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Certains médecins n’arrivent pas à détecter les patients obèses

Des chercheurs de l’Université de Liverpool ont réalisé que la majorité des gens, de toute façon, sont incapables de déterminer par un simple examen visuel si une personne est obèse, en surpoids ou a un physique considéré comme sain.

Pour en arriver à cette conclusion, de nombreuses personnes ont simplement « étiqueté » des photos d’hommes dans les catégories appropriées, informe Science World Report.

Dans certains cas, même des spécialistes, à l’aide d’une image, faisaient erreur. Certains hommes en surpoids étaient classés dans la catégorie « poids santé ».

Pour les chercheurs, il est important qu’un médecin soit en mesure de détecter une personne qui a besoin de revoir ses habitudes alimentaires et son style de vie simplement en la regardant.

« Ceux qui faisaient souvent erreur étaient principalement des médecins stagiaires, mais il y avait aussi des médecins d’expérience », rapporte Dr Eric Robinson, chercheur responsable de l’étude.

Qui plus est, la recherche a permis de comprendre que même les spécialistes sous-estimaient la gravité du problème de surpoids de beaucoup de gens.

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Des applications pour identifier les substances toxiques dans les produits de beauté

Environmental Working Group (EWG), un groupe de recherche et de pression américain, explique que les femmes s’exposent à environ 168 substances chimiques, présentes dans leurs produits de beauté, au quotidien.

En 2004, EWG a lancé sa propre base de données appelée Skin Deep, qui recense les ingrédients potentiellement dangereux présents dans quelque 78 00 produits vendus aux États-Unis. 

Le groupe de pression vient de lancer son application, appelée Skin Deep, compatible iOS et Android. Elle permet de visualiser les ingrédients présents dans ses produits préférés, grâce à une base de données et à un scanneur de code-barres. 

Une application similaire, Think Dirty, est récemment sortie sur iOS. Elle est gratuite et permet aussi de scanner ses produits. Elle comprend des données provenant d’ONG comme EWG, mais aussi des gouvernements canadien, américain et européen. Elle contient à ce jour des informations sur plus de 12 000 produits cosmétiques.