Catégories
Uncategorized

L’obésité pourrait être évitée par la science

Il s’agit d’une première pour l’équipe de chercheurs de Sabrina Diano. Les neurones POMC, situés dans l’hypothalamus, sont régulés par le récepteur nucléaire PPARgamma.  En inhibant celui-ci chez des souris transgéniques, ils ont constaté que contrairement à leurs congénères, elles ne prenaient pas de poids.

Ces souris avec été modifiées génétiquement afin que le récepteur PPARgamma soit supprimé. Malgré le régime à teneur élevée en gras et en sucre, ces souris n’engraissaient pas.

Comme le rapporte Science World Report, l’augmentation de la formation de radicaux libres au niveau des neurones POMC serait à l’origine de ce contrôle, qui fait en sorte que l’individu se sent rapidement « à satiété ».

Cette découverte a de l’importance non seulement au niveau de l’obésité, mais aussi pour le traitement du diabète de type 2 à l’aide de médication comprenant du thiazolidinedione (TZD).  Celui-ci cible le récepteur PPARgamma et le garde actif, ce qui fait prendre du poids aux patients.

Ainsi, rapporte Diano, « on pourrait continuer à utiliser le TZD, mais sans l’effet secondaire de la prise de poids ».

Les recherches ont été publiées dans la revue Journal of Clinical Investigation.

Catégories
Uncategorized

Un surplus de neurones responsable de l’obésité

Le Nature Neuroscience nous apprend qu’un surplus de neurones dans le cerveau pourrait causer l’obésité.
 
Ces neurones se développent dans la région du cerveau nommée l’hypothalamus qui est liée au stockage de graisses. Cette région est également associée au sommeil, à la température corporelle, à la faim et la soif, entre autres.
 
Les chercheurs ont découvert que d’inhiber la prolifération de ces nouveaux neurones pourrait mener à un nouveau traitement de l’obésité.
 
Par contre, les médecins ne sont pas parvenus à expliquer les fonctions de ces nouveaux neurones qui se développent dans l’hypothalamus.
 
Leurs études menées sur des souris démontrent que celles avec un régime riche en graisses voyaient leur prise de poids être multipliée par quatre. Si on freinait les nouveaux neurones, la prise de poids était beaucoup moins importante.
 
Catégories
Uncategorized

Le stress augmente l’appétit

Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Calgary viennent d’établir un lien entre le stress et l’appétit chez des rongeurs. Toutefois, le chercheur de l’Institut du cerveau, Quentin Pittman, affirme que ce processus est le même pour l’humain.

Bien que des études supplémentaires doivent confirmer plus clairement les effets du stress sur l’appétit, on a remarqué que les rongeurs soumis à un stress consommaient plus de nourriture.

Le tout se passe dans l’hypothalamus (structure du système nerveux) qui envoie des signaux d’appétit plus intenses lorsque nous serions sous l’effet du stress.

Le stress modifie donc l’action des neurotransmetteurs endocannabinoïdes qui régulent la sensation de faim.

Selon le site Neuron, c’est sans doute pour cette raison qu’il est si difficile pour plusieurs personnes de suivre un régime à la lettre, car celui-ci peut provoquer un stress, ce qui envoie donc des signaux de faim au cerveau.

Catégories
Uncategorized

Le stress augmente l’appétit

Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Calgary viennent d’établir un lien entre le stress et l’appétit chez des rongeurs. Toutefois, le chercheur de l’Institut du cerveau, Quentin Pittman, affirme que ce processus est le même pour l’humain.

Bien que des études supplémentaires doivent confirmer plus clairement les effets du stress sur l’appétit, on a remarqué que les rongeurs soumis à un stress consommaient plus de nourriture.

Le tout se passe dans l’hypothalamus (structure du système nerveux) qui envoie des signaux d’appétit plus intenses lorsque nous serions sous l’effet du stress.

Le stress modifie donc l’action des neurotransmetteurs endocannabinoïdes qui régulent la sensation de faim.

Selon le site Neuron, c’est sans doute pour cette raison qu’il est si difficile pour plusieurs personnes de suivre un régime à la lettre, car celui-ci peut provoquer un stress, ce qui envoie donc des signaux de faim au cerveau.

Catégories
Uncategorized

Le cerveau, responsable de l’obésité?

Une recherche effectuée sur des rats par des scientifiques de l’université Southern California pourrait aider à mieux comprendre le surplus de poids chez les humains.

Selon les chercheurs, les neurones du noyau arqué, un groupe de cellules de l’hypothalamus, présentaient des défauts, ce qui avait pour conséquence de dérégler la sensation d’appétit et d’augmenter les réserves de graisse chez les rongeurs.

Ce phénomène a été observé dès les premières semaines de vie des rats. Les prochaines études sur le sujet devront se concentrer sur les façons de contourner cette prédisposition cérébrale qui entraînerait l’obésité.

On pourra consulter les résultats complets de cette étude dans l’édition de février du Cell Metabolism.