Catégories
Ton petit look

Elle est belle: J’ai participé au nouveau vidéoclip de Renee Wilkin

Le clip Elle est belle de Renee Wilkin est sorti vendredi dernier! Il y a un mois, j’ai eu l’opportunité de participer au tournage en faisant ce que j’aime faire le plus : danser! Le concept était d’aborder en images la diversité corporelle en recréant des scènes d’anthologie du monde de la musique pop comme Dirrty de Christina Aguilera ou bien Blurred Lines de Robin Thicke, mais avec des femmes ayant des types de corps habituellement non représentés dans les médias.

Du haut de mes 35 ans et de mon 1.58 mètre, j’ai eu un énorme plaisir à « incarner » Beyoncé dans une scène rappelant son clip Singles Ladies (Put a Ring on It). J’ai vécu une super belle expérience et j’ai rencontré des femmes extraordinaires qui ont chacune une histoire touchante à raconter. Mais est-ce que j’ai dit que c’était aussi un tournage vraiment, mais vraiment amusant? Je pense avoir été celle qui a ri le plus pendant le tournage!

Pratique de danse lors du tournage / Dominic Lafleur
Crédit:Behind the scenes / Dominic Lafleur

« Si j’avais su que j’avais tout pour séduire un jour »
« Si j’avais su, les jours de mon enfance auraient été moins lourds »

Maintenant que le clip est sorti, les paroles de la chanson résonnent dans ma tête en ramenant des flashbacks du passé. C’est que mon estime a été fragilisée dès ma petite enfance et chaque nouvelle situation est venue me trigger même à un âge où j’étais devenue « reconnue » pour mon style et ma beauté.

Je pense, entre autres, à cette dame qui a fait remarquer à ma mère (devant moi) que ma peau aurait pu être beaucoup plus claire si elle n’avait pas eu d’enfants avec un « homme de couleur ». Je pense à ce garçon qui me niaisait à l’école et qui m’a dit que je n’étais pas assez belle. Je pense à ce petit ami qui me rabaissait sans cesse pour remonter son estime.

Behind the scenes / Dominic Lafleur
Crédit:Behind the scenes / Dominic Lafleur

M’accepter, avoir confiance en moi, reconnaître ma valeur… c’est le combat de ma vie. J’ai appris à aimer mon visage avec ses particularités, mes seins, mes fesses et leurs formes imparfaites. Pendant trop longtemps, je me suis détesté et il ne s’agissait pas seulement de mon apparence physique.

« Je n’évite plus les miroirs. Il m’a fallu du temps pour me voir. »

Malgré mes accomplissements, je doutais constamment de moi et je croyais être une mauvaise personne jusqu’au point de remettre en question mon existence sur Terre. Il m’a fallu aller chercher au plus profond de moi l’origine de mes insécurités et me déprogrammer de fausses croyances. Je ne dis pas tout ça pour me victimiser. J’en parle parce que j’espère que quelqu’un se reconnaîtra et que ceci l’aidera à aller de l’avant.

Les paroles de cette chanson me touchent profondément et participer à ce vidéoclip a apporté un baume sur mon cœur. Ce cœur-là qui continue de guérir des blessures du passé. Un pas à la fois, j’apprends à aimer qui je suis et ce qui me rend unique, à l’intérieur comme à l’extérieur. Je suis fière de mon cheminement. Mon cœur est devenu un peu plus léger depuis que j’ai participé à ce vidéoclip. J’espère qu’il vous fera autant de bien qu’il m’en a fait.

Bon visionnement!

Catégories
Uncategorized

L’image corporelle chez l’enfant

Dès un très jeune âge, certains enfants souffrent déjà d’une faible estime de soi et donc, entre autres, de troubles de nutrition et d’hyperactivité volontaire.

Il n’est pas rare d’entendre que des enfants aussi jeunes que 5 ans refusent de manger par peur d’engraisser. D’autres font de l’exercice non pas pour s’amuser, mais pour « maintenir leurs poids ».

Sur PsychologyToday, on suggère plusieurs astuces pour encourager de saines habitudes chez nos enfants. On dit notamment de les encourager à boire beaucoup d’eau, de ne pas les forcer à finir leur assiette s’ils se disent rassasiés et de ne pas les critiquer sur leur apparence.

Il est important aussi de montrer l’exemple et de ne pas seulement dicter ce que l’enfant devrait faire. Comme nous avons tendance à être totalement déconnectés de notre corps, il est crucial d’expliquer comment écouter son corps. Ainsi ils apprendront à ne pas attendre d’être affamés pour manger, et cesser de manger avant de se sentir bourrés.

Il est également recommandé de les pousser à faire de sains exercices. À leur âge, ils ont besoin de beaucoup d’activité physique, mais il ne faut pas que le but soit autre que de brûler de l’énergie et de s’amuser.

Catégories
Uncategorized

À 6 ans, elles veulent être sexy…

Certes, elles désirent devenir sexy et populaires, mais vouloir l’être immédiatement est une autre chose. L’hypersexualisation est partout. Les médias y sont pour beaucoup, mais certaines mères aussi, avec leurs exigences élevées de beauté et de succès.
 
Dans le cadre d’une étude menée auprès de fillettes âgées de 6 à 9 ans, effectuée par des psychologues du Knox College dans l’Illinois, la majorité des filles disent vouloir être sexy et bénéficier des avantages sociaux qui viennent avec.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont montré deux sortes de poupées aux 60 petites filles participantes. L’une des poupées était « normale », alors que l’autre était « sexy » avec son maquillage et ses vêtements décolletés.
 
À chacune des enfants, les chercheurs ont posé les questions suivantes : « Quelle poupée te ressemble le plus? », « À qui aimerais-tu le plus ressembler? », « Avec qui aimerais-tu jouer? » et « Laquelle est la plus populaire selon toi? ».
 
Pour deux de ces questions, 68 % des fillettes ont affirmé qu’elles voudraient ressembler à la poupée sexy, tandis que 72 % étaient persuadées que la poupée sexy était plus populaire que l’autre.
 
Fait intéressant, les réponses étaient quelque peu différentes lorsque les chercheurs ont sondé un groupe de fillettes faisant partie d’un cours de danse. Elles tendaient davantage vers la poupée normale.
 
Les chercheurs, dont l’étude est parue dans la revue Sex Roles, ont conclu que le sport était sans doute un moyen pour développer une bonne estime en soi, l’appréciation de l’image corporelle et le sens du travail pour un corps sain.
 
Catégories
Uncategorized

Les enfants sont accros à l’image

Selon une récente étude, la moitié des filles et le tiers des garçons seraient prêts à tout pour avoir un corps parfait ou pour atteindre le poids idéal.

Menée auprès de 810 enfants, cette étude révèle aussi qu’ils sont prêts à poser des gestes dangereux pour leur santé afin d’atteindre leur but, lit-on sur Mail Online.

Un garçon sur dix prendrait donc des stéroïdes pour devenir musclé, et une fille sur huit prendrait des pilules pour maigrir – des laxatifs, par exemple.

De plus, 50 % des répondants ont avoué avoir comparé leur corps avec ceux des vedettes de la télévision. Filles comme garçons, le quart souhaiterait un jour subir une chirurgie esthétique.

On remarque une tendance très forte au recours à des solutions rapides, au prix de la santé, pour obtenir le corps idéal. Et cette situation ne touche plus que les filles, les garçons en sont désormais tout aussi touchés.

On décrit ainsi la pression exercée sur les enfants par les médias. Souvenons-nous qu’il y a quelques mois, on apprenait que des enfants aussi jeunes que cinq ans étaient traités pour anorexie sévère.

Catégories
Uncategorized

Une thérapie sur l’image corporelle aide à la perte de poids

Des chercheurs de l’Université Technique de Lisbonne et de l’Université Banger du Pays de Galles ont suivi des femmes en surpoids.
 
En plus du régime alimentaire, une partie du groupe a suivi une thérapie pour améliorer son image corporelle. Ces femmes ont perdu 7 % de leur poids, comparativement à seulement 2 % chez les femmes n’ayant pas eu de thérapie.
 
Ainsi, l’étude publiée dans le Journal of Behavior Nutrition and Physical Activity laisse croire qu’avoir une bonne image corporelle de soi aide à perdre plus de poids.
 
« Les problèmes d’image corporelle sont très communs chez les personnes en surpoids ou obèses, les poussant souvent à manger pour se rassurer et à prendre des habitudes alimentaires rigides, qui sont autant d’obstacles à la perte de poids », explique le chercheur Pedro J. Teixeira.
 
« Nos résultats ont montré une forte corrélation entre une meilleure image de son corps (surtout en réduisant les inquiétudes sur ce que les autres pouvaient penser) et des changements positifs d’habitudes alimentaires. Nous pensons donc qu’un rapport plus sain à son corps représente un aspect important de la perte de poids et devrait être travaillé par tous les programmes de contrôle du poids », ajoute le chercheur.
 
Catégories
Uncategorized

Effets sournois de la télévision

Des chercheurs de l’École de médecine de Harvard se sont penchés sur l’effet néfaste que peut avoir la télévision sur les jeunes filles.

Après avoir suivi des adolescentes de Fiji, ils ont remarqué que le taux de troubles alimentaires était tout aussi élevé même si grand nombre d’entre elles n’avaient même pas de téléviseur à la maison.

C’est que l’influence déjà vécue par leurs amies se transposerait à elles, apprend-on sur ScienceDaily.

Les chercheurs ont donc conclu que l’influence de pairs qui consomment beaucoup de télévision est encore plus grande que si une personne l’écoute elle-même.

En fait, selon ladite étude, les jeunes filles qui souffraient de troubles alimentaires étaient liées à 60 % à des copines qui regardaient beaucoup la télévision.

Ce taux était indépendant du fait que les jeunes filles visées écoutent elles-mêmes la télévision ou non.