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La température et l’hypertension artérielle

Des chercheurs, associés à l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale de Paris, ont observé une hausse de la pression artérielle chez les personnes âgées dès que la température extérieure chute.

À titre d’exemple, la tension artérielle était cinq points plus élevés en hiver qu’en été chez les 8 801 sujets qui ont participé à cette étude. De plus, le risque d’hypertension artérielle augmentait de 33,4 % pendant la saison froide, comparativement à 23,8 % pendant l’été.

Les scientifiques ignorent toutefois l’explication derrière cette corrélation, mais avancent comme hypothèse que le baroréflexe pourrait expliquer ce phénomène chez les personnes âgées.

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Un autre facteur de risque pour l’hypertension

Des travaux menés par la Dre Susan Hedayati, du Centre Médical Southwestern de l’Université du Texas, permettent de conclure que le manque de potassium peut causer l’hypertension artérielle, particulièrement chez les Afro-Américains.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé les échantillons d’urine de 3 303 sujets d’une population multi-ethnique.

« Plus le taux de potassium dans l’urine était bas, signe qu’il y a une carence dans l’alimentation, plus la pression sanguine du sujet était élevée », a noté la Dre Hedayati. Elle affirme que le manque de potassium a encore plus d’effet sur la pression que peut en avoir le sel.

Ce lien entre le potassium et l’hypertension artérielle pourrait s’expliquer par le gène WNK1, mais des recherches supplémentaires devront être menées afin de déterminer le taux de potassium nécessaire pour prévenir cette condition.

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Les femmes et le risque d’hypertension artérielle pulmonaire

Des travaux, menés par le Dr Adaani E. Frost, du Collège de médecine Baylor de Houston, aux États-Unis, permettent de conclure que l’hypertension artérielle pulmonaire, une maladie chronique et potentiellement mortelle, a quatre fois plus de chance de toucher les femmes que les hommes, particulièrement celles âgées de 48 ans et plus.

Cette maladie se caractérise par de la fatigue extrême et un souffle court, causés par la mauvaise circulation sanguine dans les poumons.

Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de 2 300 patients pour en arriver à ces conclusions.

Leurs découvertes leur ont aussi permis de constater qu’entre les premiers symptômes et un diagnostic de la maladie, il peut s’écouler 10 mois.

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La détection de la prééclampsie plus facile

Des chercheurs de l’Université Harvard ont trouvé une protéine dans le sang de la future mère, le methoxyoestradiol, qui pourrait faciliter la détection de la prééclampsie.

Lorsque le methoxyoestradiol est associé à de faibles taux d’oxygène dans le sang, l’indice de prééclampsie est élevé.

Ce trouble, qui se caractérise par de l’hypertension artérielle, de l’oedème et de l’albuminurie, est la deuxième cause de décès des femmes enceintes en Amérique du Nord. Pour le moment, la prééclampsie est difficile à détecter, car l’hypertension artérielle n’est pas un signe automatique de ce trouble.

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L’alcool favoriserait l’obésité et l’hypertension

Telles sont les conclusions d’une étude américaine publiée sur le site du Journal of Endocrinology & Metabolism.

L’enquête, réalisée auprès de 1 529 personnes, démontre les dangers d’une consommation d’alcool régulière, même modérée.

L’étude démontre une corrélation entre la consommation d’alcool excessive, les risques cardiovasculaires et l’obésité.

Pour les chercheurs, une consommation excessive d’alcool représente, chez l’homme, plus de deux verres par jour et, chez la femme, plus d’un verre par jour.

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Hypertension rime avec démence

Selon des chercheurs de l’Imperial College de Londres, une pression sanguine normale chez les personnes de plus de 40 ans diminue de 13 % l’incidence de démence.

Les scientifiques avancent comme hypothèse que l’hypertension artérielle nuirait à l’oxygénation du cerveau, ce qui pourrait causer une altération organique des cellules cérébrales ainsi qu’une diminution irréversible des facultés psychiques.

D’autres types de démence, comme la maladie d’Alzheimer, ne sont pas associés à la haute pression qui, malheureusement, n’est pas souvent diagnostiquée. L’absence de diagnostic implique une absence de traitement, même si pourtant une personne sur quatre en souffre, selon les statistiques disponibles.

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La protéine C réactive augmente le risque de prééclampsie

Selon le Dr Michael S. Ruma, de l’Université de la Caroline du Nord, aux États-Unis, la parodontopathie, une maladie qui s’attaque aux gencives, et un haut taux de protéine C réactive dans le corps de la femme enceinte la rendent plus vulnérable à la prééclampsie.

« La parodontopathie augmente significativement le risque de souffrir de prééclampsie chez la femme enceinte, particulièrement lorsqu’il y a beaucoup d’inflammation dans les gencives », a observé le Dr Ruma.

775 futures mères ont participé à cette étude. 31 d’entre elles, soit 4 %, ont été touchées par la prééclampsie, une condition qui se caractérise par de l’oedème, la présence de protéines dans l’urine, l’hypertension artérielle et une circulation sanguine irrégulière.

Selon le chercheur, d’autres recherches devront être menées afin de vérifier si le simple traitement de la parodontopathie peut réduire le risque de prééclampsie.

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Un vaccin contre la haute pression

L’équipe du chercheur suisse Martin Bachmann est sur le point de remplacer la médication utilisée pour traiter la haute pression sanguine par un simple vaccin. Celui-ci bloquerait les récepteurs de l’angiotensine II, les peptides qui jouent un rôle dans la maintenance du volume et de la tension artériels.

Selon l’inventeur de ce vaccin, il ne faut que deux à trois doses annuelles pour contrôler l’hypertension artérielle et dire ainsi adieu aux médicaments.

« Nos analyses démontrent que le vaccin est bien toléré par les sujets qui font de la haute pression et que celle-ci diminue », a précisé le Dr Bachmann

En plus de l’absence d’effets secondaires, le vaccin permet de contourner deux problèmes reliés à la prise de médicaments : celui voulant que les personnes ne les prennent pas de manière appropriée et celui voulant que les médicaments soient peu efficaces lorsqu’ils sont consommés tôt le matin.

Seulement aux États-Unis, le tiers des personnes qui souffrent d’hypertension voient leur condition contrôlée par la médication.

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L’hypertension chez les enfants

Selon une étude parue dans le Journal of the American Medical Association, l’hypertension artérielle est dangereuse et peut endommager des organes comme les reins si elle n’est pas contrôlée.

Chez les enfants, la détection de l’hypertension est importante, car elle pourrait aussi signaler d’autres problèmes de santé au niveau endocrinien, rénal ou cardiaque.

Les chercheurs de la Case Western Reserve University in Cleveland ont observé 14 000 enfants âgés de trois à 18 ans. Parmi l’échantillon observé, 507 avaient une élévation anormale de la pression que le sang exerce sur les parois de leurs artères. Aussi, 367 d’entre eux n’avaient pas été diagnostiqués avant, et ce, en dépit d’au moins trois examens médicaux.

Selon le Dr Matthew Hansen et ses collègues, le matériel médical devrait être modernisé afin de comparer les examens précédents avec plus de minutie. Ainsi l’hypertension serait plus facilement détectée chez les enfants.

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Le sel coûte cher à l’économie canadienne

Selon les chercheurs, la réduction de 50 % de notre consommation quotidienne de sel permettrait de réduire d’un million de cas d’hypertension au Canada.

De plus affirme l’étude, cela permettrait à plus de personnes souffrant d’hypertension de contrôler leur pression sanguine adéquatement, un facteur de risque pour les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques.

Si la population décidait de réduire de moitié sa consommation de sel, cela permettrait au système de soins de santé canadien de sauver 430 millions $ par année en coûts directs, estiment les auteurs de l’étude.