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Surdose de médicament en hausse chez les préadolescents

Selon Science World Report, une recherche a mis en lumière des données qui effraient. Dès 10 ou 11 ans, les enfants prennent par eux-mêmes des médicaments qui sont en vente libre comme de l’ibuprofène et de l’acétaminophène.

Or, ils sont trop jeunes pour que les adultes leur fassent confiance, ce que les parents font malgré tout. Le Dr Gaylord Lopez, directeur du Centre Anti-poison, déplore qu’il en soit ainsi. « Conservez les instructions relatives au dosage et lisez les instructions pour vous assurer que vous ne donnez pas 2 médicaments avec le même ingrédient, comme l’acétaminophène »,conseille-t-il.

Lopez demande également aux parents de garder les médicaments « hors de la portée des enfants ». Pour des enfants de 10 ou 11 ans, le problème est qu’ils peuvent s’en procurer facilement ailleurs.

L’objectif requiert plutôt une sensibilisation auprès de nos enfants. Uniquement aux États-Unis, ce sont environ 58 000 enfants qui se retrouvent hospitalisés pour surdose d’ibuprofène ou d’acétaminophène. « Ils sont trop habitués à en prendre contre la douleur ou la fièvre », rapporte encore Lopez.

Soyez donc attentif aux habitudes de vos enfants et avisez-les du danger couru si la posologie n’est pas respectée.

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Les anti-inflammatoires pourraient causer des problèmes cardiaques

L’ibuprofène et ses homologues de la famille des anti-inflammatoires s’avèrent souvent la solution la plus efficace et abordable pour plusieurs problèmes de santé.

Qui n’a jamais utilisé les anti-inflammatoires, véritables sauveurs, pour se soulager! Cependant, une nouvelle étude vient mettre en garde les consommateurs contre une utilisation massive et à long terme de ces produits.

Des chercheurs de l’Université d’Oxford se sont penchés sur la question et ont découvert certains effets potentiellement désastreux des anti-inflammatoires sur la santé cardiaque, rapporte Top Santé

L’étude est bien étoffée, comptant sur l’analyse de près de 400 000 patients consommateurs de ce type de médicaments.

Les risques de troubles cardiaques ou d’infarctus sont bien réels, notent les chercheurs, mais les chiffres restent relativement et heureusement bas.

On note une hausse de huit patients affichant des problèmes cardiaques sur un bassin de mille. Plusieurs cas d’ulcères ont cependant été rapportés.

« Ces risques de maladie cardiovasculaire ou d’infarctus ne concernent que les patients qui prennent de fortes doses quotidiennes et sur le long terme. Mais ces patients ne doivent pas perdre de vue ce risque, et ne pas hésiter à en parler à leur médecin traitant », conclut le professeur Colin Baigent, directeur de l’étude. 

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Certains médicaments contre la fièvre pourraient causer des problèmes rénaux chez les enfants

Le Journal of Pediatrics publie les résultats d’une étude affirmant qu’environ 3 % des problèmes rénaux graves chez les enfants pourraient être directement attribués à ces médicaments.

Même si le nombre d’enfants ayant développé ces maladies était bas, les conséquences étaient sévères, puisque quatre d’entre eux avaient maintenant besoin de dialyse, et sept d’entre eux souffraient de dommages permanents.

La plupart des 1015 enfants étudiés avaient pris ces médicaments, par exemple l’Advil, dans les doses recommandées. Le risque était particulièrement élevé pour les enfants déshydratés ou qui avaient la grippe (l’influenza, et non pas le rhume), parce que ces médicaments fonctionnent en restreignant l’accès du sang aux composantes des reins qui doivent filtrer celui-ci.

L’auteur de l’étude, le Dr Jaon Misurac, a noté que ces résultats « étaient extrêmement significatifs, spécialement puisque des alternatives qui ne provoquent pas de dommages aux reins sont proposées », selon EurekAlert!.

Les médecins recommandent plutôt l’utilisation de l’acétaminophène (par exemple le Tylenol) chez les enfants qui font de la fièvre.

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De l’espoir pour les patients souffrant de migraines

Si vous êtes aux prises avec de violents maux de tête et que les médicaments retrouvés sur les rayons des pharmacies ne vous font pas ou peu d’effet, sachez qu’un nouveau traitement pourrait être accessible incessamment.

C’est ce que rapporte Topsante.com, qui fait état de la sortie commerciale du Spedifen, un nom qui utilise habilement le suffixe de l’ibuprofène et le préfixe « Sped (Speed) », relatif à la rapidité.

Produit par Zambon, le médicament agirait jusqu’à trois fois plus rapidement que ceux déjà connus par le grand public (l’ibuprofène peut prendre jusqu’à 90 minutes pour atteindre son effet maximal).

Vendu sans ordonnance en Europe, le médicament pourrait bien aider les milliers de personnes aux prises avec des migraines chroniques, un problème qui prendrait de l’ampleur.

Plusieurs avertissements accompagnent le traitement, dont celui de ne pas ingérer plus d’un comprimé toutes les huit heures, ainsi que de ne pas dépasser 1200 milligrammes par jour.

De plus, on conseille vivement de ne pas mélanger le produit à d’autres médicaments contre les maux de tête, comme l’aspirine. Le traitement ne doit également pas s’échelonner sur plus de trois jours.

Il est aussi suggéré de consulter son praticien pour en savoir plus sur ce nouveau traitement contre la migraine.

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L’ibuprofène efficace contre le mal des montagnes

Selon ce que rapportent les Annales de médecine d’urgence, l’ibuprofène (Advil), vendu sans ordonnance comme anti-inflammatoire, pourrait aider les gens qui ont le mal des montagnes.
 
Lorsqu’une personne est exposée à une montée rapide en haute altitude, elle peut ressentir des maux de tête, de la fatigue, des étourdissements et même des nausées.
 
Cela serait causé par un gonflement du cerveau. Le manque d’oxygène augmenterait le volume des liquides dans le cerveau, ce qui entraînerait son gonflement.
 
L’ibuprofène diminuerait de 26 % les symptômes de ce mal. C’est ce qu’affirment le Dr Grant Lipman et ses collègues, qui ont observé d’excellents résultats avec ce médicament.
 
En ce moment, les gens utilisent souvent de l’acétozolamide ou de la dexaméthasone pour traiter le mal des montagnes, mais ces médicaments causent aussi des effets secondaires indésirables.
 
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L’ibuprofène, dangereuse pour bébé?

Une recherche québécoise indique que des médicaments antidouleurs aussi courants que l’ibuprofène ou le naproxène peuvent comporter des dangers pour le bébé à naître. S’ils sont pris en tout début de grossesse, le risque de fausse couche serait considérablement augmenté.

Précisément, une femme qui prend des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) après être tombée enceinte verra augmenter de deux fois ses risques de vivre une fausse couche.

On a pu arriver à cette probabilité en comparant 52 000 femmes. Sur ce nombre, 4 705 avaient eu une fausse couche; parmi elles, 7,5 % avaient reçu une prescription d’AINS durant leur grossesse. Quant aux 47 000 femmes qui avaient mené leur grossesse à terme, moins de 3 % avaient pris ce type de médicaments. Cela revient à un rapport de risque de 2,4 quant à la prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens durant la grossesse.

Toutefois, même si de tels médicaments, qu’ils soient sous ordonnance ou en vente libre, sont maintenant reliés à de plus grands risques de fausse couche, la présente recherche du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine ne suppose pas qu’ils constituent en eux-mêmes une cause de la fausse couche.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans le Canadien Medical Association Journal.

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L’ibuprofène pourrait prévenir la maladie de Parkinson

La revue Neurology révèle que les personnes qui prennent régulièrement de l’ibuprofène sont moins susceptibles de développer le Parkinson.

Selon une étude du National Institute of Neurological Disorders and Stroke, ces personnes ont en fait 40 % moins de risques de souffrir de cette maladie. Aussi, les chercheurs ont noté que celles qui en prennent en grande quantité courent moins de risques que celles qui en prennent peu.

Cette étude a été faite auprès de 136 479 personnes en bonne santé. Elles devaient toutes dire si elles prenaient des anti-inflammatoires (aspirine, ibuprofène, ou paracétamol).

Après 6 ans, on a enregistré 293 cas de Parkinson, et ce, surtout chez les personnes qui ne prenaient pas d’ibuprofène.

« L’ibuprofène est le seul anti-inflammatoire qui a eu un impact sur la maladie de Parkinson. Les autres anti-inflammatoires n’ont eu aucune influence […]. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pourquoi et comment l’ibuprofène peut avoir un effet sur cette maladie », a déclaré le Docteur Xiang Gao.

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La fièvre est normale chez les enfants

Selon un récent rapport, les parents qui traitent une fièvre légère en donnant à leur jeune enfant un mélange de paracétamol et d’ibuprofène pourraient contribuer à prolonger la maladie ou même mettre sa santé en danger, rapporte Daily Mail.

Des experts révèlent que notre société est sous l’emprise d’une phobie de la fièvre qui pousse les parents à utiliser trop souvent ces deux médicaments pour diminuer une légère hausse de température.

Il semble que près de la moitié des parents inquiets donnent à leur enfant la mauvaise dose de médicaments, ce qui pourrait mener à une surdose.

Dans ce rapport, qui a été publié par l’American Academy of Pediatrics, on précise que la fièvre est loin d’être un mauvais signe, puisqu’elle signifie simplement que le corps de l’enfant combat la maladie.

Ils affirment donc qu’alterner des doses de paracétamol et d’ibuprofène pourrait faire plus de mal que de bien.

On peut lire dans ce rapport : « L’accent devrait être mis sur le fait que la fièvre n’est pas une maladie, mais un mécanisme physiologique qui a des effets bénéfiques dans la lutte contre les infections. »

Soulignons que la consommation de paracétamol chez les jeunes enfants peut avoir un lien avec l’asthme, alors que l’ibuprofène, dans des cas très rares, peut mener à des ulcères d’estomac, voire à des problèmes de reins.

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L’aspirine et l’ibuprofène seraient dangereux pour le foetus

Une étude parue dans Le monde.fr pointe du doigt l’aspirine, l’ibuprofène et le paracétamol comme des facteurs de risque durant la grossesse.

En effet, après avoir étudié le cas de 2 300 mères danoises et finlandaises, des chercheurs sont arrivés à une conclusion des plus inquiétantes.

Il semble que les garçons dont la mère avait pris des antalgiques de ce genre durant sa grossesse présentaient plus souvent des malformations congénitales.

L’absence de descente des testicules dans le scrotum, aussi appelée la cryptorchidie, s’était produite dans un plus grand nombre de cas.

Ce phénomène a été observé chez les mères ayant pris plus antalgiques durant leur deuxième trimestre de grossesse.

Pour l’instant, aucun risque encouru par la prise de ces médicaments n’a été relevé chez les filles.

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L’ibuprofène, plus efficace contre la douleur

Une étude menée par la Dre Amy Drendel, qui oeuvre au département de pédiatrie du Medical College au Wisconsin, l’amène à conclure que l’ibuprofène est l’analgésique le plus efficace pour enrayer la douleur attribuée à une fracture chez les enfants.

La chercheuse a entre autres comparé l’efficacité entre l’acétaminophène avec codéine et l’ibuprofène et elle conclut que c’est ce dernier qui atténue le plus la douleur.

La Dre Drendel a travaillé avec 336 enfants, âgés de 4 à 18 ans, qui ont été admis à l’Hôpital pour enfants du Wisconsin pour une fracture au bras. Elle a découvert que l’ibuprofène était le traitement préféré par les enfants dans 90 % des cas.

« La majorité des enfants avec une fracture éprouvent une douleur assez importante pour justifier l’administration d’un analgésique et notre étude peut aider les cliniciens à choisir la médication la plus efficace pour les enfants », a fait savoir la Dre Drendel.