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La maltraitance vue par résonance magnétique

On lit dans Radiology que la preuve de maltraitance faite à un jeune enfant pourrait être faite à la suite d’une imagerie cérébrale par résonance magnétique.

À l’aide de ce procédé, on peut reconnaître des saignements à la moelle épinière, qui surviennent souvent à la suite d’un traumatisme violent. Les caractéristiques du traumatisme crânien volontaire, en ce qui concerne la radiologie, comprennent des saignements à l’intérieur du crâne et des lésions cérébrales.

En examinant le rachis des enfants ayant subi un traumatisme crânien modéré à sévère, on pourrait distinguer les cas accidentels des volontaires. Un procédé de distinction de ces cas serait donc à envisager.

Le traumatisme crânien sévère, indiquent les chercheurs, constitue la cause première des lésions cérébrales chez les bébés. Le taux de mortalité relié à cette situation s’élève de 20 à 38 %. De plus, 30 à 78 % des enfants qui en font l’objet en gardent d’importants problèmes neurologiques et de développement.

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La vérité sort de la tête des enfants

La culture populaire serait définissable par l’imagerie cérébrale, selon une étude de l’Université Emory à Atlanta. Des chercheurs ont fait ce constat après avoir observé l’activité cérébrale de 27 jeunes participants.

Ces derniers écoutaient de nouvelles chansons pendant l’expérience. Au nombre de 120, elles provenaient toutes de My Space et avaient été composées par des musiciens plus ou moins connus.
 
On essayait ainsi, dans la mesure du possible, de faire écouter des airs qui étaient jusque-là inconnus aux participants. Les jeunes devaient aussi évaluer les chansons selon une échelle d’un à cinq, en plus de leur test de résonnance magnétique.
 
Trois ans plus tard, on a remarqué un lien entre l’éclosion de la popularité d’une chanson et la réponse cérébrale que les enfants ou adolescents avaient présentée à son écoute.

Cette constatation s’est faite par surprise, car le but premier de l’étude était de relever l’influence des pairs sur l’opinion des jeunes. Les résultats sont parus dernièrement dans le Journal of Consumer Psychology.

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Différences cérébrales reliées au TDAH

On a entendu parler au cours des derniers mois de dissemblances cérébrales chez les enfants autistes. Cette fois, l’expérience a été effectuée auprès d’enfants atteints d’un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

Des chercheurs du Kennedy Krieger Institute ont donc pu statuer, selon l’imagerie cérébrale d’enfants d’âge préscolaire, que le TDAH est lui aussi lié à des différences au niveau du cerveau, lisons-nous dans Clinical Neuropsychologist.
 
Les jeunes participants étaient âgés de quatre ou cinq ans. Sur 26 enfants, 13 avaient reçu un diagnostic de TDAH et la seconde moitié suivait un développement habituel.
 
La région du cerveau responsable de la maîtrise cognitive et motrice était plus petite chez les enfants atteints que chez les autres. Cette découverte ouvre bien sûr la porte à de futures interventions pouvant être accomplies le plus tôt possible.

Cette avenue est donc très encourageante, car il a été démontré que les enfants ayant reçu un diagnostic de trouble déficitaire de l’attention en bas âge étaient plus à risque de vivre des difficultés d’apprentissage et sociales.

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L’imagerie cérébrale pour les enfants dyslexiques

Quarante-cinq enfants ont participé à une étude de l’Université Stanford, en Californie, portant sur la dyslexie. Parmi eux, 25 étaient dyslexiques.

On peut lire le détail de cette recherche dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

Grâce à l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) et celle de diffusion, il a été possible aux chercheurs de l’étude de prédire les améliorations de lecture chez les enfants dyslexiques.

On pourrait donc agir très tôt pour résoudre la dyslexie, voyant d’avance comme ce trouble se développera.

La dyslexie touche de 5 à 17 % des enfants. Certains réussissent à se débrouiller en trouvant leurs propres techniques, mais plusieurs d’entre eux rencontrent des problèmes d’apprentissage collatéraux.