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Alex Ovechkin veut sortir Ilya Kovalchuk de son match

La LNH reprend ses activités normales ce soir alors que pas moins de 12 équipes seront en action.

Le Canadien, qui a repris l’entraînement hier après-midi, recevra pour l’occasion la visite des Capitals de Washington. Ces derniers seront toutefois privés des services d’Alex Ovechkin, qui purgera sa suspension d’une rencontre suite à son refus de participer au match des étoiles.

Mais attention! Le deuxième meilleur buteur du circuit (derrière David Pastrnak) comptait tout de même aider son équipe hier. Ovechkin a confié que même s’il n’allait pas être en uniforme lundi soir, ça ne voulait pas dire qu’il n’allait pas tenter d’aider son équipe… en nuisant à l’adversaire.

Après l’entraînement des Caps hier, Ovechkin a indiqué à la blague qu’il allait peut-être inviter Ilya Kovalchuk pour prendre un verre la veille du match (dimanche soir), question de le maganer un peu, hehe.

« Nous avons une excellente relation […] Je vais peut-être l’amener au bar ce soir et il sera mauvais demain » – Alex Ovechkin

Sur une note plus sérieuse, Ovechkin s’est réjoui des succès que connaît présentement son compatriote russe à Montréal.

Au final, Ovechkin s’est dit déçu de rater ce rendez-vous montréalais, lui qui adore jouer au Centre Bell.

Cependant, les partisans du CH qui croient toujours aux séries ne s’ennuieront pas d’Ovechkin ce soir, eux. 

L’équipe se retrouve ce matin à 10 points d’une place en séries et elle entame une semaine cruciale.

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La proposition d’Ilya Kovalchuk

Eric Engels a partagé une suggestion venant d’Ilya Kovalchuk.

Selon Kovalchuk, la LNH devrait permettre à un joueur de disputer toutes les rondes en tirs de barrage après les trois premières réglementaires. Exemple, Claude Julien pourrait envoyer Ilya Kovalchuk, Nick Cousins et Jordan Weal en fusillade… avant de ramener Weal pour toutes les rondes supplémentaires.

Si bien sûr, Weal est en uniforme ce soir-là.

Le hockey international fonctionne ainsi. On se souviendra longtemps de Jonathan Toews et de ses tentatives réussies pour Team Canada Junior en 2007, alors que Carey Price était aussi le gardien de l’équipe.

Oui, les joueurs aiment les séances de tirs de barrage. Ce sont souvent les entraîneurs et les partisans qui en raffolent un peu moins…

À noter que Nick Suzuki aimerait toutefois que ces séances de fusillade soient retirées des compétitions internationales importantes comme c’est le cas lors des séries éliminatoires dans la LNH.

Charlie Lindgren, lui, prolongerait la période de prolongation à sept ou dix  minutes avant d’entamer des tirs de barrage.

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Nick Suzuki gagnerait à voir Ilya Kovalchuk quitter

La question à 1000 piasses, c’est sans (aucun) doute de savoir si Ilya Kovalchuk fera ses valises.

Il est toutefois intéressant de s’intéresser aux conséquences de voir le Russe rester à Montréal. Oui il sert de leader et oui il impressionne les jeunes, mais il faut aussi penser au temps de jeu que cela leur coupe.

Prenons un jeune comme Nick Suzuki. Excellent – non, exceptionnel dans les circonstances et selon les attentes – depuis le début de la saison, il n’a toutefois pas le temps de jeu qu’il pourrait/devrait avoir. Pourquoi? Parce que le temps de jeu des jeunes est coupé par Claude Julien, qui aime bien ses vétérans. Disons ça comme ça.

Aux yeux de JiC, il est clair que le temps de jeu accordé au Russe de 36 ans empiète sur le développement de la recrue de 20 ans.

On refuse de voir l’évidence. Si Nick Suzuki n’avait pas eu à souffrir de la propension de Claude Julien à tasser des jeunes dans un coin pour mieux leur apprendre à la dure les rigueurs de la Ligue nationale, il serait possiblement en tête de toutes les recrues.

Faites juste penser au nombre de matchs qu’on peut considérer perdus par Suzuki utilisé à l’aile plutôt qu’au centre. Tu fais là, Claude? – JiC

Il est clair qu’avec le retour des blessés, certains joueurs descendront dans la hiérarchie. Il faut simplement espérer que des vétérans improductifs ne couperont pas trop de temps de jeu au jeune homme dans ces conditions-là.

Je ne sais pas pourquoi je souhaite ça… les vétérans coupent déjà son temps de jeu de qualité, notamment avec un homme en plus. Pourquoi cela changerait-il avec plus de bons joueurs sur la glace?

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Ilya Kovalchuk est le meilleur attaquant du Canadien

Selon le Canadien lui-même, il ne fallait pas avoir de très grandes attentes envers Ilya Kovalchuk. Il ne fallait pas s’attendre à un sauveur et Kovalchuk allait probablement devoir commencer par jouer une dizaine de minutes par rencontre, vous vous souvenez?

Or, deux semaines plus tard, Kovalchuk a 7 points en 7 matchs et il passe en moyenne une vingtaine de minutes sur la glace par rencontre.

Depuis qu’il s’est joint au Canadien de Montréal, Kovalchuk occupe le premier ou le deuxième rang de l’équipe dans plusieurs catégories individuelles.

Points : 2e rang (7)
Buts : 1er rang (4)
Points à égalité numérique : 2e rang (5)
Différentiel : 2e rang (+4)
Points en avantage numérique : 1er rang (2)
Tirs au but : 2e rang (19)
Temps de jeu : 3e chez les attaquants (19:40)
Mise en échec : 2e chez les attaquants (12)

Il a quatre points et il affiche un différentiel de plus-4 lors de ses quatre derniers matchs. Depuis son arrivée à Montréal, il a été sur la glace pour 9 des 16 buts de l’équipe!

Pouvez-vous me dire la dernière fois où le CH a eu un sniper d’une aussi grande qualité dans son alignement? Ça remonte à avant Max Pacioretty.

Bref, Ilya Kovalchuk en donne vraiment beaucoup au Canadien… surtout quand on se rappelle qu’il a signé un contrat à deux volets, lui procurant rien de plus que le salaire minimum!

De plus, Kovy agit en tant que véritable leader dans le vestiaire. Il sourit, encourage, parle… Combien de fois a-t-on entendu un joueur des Habs vanter Kovalchuk depuis son arrivée? Souvent! Très souvent! Et ça ne fait que deux semaines qu’il est à Montréal!

La semaine dernière, il a amené tous ses coéquipiers au resto… et il a ramassé la facture. #Leader

Hier soir, il a tenu à diminuer l’importance de ses bonnes performances individuelles parce qu’il n’a pas réussi à faire jouer l’équipe pour au moins .500 depuis son arrivée.

Il refusait de parler au je, préférant parler au nous avec les journalistes.

Mais une question demeure : que fait-on avec Kovalchuk d’ici la fin de la saison?

Ses récentes performances prouvent qu’il a encore du bon hockey à donner à une équipe qui sait l’utiliser à bon escient. Marc Bergevin doit-il tenter de vendre Kovalchuk en retour d’un choix de troisième ronde par exemple?

Oui, un choix de troisième ronde peut devenir un Cale Fleury, mais il peut aussi (et surtout) devenir un Will Bitten, Brett Lernout, Connor Crisp, Mac Bennett, Joonas Nattinen ou Steve Quailer!

Oui, les chances de faire les séries sont meilleures avec Kovalchuk à Montréal… mais elles demeurent tout de même très petites.

Alors, que fait-on avec Kovalchuk? On y va le tout pour le tout et on dit non à un choix additionnel? On le garde pour se donner une chance et pour faire plaisir aux partisans qui payent très cher leurs billets?

Si on le garde, ça diminuera assurément les chances de voir l’équipe repêcher un joueur aussi exceptionnel qu’Alexis Lafrenière…

Alors, on fait quoi?

On lui offre un contrat pour l’an prochain, même s’il a 36 ans et que l’équipe est en reconstruction/reset? Ne se voudrait-il pas le type de vétérans que tu souhaites avoir pour encadrer les jeunes?

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Ilya Kovalchuk pourrait avoir 38 ans !

Si certains d’entre-vous n’étiez pas au courant, dites-vous que l’âge des joueurs en provenance de la Russie au hockey, ou de la République dominicaine au baseball, est peut-être plus élevé qu’indiquer sur leur profil professionnel…

Je me souviens qu’à l’époque des Remparts de Québec, alors que je côtoyais cette ligue (LHJMQ) de très près, les gens s’amusaient à dire que Mikhail Grigorenko avait 21 ans et non 18. Un recruteur bien placé m’a également précisé, toujours à cette époque, que plusieurs personnes en Russie (lorsqu’il y était pour scouter des joueurs) tenaient ce même discours. Aujourd’hui, je ne suis toujours pas au courant de son âge réel.

Il y a quelque temps, certains ont avancé qu’Alex Ovechkin « serait » plus âgé de deux ans que l’âge qu’il affiche pour jouer dans la Ligue nationale. Ovi a 34 ans, en âge Ligue nationale, et s’il a réellement 36 ans, eh ben, il est en forme en tabarouette. Est-ce vrai? Aucune espèce d’idée, mais j’admire le numéro 8 pour plusieurs raisons.

Tout ça me mène vers la dernière rumeur au sujet de l’âge des joueurs venant de la Russie : une rumeur indique qu’Ilya Kovalchuk pourrait (je dis bien : POURRAIT) avoir 38 ans et non 36. 

Mais, le principal intéressé a indiqué que c’était faux, avec un petit sourire en coin. Ces rumeurs se promènent souvent lorsqu’un Russe est repêché et Kovy a précisé que c’était de la foutaise. Eric Engels s’est d’ailleurs assis avec lui à ce sujet et il lui a posé de façon directe la question :

La rumeur à cet effet est très présente en Russie et des hommes bien placés au niveau de la crédibilité jurent pratiquement que c’est vrai. Par contre, pour Kovalchuk, ce sont des âneries. Le vétéran attaquant n’était pas pour divulguer son secret, si secret il y a, bien sûr, lors d’une entrevue. De toute façon, s’il a réellement 38 ans, on peut dire que lui aussi est en très grande forme.

Bref, on peut désormais douter de son âge… ou pas!

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Les Bruins auraient de l’intérêt pour Ilya Kovalchuk

Le Canadien a beau avoir remporté ses deux derniers matchs, l’ombre de ses deux séquences de huit défaites consécutives persiste. L’équipe se retrouve ce matin à sept points d’une place en séries et à moins de remporter ses trois derniers matchs de la semaine (avant le break), Marc Bergevin n’aura pas d’autre choix que de se ranger du côté des vendeurs en vue de la date limite des transactions.

Les seules séries auxquelles on aura droit en 2019-20, ça risque d’avoir été les deux séries de huit défaites de suite!

On le sait. Les joueurs généralement vendus en février sont très souvent des joueurs qui écoulent la dernière année de leur contrat et qui atteindront l’autonomie complète durant l’été. À Montréal, il y a Keith Kinkaid, Christian Folin, Dale Weise, Matthews Peca, Nate Thompson, Marco Scandella et Ilya Kovalchuk qui se retrouvent dans une telle situation.

Non, Dale Weise ne nous rapportera pas un Phillip Danault cette fois!

Marco Scandella et Ilya Kovalchuk, récemment acquis par le Canadien, sont déjà les deux joueurs ayant le plus de chances de quitter la ville en février. Nate Thompson ne rapporterait qu’un choix éloigné au repêchage et sincèrement, ne vaut-il pas mieux le garder alentour des jeunes rendu là?

Kovalchuk a démontré qu’il n’était pas encore un joueur fini au cours des dix derniers jours. Ses quatre points en cinq matchs et son différentiel positif le rendent attrayant pour une équipe qui mise gros ce printemps. Surtout avec un cap hit aussi bas que le sien (700 000 $)…

Pierre LeBrun nous a appris hier que les Bruins avaient aussi contacté Ilya Kovalchuk après son rachat de contrat par les Kings. Cependant, Don Sweeney n’était pas encore prêt à lui soumettre une offre concrète à ce moment-là.

Mais avec les performances de Kovalchuk et son comportement exemplaire depuis son arrivée à Montréal, Sweeney pourrait-il offrir quelque chose à son homologue montréalais d’ici le 24 février afin de mettre la main sur un très bon joueur de location en Kovalchuk? Peut-être…

Surtout si Kovalchuk continue de produire et d’aider le Canadien au cours des cinq prochaines semaines. Sa valeur augmentera assurément…

Mais Marc Bergevin souhaitera-t-il vraiment renforcer l’ennemi juré du Canadien?

Rappelons que le contrat de Kovalchuk ne contient aucune clause de non-échange.

À noter que Pierre LeBrun croit que le CH n’a pas l’intention de se départir de Jeff Petry actuellement… ajoutant par contre que Marc Bergevin devrait faire preuve de plus d’ouverture envers certains scénarios en vue du deadline. Le DG d’une équipe exclue des séries se doit d’étudier tous les scénarios possibles…

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Ilya Kovalchuk s’est exprimé en français

Ilya Kovalchuk a surpris un peu tout le monde en acceptant au début du mois l’offre (au salaire minimum) du Canadien de Montréal.

Le lendemain, il surprenait encore une fois… en s’adressant aux médias venus l’interroger d’abord et avant tout en français.

Plusieurs on cru qu’il ne s’agissait que d’un petit truc marketing de la part de Kovalchuk pour se faire aimer de ses nouveaux partisans sans avoir à faire trop d’effort.

Mais non! 10 jours plus tard – et après avoir prouvé qu’il était venu à Montréal pour work hard -, l’ailier russe a encore une fois utilisé la langue de Molìere en public. Cette fois, il a utilisé quelques mots en français pour souhaiter joyeux anniversaire à sa conjointe, demeurée en Californie avec les enfants, ajoutant au passage qu’il l’aimait beaucoup.

Bien sûr, il s’est d’abord et avant tout exprimé en russe dans son message, mais outre deux petits hashtags, Kovalchuk n’a pas écrit quoique ce soit en anglais. C’est en français qu’il a terminé son message.

Je trouve ça cool de voir un joueur des Habs démontrer qu’il est au courant de l’importance du français dans la ville. Combien de fois a-t-on vu les capitaines se succéder et ne jamais parler français?

Combien de fois a-t-on vu les plus haut salariés du club ne jamais lancer une phrase ou deux en français?

Pourtant, bon nombre d’entre-eux comprenaient l’importance du français pour leur famille. #EnfantsParlentFrançais #ConjointesParlentFrançais

Pour toutes ces raisons, les efforts d’Ilya Kovalchuk – qui risque de n’avoir été que de passage au Québec -, méritent d’être soulignés.

Mention spéciale à Shea Weber qui avait entamé son point de presse en français, le jour où il a accepté le porter le « C » du capitaine.

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La rédemption d’Ilya Kovalchuk

Ilya Kovalchuk traîne une réputation depuis son arrivée au sein de la LNH, soit d’être un joueur paresseux. 

Un marqueur exceptionnel et un patineur dynamique certes, mais un attaquant qui n’est pas axé sur les replis défensifs. 

C’est ça la description du vétéran de 36 ans et ça ne date pas d’aujourd’hui. 

Est-ce une réalité, une fiction ou un point qu’il a amélioré? 

Il semble malhonnête de croire qu’il est paresseux. Le numéro 17 est avec le Canadien, donc tout le monde peut désormais le juger convenablement.

Comme le dicton l’indique : les rumeurs, il faut en prendre et en laisser. Très vrai!

Renaud Lavoie était de passage Aux Partants ce matin et il a tenu à mettre les points sur les « i » et les barres sur les « T » au sujet d’Ilya Kovalchuk. Lavoie ne s’est pas gêné pour spécifier que les dires à son sujet étaient tout le contraire de ce qu’on lui murmurait. On chuchotait tout récemment, en provenance de Los Angeles, que Kovy ne semblait pas vouloir travailler. Ne pas vouloir travailler et ne pas être dans un environnement confortable, ce n’est pas la même chose…

Renaud n’a pas passé par quatre chemins pour rectifier et corriger la réputation du joueur d’origine russe :

«Ilya Kovalchuk est tout le contraire de ce qu’on m’avait dit. Il n’y a pas d’autres façons de le dire. C’est quelqu’un de spécial? Il n’a rien de spécial, si ce n’est son talent. C’est le seul endroit où il est spécial. C’est un vrai. Il n’y a pas d’autres façons de le dire. Il était dans une mauvaise position visiblement à Los Angeles. Les attentes devaient être différentes. Évidemment, à 700 000 $ pour une saison, (c’est autre chose). Mais au-delà de l’argent, car ce n’est pas une question d’argent, l’athlète est fantastique. Je pense qu’on va se rappeler longtemps du passage d’Ilya Kovalchuk à Montréal!» – Lavoie

J’aime ça. Kovalchuk mérite amplement ce type d’encensement. De plus, les joueurs dans le vestiaire du Canadien sont rapidement tombés en amour avec lui. Dans le cas de Max Domi, il admire ce joueur depuis très longtemps, lui qui le sélectionnait lorsqu’il jouait au jeu NHL.

Domi n’en revient toujours pas de son but, qui a été réalisé à l’aide d’un vif lancer foudroyant et d’une précision chirurgicale. 

Bref, même s’il n’aura fait que passer, tout le monde s’en souviendra.

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Ilya Kovalchuk s’achète une maison de 11,2M$

Bien souvent, lorsque l’on signe un nouveau contrat, on aime se faire un petit cadeau à soi-même.

Ilya Kovalchuk a signé il y a quelques jours un contrat de 700 000 $ avec le Canadien. Cependant, puisqu’il ne restait que 50 % de la saison à disputer, on peut davantage parler d’un contrat de 350 000 $ dollars réels.

Et comme Kovalchuk pourrait toucher un salaire de seulement 70 000 $ dans la Ligue Américaine – on se doute qu’il briserait son contrat avant de se retrouver à Laval -, on peut conclure que s’il s’est fait un cadeau, ce n’est certes pas un cadeau de plusieurs millions $.

Pourtant, on a appris hier après-midi que le nouvel ailier russe du Canadien s’était acheté une maison de 11,2 millions $ à Beverly Hills, Los Angeles. 11,2 millions $!

Vous aurez compris que cette transaction n’a pas été conclue en lien avec son nouveau contrat à Montréal, mais plutôt avec les 68 millions $ que Kovalchuk a touchés au cours de sa carrière dans la LNH (en plus de ceux gagnés dans la KHL).

Kovalchuk et sa conjointe n’ont jamais caché leur amour de la Californie (et de la région de New York). Ils l’ont prouvé encore une fois avec cet achat!

Peu de détails ont émergé concernant cette somptueuse demeure, outre le fait qu’il s’agit d’une maison à un seul étage munie d’une superbe piscine et située à proximité d’un petit mont.

La maison aurait été construite en 2018, elle ferait 6 600 pieds carrés, elle contiendrait cinq chambres à coucher et 5,5 salles de bain.

Au départ, les anciens propriétaires demandaient 16,888 millions $ pour celle-ci.

La famille d’Ilya Kovalchuk n’a donc pas suivi ce dernier à Montréal. Elle est restée en Californie, là où les enfants vont à l’école. Difficile – encore plus qu’avant – d’imaginer quelque plan à long terme que ce soit entre Kovalchuk et le Canadien…

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Les péripéties d’Ilya Kovalchuk

Outre John Tavares, l’un des joueurs autonomes sans restriction qui fait le plus jaser dans la LNH présentement est Ilya Kovalchuk.

Kovy a quitté les Devils en 2013, soit seulement trois ans après avoir signé son contrat de 15 ans avec ceux-ci. Il a pris ce jour-là sa retraite du hockey nord-américain… Crachant par le fait même sur 67 millions $ garantis.

Mais après avoir disputé cinq saisons complètes à St.Petersburg, le voilà qui effectuera un retour dans la LNH (à 35 ans).

Qu’est-ce que l’on sait sur ce retour?

1. Ilya Kovalchuk et sa conjointe regardent d’abord et avant tout pour jouer en Californie ou dans la région new-yorkaise. Les Rangers, les Devils (son ancienne ville), les Islanders (Lou Lamoriello), les Sharks et les Kings étaient donc au départ les cinq équipes les plus susceptibles d’accueillir l’attaquant russe.

2. Les palmiers de la Floride pourraient aussi s’avérer être un attrait pour sa famille et lui.

3. On raconte que Kovalchuk voudra gagner à court terme. Oubliez donc les équipes en reconstruction alors…

4. Selon Richard Labbé, le Canadien aurait eu des chances de signer Kovalchuk s’il avait pu conserver les services de Radulov (et s’il n’avait pas connu une saison aussi atroce).

5. Ilya Kovalchuk se serait informé sur le Canadien et la vie montréalaise à Alex Kovalev. Il aurait donc au minimum (selon Georges Laraque) un petit intérêt pour le Canadien (ne serait-ce que pour l’aider à négocier, hehe). Rappelons que c’est le CH qui avait obtenu les services de Radulov lors de son retour en Amérique.

6. En avril dernier, un journal russe rapportait que Kovalchuk avait signé une entente préliminaire avec les Rangers. Un contrat de deux ou trois ans qui rapporterait environ six millions par saison à Kovalchuk. Bizarre pour une équipe en reconstruction, mais bon…

7.
Certains journalistes ont vu dans cette rumeur-là un simple moyen pour Kovalchuk de mieux négocier avec un club contender.

8. Le 30 mai dernier, Ilya Kovalchuk a décidé de remplacer son agent. Il est passé de Puck Agency (Jay Grossman) à CAA Hockey (Pat Brisson et J.P. Barry). S’il y avait une entente préliminaire, elle ne tenait visiblement plus…

9. Le prochain contrat de Kovalchuk devrait contenir quelques bonis à la performance (35 ans et plus).

10. À un certain moment, on a ajouté le nom des Blues à la liste des équipes intéressées à Kovalchuk.

11. Kovalchuk a rencontré les Kings et les Sharks au cours des dernières heures.

12. Il faut aujourd’hui ajouter le nom des Red Wings de Detroit, des Bruins de Boston, des Stars de Dallas (Radulov) et des Ducks d’Anaheim à la liste des équipes intéressées aux services de Kovalchuk. Les Maple Leafs et les Canadiens ne seraient pas/plus dans le portrait. Les Red Wings, qui ont beaucoup d’espace sous le plafond salarial, seraient particulièrement agressifs…

Rappelons que les Red Wings avaient aussi démontré un grand intérêt envers Alexander Radulov avant d’être coiffé au final par le Canadien. Même s’ils avaient osé offrir un contrat de deux ans à Radulov selon les infos de l’époque…

13. On m’a confié hier que Kovalchuk pourrait toucher jusqu’à huit millions $ par saison (avec des bonis à la performance). Kovy a marqué plus de 30 buts lors de ses deux dernières campagnes en Russie. Il a aussi obtenu 78 et 63 points…

14. Selon Pierre LeBrun, les top contenders sont désormais : Kings, Bruins, Rangers et Sharks.

À noter que Kovalchuk peut discuter avec qui il veut présentement, mais qu’il doit attendre le 1er juillet avant de signer un contrat officiel de la LNH.

Avec quelle équipe s’entendra-t-il selon vous?

(Crédit: YouTube (capture d’écran))

En rafale

– Alex Ovechkin est prêt pour le défilé de 11h à Washington!

– Nicolas Deslauriers a eu de la chance?

– La petite signature du jour…

– Le jeune espoir Rasmus Sandin disputera visiblement la prochaine campagne en Suède.

– Tu penses, Richard?