes concernant les risques de maladies cardiaques ou de problèmes aux vaisseaux sanguins.
 
Ces nouvelles données sont plutôt controversées, car on insiste beaucoup dernièrement sur le fait que les gens devraient diminuer considérablement leur consommation de sel.
 
Bien que les chercheurs affirment que diminuer le sel pourrait tout de même être une bonne idée pour les personnes ayant déjà une pression artérielle élevée et des problèmes cardiaques, rien dans leur nouvelle recherche ne laisse supposer que le sel favorise l’apparition de ces problèmes.
 
Bien entendu, les recherches vont se poursuivre.
Catégories
Uncategorized

Le tabagisme passif chez les enfants

Environ le tiers des enfants du monde se retrouvent fumeurs passifs. Cela a des répercussions sur les maladies vasculaires. Des chercheurs de l’Université du Minnesota ont par ailleurs prouvé un autre effet du tabagisme passif chez les enfants.

Ainsi, comme vu dans Consumer Health Day, les enfants exposés à la fumée de cigarette auront une pression sanguine plus élevée durant leur croissance. Ces hauts taux sont évidemment reliés à l’hypertension.
 
C’est ce qui a été relevé après que l’on ait fait passer des tests de détection de nicotine et de cotinine à des enfants âgés de 8 à 17 ans entre 1999 et 2006. Des questions ont aussi été posées aux enfants quant à leur exposition au tabac.
 
D’autre part, ces observations ont pu être faites sur les garçons, mais non sur les filles. En fait, les filles qui étaient ou avaient été exposées à la fumée de la cigarette avaient, au contraire, une pression plus basse que les autres.

On croit que le corps féminin aurait une certaine protection des problèmes vasculaires en étant exposé au tabac. D’autres recherches seront nécessaires pour expliquer ce phénomène.

Catégories
Uncategorized

L’amour réduit les risques d’hypertension et de grippe

Une nouvelle étude en dévoile encore sur les avantages de l’amour. Ainsi, lorsque nous sommes amoureux, nous sommes moins à risque de faire de l’hypertension ou encore d’avoir la grippe.
 
L’amour aide également à faire face au stress, rappelle MedicMagic. Les gens mariés, heureux, ont une pression artérielle plus basse que les personnes qui ne sont pas mariées. Par contre, un mariage malheureux augmente aussi la pression artérielle.
 
L’étude révèle également que dans un couple amoureux, il y a une entraide pour adopter de saines habitudes de vie. Mutuellement, les conjoints se poussent à prendre soin d’eux-mêmes.
 
L’amour libère dans le cerveau de la dopamine, un neurotransmetteur qui influe sur le plaisir et la motivation.
 
Même se tenir la main ou s’étreindre diminue le stress et la pression artérielle, améliore l’humeur et accroit la tolérance à la douleur. Cela rend également plus résistant à la grippe.
 
De plus, un mariage heureux accélère le processus de guérison lorsqu’on se blesse.