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Nouvelle recherche sur l’hypocondrie en Nouvelle-Écosse

L’hypocondrie est un mal bien connu de façon théorique, faisant même les frais de quelques blagues, mais la réalité peut s’avérer beaucoup plus sombre qu’on pourrait le croire pour ceux qui en souffrent.

Des spécialistes de la Nouvelle-Écosse se sont penchés sur le phénomène et proposent une nouvelle recherche sur l’hypocondrie, rapporte Radio-Canada.

Selon la chercheuse Chantal Gautreau, qui mène la recherche, l’hypocondrie mène rapidement à un sentiment de panique face à des problèmes pourtant bénins, et aurait même un impact sur les coûts de santé.

L’équipe de Mme Gautreau, basée à l’Université Dalhousie, estime que les deux problèmes précédemment proposés peuvent être réglés avec l’aide de psychologues et de spécialistes en santé mentale, plutôt que par des médecins praticiens.

Simon Sherry, justement psychologue, croit en effet que sa profession détient plusieurs clés, et rappelle qu’il est important de ne pas s’en faire pour de petites douleurs ou pour certains problèmes communs observables chez des pairs.

Plus facile à dire qu’à faire, sans doute, pour les personnes hypocondriaques.

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Les sites de santé qui rendent hypocondriaque

Une surprenante étude, réalisée par Microsoft, nous apprend que les internautes qui vont en ligne pour s’informer sur les symptômes, les traitements d’une maladie et le pronostic seraient anxieux au point de développer des problèmes de santé.

Les auteurs derrière ces résultats, Ryen White et Eric Horvitz, affirment qu’une recherche dans le Web concernant des maladies a pour effet d’augmenter l’anxiété de souffrir de celles-ci.

« Internet a le potentiel d’accroître l’anxiété des gens qui ont peu ou pas de connaissances médicales, particulièrement quand il est utilisé pour rechercher un diagnostic », mentionnent les chercheurs.

Qualifiés de « cyberchondriaques », les participants à cette étude ont tendance à interpréter des symptômes banals comme un signe de maladie. « De telles surenchères peuvent provoquer une anxiété, un investissement en temps et des dépenses de santé inutiles », concluent les auteurs.