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Dépression et psychose : Florence K se confie

Suite à une terrible dépression, Florence K se confie sur le chemin qui l’a mené là, et celui qu’elle a dû prendre pour s’en sortir, dans son nouveau livre intitulé Buena Vida.

Dépression, anxiété, idées suicidaires, automutilation, l’artiste raconte comment une vie pourtant bien bâtie a pu se transformer en cauchemar, rapporte le Journal de Québec

«J’ai écrit ce qui se passait dans ma tête à l’époque», dit-elle en entrevue.

«C’est pour ça que j’ai écrit le livre au présent. Plein de souvenirs de cette période me sont revenus pendant l’écriture. Des trucs que j’avais dû réprimer. Je me disais: Oh, my God, c’est arrivé pour vrai!»

Après avoir été hospitalisée et traitée, Florence K se porte aujourd’hui très bien et se dit beaucoup mieux outillée pour faire face aux problèmes de la vie.

«J’ai les outils pour ne pas que ça se transforme en anxiété. Les peurs, je les gère. Comme je le dis à la fin du livre, j’ai probablement une prédisposition. Ce n’est pas tout le monde qui se rend à la psychose», croit Florence K.

Le livre Buena Vida sort aujourd’hui, le 14 octobre. Au printemps prochain, Florence K lancera également un album dans lequel elle interprète des classiques de jazz.

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La cyberintimidation a des conséquences plus graves que l’intimidation traditionnelle

Une nouvelle recherche basée sur une méta-analyse relevant les données de 284 375 participants été publiée dans la revue JAMA Pediatrics.

Le suicide est la cause principale de décès des adolescents à travers le monde. Aux États-Unis uniquement, environ 20 % des adolescents considèrent sérieusement le suicide et de 5 à 8 % font des tentatives chaque année.

Certains suggèrent que selon le pays et la nationalité, de 5 à 20 % des enfants sont victimes d’intimidation verbale, physique ou basée sur l’exclusion sociale. L’intimidation représente donc un risque très sérieux d’idées et de tentatives suicidaires.

Les chercheurs ont associé les idées suicidaires à la cyberintimidation dans 70 102 cas, sur les 34 études observées. Auparavant, on croyait que celle-ci était égale à l’intimidation traditionnelle, mais cette nouvelle perspective avance que les conséquences sont encore plus dommageables.

« Ils sont plus sévères parce que la cyberintimidation peut joindre un nombre beaucoup plus élevé de jeunes à l’aide d’internet, et les propos peuvent être sauvegardés en ligne. Par conséquent, les victimes peuvent retourner voir les propos dénigrants et revivre en boucle l’expérience. »