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Les différentes façons d’être non-binaire

Lorsque j’ai compris que je suis une personne non-binaire et surtout quand j’étais en questionnement, j’ai tenu à m’informer en profondeur à propos des réalités vécues par des personnes avec qui je partage le point commun d’être ni totalement homme, ni totalement femme.

S’il y a différentes manières d’être une femme ou un homme, c’est exactement la même chose pour les personnes non-binaires. En revanche, il existe des termes utilisés par certaines personnes non-binaires afin de décrire plus spécifiquement leur réalité. Il est toutefois important de comprendre que ce ne sont pas toutes les personnes non-binaires qui vont utiliser l’un de ces mots pour se décrire.

Agenre: les personnes agenres ressentent une forte absence de genre. Elles ne se sentent ni homme ni femme, ni entre les deux. Certaines personnes agenres ne se considèrent pas non plus comme étant non-binaires, étant donné que leur identité de genre se situe complètement à l’extérieur du spectre homme-femme.

Neutrois: le terme « neutrois » est employé pour désigner les personnes à l’identité de genre neutre. Il est parfois utilisé pour décrire les personnes agenres, mais à la différence de ces dernières, les personnes de genre neutrois peuvent ressentir une identité de genre se situant entre le féminin et le masculin.

Genderfluid: les personnes qui ont une identité de genre genderfluid ont une identité de genre qui change dans le temps. Une personne peut, par exemple, avoir une identité qui alterne entre homme et neutrois.

Demigenre: on utilise souvent les termes demi boy ou demi girl pour décrire des identités qui sont en partie homme ou femme, mais sans jamais être l’un ou l’autre à 100%. Le préfixe « demi » peut aussi être appliqué à une autre identité de genre.

Bigenre: une personne bigenre possède deux genres qu’elle ressent de façon permanente et non de façon alternative comme les personnes genderfluid.

Two-Spirit: ce terme renvoie à une identité de genre que possèdent spécifiquement certaines personnes de populations des Premières Nations. Il désigne les personnes qui ont à la fois l’esprit d’une femme et celui d’un homme.

Il est important de se rappeler que l’identité de genre n’a rien à voir avec l’expression de genre, qui est relative à la manière dont une personne se présente. Alors que l’identité de genre est un ressenti interne propre à chacun, l’expression de genre est plutôt un ensemble de caractéristiques associées à un genre spécifique (par exemple, le port d’une robe est souvent associé à une expression de genre féminine). Une personne non-binaire n’aura donc pas forcément une apparence androgyne.

Pour en savoir plus sur l’identité de genre, voici quelques sources:

Interligne

Jeunesse, j’écoute (adressé aux adolescent.e.s).

La vie en queer

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Devenir maman ne signifie pas perdre son identité

Sur le site SheKnows, on utilise le terme « mombies », faisant référence aux zombies, lorsqu’une femme cesse tout à coup d’être celle qu’elle était parce qu’elle est désormais maman.

Vous pouvez adorer votre rôle de mère sans lui laisser toute la place. Vous devez tout d’abord conserver de l’espace pour votre vie amoureuse, votre vie sociale, mais surtout, pour vous-même.

Évidemment, pendant un temps, les dessins animés et émissions éducatives (parfois douteuses) remplaceront vos séries télévisées préférées, et vous vous coucherez en même temps que bébé, même le weekend.

Il est cependant faux de croire qu’être une mère nécessite une transformation complète. Restez celle que vous étiez, vive, spontanée, drôle… et permettez-vous des sorties en amoureux, un soin au spa ou une soirée entre filles.

Vous penserez toujours à vos enfants lorsque vous en serez séparée, mais vous apprécierez encore plus leur présence à votre retour.

Comme le mentionne She Knows, votre « ancien moi » ne meurt pas lorsque vous avez des enfants; il se bonifie avec le temps. Sa perspective change, ses priorités aussi, mais son fondement, lui, demeure le même.

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Aidez votre enfant à façonner son identité

Selon Parenting Squad, les talents et habiletés d’un enfant se construisent à partir de son caractère. Il est donc essentiel pour le parent de mettre l’accent sur ces traits et qualités, puisqu’ils représentent la nature unique de l’enfant.

Les traits de caractère sont ces petits trésors cachés qui se pointent par les actions et les paroles de votre enfant. Ainsi, vous découvrirez s’il est authentique, aimant, honnête, paisible, généreux, motivateur, travaillant, tenace, juste, aidant, reconnaissant, patient, humble, courageux, et plus encore.

Lorsque vous remarquez des gestes qui font ressortir ces qualités, il est important de reconnaître et de récompenser ce comportement. Par exemple : « Tu travailles tellement fort », ou « J’aime que tu n’abandonnes jamais, je suis fier de toi ».

La force de caractère et la solidité de ses convictions feront de votre enfant un adulte confiant qui réussira plus facilement.

Le parent doit porter une attention particulière aux aptitudes et désirs de son enfant, et non faire une projection de ses propres rêves sur lui. Lorsqu’il répète les mêmes gestes (construire, lancer une balle, dessiner) ou qu’il insiste pour faire une activité, naviguez avec lui sur cette vague.

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Nouvelle menace en ligne : les sites de rencontre pour adolescents

Déjà, l’écart d’âge des participants à ces sites de rencontre pour adolescents, notamment Rencontre-Ados.net, est dérangeant pour tout parent.

La Presse a procédé à un test pour valider l’objectif des adolescents qui consultent ce genre de site, mais aussi aux risques auxquels ils s’exposent. Le danger est non seulement réel, mais omniprésent.

En s’inscrivant avec le profil d’une fille de 12 ans, celle-ci a rapidement retenu l’attention d’autres garçons présents, mais certains avaient plus de 20 ans. Leurs intentions étaient claires, et la demande de la caméra, un incontournable.

La loi prévoit que l’âge du consentement sexuel est de 16 ans. Pour une jeune fille de 12 ou 13 ans, des propos sexuels ne sont pas tolérés au-delà de 2 ans d’écart sans être considérés comme une infraction criminelle. À l’âge de 14 ou 15 ans, la différence d’âge ne doit pas dépasser 5 ans pour l’interlocuteur.

Déjà près de 2000 mineurs québécois fréquentent ce site. Ils y cherchent une identité sexuelle, pierre angulaire de l’adolescence, et l’ouverture d’esprit d’autres jeunes qu’ils n’ont pas à confronter dans la vie de tous les jours. Un mode de rencontre qui est beaucoup plus facile pour eux.

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Un test sanguin aux femmes pour découvrir l’identité du père

Les traditionnels tests invasifs ou à risque pour connaître l’identité du père, comme l’amniocentèse et le prélèvement de villosités choriales, ne peuvent être pratiqués qu’entre la 10e et la 15e semaine de grossesse.

Trop souvent, de multiples grossesses sont non désirées ou sont interrompues trop tôt, sans connaître réellement l’identité du géniteur, alors que les statistiques démontrent que 80 % des avortements sont faits avant 10 semaines de grossesse.

Le test sanguin mis au point par la société privée de biotechnologie Ravgen dans le Maryland pourrait remplacer les tests risqués et donner une réponse plus hâtive aux mères souvent angoissées et inquiètes. Ces dernières pourraient ainsi prendre des décisions éclairées au sujet de leur grossesse, à savoir si elles y mettent un terme ou poursuivent, disent les chercheurs.

Au cours de l’étude, le produit chimique « fixateur », le formaldéhyde, a permis de stabiliser l’ADN fœtal dans le sang de la mère et de produire de grandes quantités analysables. Parmi les 30 participantes enceintes qui ont fait le test entre 2007 et 2010, l’identité de chaque père biologique a été déterminée correctement, indique l’étude publiée dans le New England Journal of Medicine.

Au moment de la naissance des bébés, d’autres tests d’ADN étaient effectués pour confirmer que l’identité du père révélée quelques mois auparavant (soit à 10 semaines de grossesse) était effectivement la même.

Aux États-Unis, 32 000 grossesses seraient non désirées chaque année, indiquent les chercheurs.

Outre la situation de femmes qui ont plusieurs partenaires sexuels ou qui sont infidèles à leur conjoint, les chercheurs admettent que leur test sanguin serait très bénéfique dans le cas des femmes violées qui tombent enceintes (5 % des viols).

Parmi les 200 femmes qui ont fait le test sanguin de Ravgen, environ 50 ont confié au fondateur et président de la société que selon le résultat, leur décision d’avorter pourrait changer.

Le test coûte 1600 $ aux États-Unis. Les experts tentent de réduire le prix pour permettre une meilleure accessibilité et ainsi sauver plus de bébés de l’avortement.