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L’hypertension chez les jeunes obèses

On lit dans Hypertension: Journal of the American Heart Association que les jeunes obèses sont réellement à risque de souffrir d’hypertension. Il avait déjà été démontré qu’ils pouvaient faire face à ce problème de santé.

Maintenant, on apprend qu’ils sont trois fois plus à risque d’avoir une haute pression sanguine que les enfants qui ont un poids normal. Cela annonce la pression sanguine qu’ils auront, une fois l’âge adulte atteint.

Selon les résultats de la présente étude, lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) d’un enfant dépasse le 85e percentile, l’effet de la masse adipeuse (sous la peau et autour des organes vitaux) sur sa pression sanguine était 4 fois plus important que chez les enfants d’un poids normal.

Mentionnons qu’à partie du 85e percentile, un enfant est considéré en surpoids. On a fait ces constatations après avoir suivi 1111 enfants en bonne santé générale durant 4 ans et demi. Le percentile d’IMC a été choisi pour faire l’analyse, car l’indice comme tel doit changer et augmenter au fur et à mesure que l’enfant grandit.

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Maman en surpoids : impacts sur le foie

On lit dans Pediatric Research que les effets de l’embonpoint sont nombreux chez l’enfant. Des chercheurs ont découvert une autre influence de l’indice de masse corporelle (IMC) de la future maman.

C’est qu’un IMC élevé durant la grossesse aurait des répercussions encore plus importantes que l’on croyait jusqu’ici. Ainsi, un bébé né d’une mère en surpoids sera non seulement plus gros et aura plus de gras dans la région de l’abdomen, il aura aussi une plus grande quantité de gras dans son foie.

De plus, même si l’indice de masse corporelle de la mère demeure dans les normales, il peut tout de même influencer la quantité de gras que le bébé accusera à sa naissance. On soutient aussi que ce lien pourrait exposer l’enfant à de plus grands risques de problèmes métaboliques.

Cette étude a porté sur 105 nouveaux nés dont on a déterminé l’indice de masse corporelle. L’IMC de leur mère avait été évalué avant leur naissance.

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En santé, pas seulement durant la grossesse!

Selon une étude américaine parue dans l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, il ne faudrait pas se soucier de sa santé et de son alimentation uniquement pendant une grossesse. Il semble que la santé de la femme ait un impact jusqu’à sept ans avant qu’elle soit enceinte.

En effet, le risque de diabète de grossesse serait déjà dessiné par le profil cardiaque et métabolique de la mère, et ce, avant même qu’elle tombe enceinte.
 
Ce risque serait multiplié par 5 lorsqu’une femme a un indice de masse corporelle (IMC) plus grand ou égal à 25 et qu’elle a un taux de glucose entre 100 et 140 mg/dl.
 
On pourrait donc prédire le diabète de grossesse en mesurant le taux de glucose, l’IMC et l’hypertension d’une femme.

Les chercheurs ajoutent que le facteur le plus déterminant de cette forme de diabète demeure l’obésité, qui survient dans 44 % des cas. Sinon, il semble que l’hypertension augmente les risques de 50 %.

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Faites bien dormir vos enfants

Il existerait bel et bien une relation entre les heures de sommeil chez l’enfant et sa propension à l’obésité. Cette fois, le problème a été abordé par des scientifiques sous un nouvel angle.

Des chercheurs de l’Université d’Otago, en Nouvelle-Zélande, expliquent donc dans BMJ que chaque heure de sommeil par nuit est liée, chez un enfant, à une réduction de 63 % de l’indice de masse corporelle (IMC).
 
Pour en arriver à ce constat, 244 enfants âgés de 3 à 7 ans ont été suivis. Pour tous les âges, le temps de sommeil moyen était de 11 heures par nuit.
 
D’autre part, même si une évidence statistique n’a pu être établie hors de tout doute, on a aussi remarqué que les heures de sommeil supplémentaires entre 3 et 5 ans représentaient une baisse de 51 % de l’IMC, une fois l’âge de 7 ans atteint.

On a donc pu remarquer, encore une fois, un lien évident entre les habitudes de sommeil et le surpoids des enfants. Il semble ainsi que les enfants qui manquent d’heures de repos ont plus tendance à souffrir d’obésité en bas âge.

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Le postpartum influencé par le mode de vie

Une récente étude ayant porté sur 60 nouvelles mamans nous apprend que l’augmentation de leur IMC (indice de masse corporelle) est liée à la façon dont elles vivent leur postpartum.

Précisément, ce gain de poids serait causé par l’impact que le stress d’être parent a sur l’activité physique.

Chez les participantes de la recherche, la dépression était liée à une vie peu active et un IMC élevé. À l’inverse, peu ou pas de signes de la dépression était très lié à une vie active et un faible IMC.

Les mères qui présentaient plus de symptômes dépressifs reconnaissaient tout de même leurs qualités en tant que parent.

D’autre part, on a relevé que l’interaction sociale, qui est reconnue comme un indice de bien-être, était étroitement liée à un IMC plus élevé.

On croit donc que les nouvelles mamans voient beaucoup leurs proches, mais qu’en général, elles sont portées à privilégier une vie sédentaire, comme regarder beaucoup la télévision au lieu d’aller se promener avec leur bébé.

Malgré tout, on a pu démontrer, dans le cadre de cette étude parue dans Women & Health, que ce qui influence le plus le mode de vie des mères est leur façon de vivre le stress.

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Si maman travaille, bébé est gros?

Une récente étude menée par trois universités américaines a fait un lien entre l’occupation de la mère et le poids de son enfant. Il semble que plus une maman travaille, plus l’indice de masse corporelle (IMC) de son enfant est élevé.

Pour arriver à cette conclusion, on a suivi 979 enfants jusqu’à la 6e année. Pour chaque 5,3 mois où la mère travaillait, l’IMC de son enfant était 10 % plus élevé que la moyenne habituelle.

Cela revient à dire qu’à chacune de ces périodes de 5,3 mois, les enfants engraissaient de près de 500 grammes de plus que ce qui était attendu en fonction de leur croissance.

Rappelons au passage que l’IMC des enfants a été analysé en fonction du statut de la mère, mais que celui du père ainsi que son rôle n’ont pas été abordés.

On ne saurait expliquer ce phénomène pour l’instant, encore moins en tirer des conclusions hâtives.

Toutefois, une piste d’explication serait que les femmes sur le marché du travail ont moins de temps et seraient portées à acheter plus souvent des plats préparés au lieu de cuisiner des repas santé.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans Child Development.

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L’indice de masse corporelle influence notre bien-être

L’indice de masse corporelle (IMC) peut aider à déterminer notre bonheur.
 
Selon un sondage américain effectué auprès de 250 000 répondants, les personnes obèses ou maigres sont plus susceptibles de souffrir de dépression que celles ayant un IMC normal.
 
L’IMC se calcul ainsi : votre poids (kg)/votre taille2 (m). Pour être considéré comme obèse, l’IMC doit être de 30 ou plus. Il se situe entre 25 et 29,9 pour un surpoids, entre 18,5 et 24, 9 lorsqu’il est normal et en dessous de 18,5 pour une personne maigre.
 
Les personnes obèses (23,2 %) sont plus susceptibles de recevoir un diagnostic de dépression comparativement aux gens maigres (19 %). Par contre, les personnes dites maigres arrivent en tête de classement dans toutes les catégories. Elles sont plus soucieuses, en colère, stressées et tristes, témoignant ainsi d’un déséquilibre émotionnel.
 
Les maigres se disent plus heureux que les obèses, mail ils ont moins de plaisir au quotidien.
Les personnes avec un IMC normal obtiennent de bons résultats partout.
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L’IMC complètement dépassé

La nutritionniste Marie-Claude Paquette, de l’Institut national de santé publique du Québec, affirme que l’indice de masse corporelle (IMC), qui sert à évaluer le poids santé d’une personne, est complètement dépassé.

Lors du congrès Journées annuelles de santé publique, Mme Paquette a mentionné : « Les professionnels de la santé devraient y penser à deux fois avant de conseiller à leurs patients de perdre du poids sur la base de leur IMC, car celui-ci est loin de révéler le véritable état de santé de la personne. »

Pour la nutritionniste, les kilos en trop ne sont surtout pas synonymes de mauvaise alimentation et de sédentarité. À l’inverse, plusieurs personnes ayant un IMC dans la moyenne sont adeptes de la malbouffe et ne pratiquent aucun sport.