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Survivor: Audrey regagnera l’aventure au détriment de certains!

Survivor nous offre un divertissement incomparable depuis le début de la deuxième saison, et alors que nous sommes maintenant bien avancés dans la compétition, les alliances et les stratégies entre les tribus évoluent à une vitesse fulgurante.

Le dernier épisode allait véritablement changer la donne pour le reste de l’aventure, car une personne précédemment éliminée de sa tribu et envoyée en exil aurait la chance de faire son grand retour.

C’est lors d’un défi épique que les quatre candidats envoyés sur une autre île ont rivalisé pour obtenir la dernière place, dans le cadre de la fusion. C’est finalement Audrey, celle qui suscite de nombreuses discussions, qui a remporté le tout.


Ainsi, nous avons dû dire nos tristes adieux à Dominic, Gwladys et Desneiges !

Cette victoire lui insuffle une grande détermination! D’autant plus qu’à la suite de son triomphe, elle a reçu une moitié d’immunité qui, pour l’instant, ne vaut rien tant qu’elle ne sera pas combinée avec l’autre moitié, détenue par son rival, André, contre lequel elle nourrit le désir de se venger.


Son retour suscitera fort probablement la joie de certains, mais le malheur de plusieurs qui redoutent ses capacités et sa soif de vengeance.


Il reste à voir si Audrey restera fidèle au membres de sa tribu d’origine ou si elle décidera de brouiller les cartes…


La suite promet d’être particulièrement captivante, car il sera désormais temps pour tous les participants de fusionner!


Pour ne rien manquer des événements à venir à Survivor, rendez-vous du lundi au jeudi à 19h et le dimanche à 20h sur les ondes de Noovo.

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Le rat-taupe détient-il la clé de la lutte au cancer?

Les scientifiques s’intéressent fortement au phénomène que représente à lui seul le rat-taupe, un type de rat qui vit extrêmement longtemps et qui semble imperméable au cancer.

Comment un animal en particulier peut-il, à lui seul, démontrer une capacité de résistance à la terrible maladie? Le rat-taupe détient-il la clé de la lutte au cancer?

C’est précisément la question qu’aborde une équipe de chercheurs basés à l’Université de Haïfa, en Israël, en collaboration avec d’autres spécialistes américains de l’Université de Rochester.

Le groupe est parvenu à pointer l’un des mécanismes qui expliqueraient cette présumée invulnérabilité au cancer, soit un type d’acide retrouvé dans l’organisme du rat-taupe, l’acide hyaluronique.

Lorsque cet acide est en symbiose avec les cellules, rapporte Santé Log, ces dernières deviendraient « blindées » au cancer, alors que lorsque les chercheurs coupent cette propriété, les cellules deviennent subitement vulnérables à la maladie.

La présence forte de cet élément dans le corps du rat-taupe pourrait s’expliquer par l’évolution découlant d’une vie souterraine.

Mais la véritable question demeure à savoir s’il s’agit d’un modèle applicable à l’humain…

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L’immunité du vaccin contre la coqueluche s’estompe avec le temps

La revue Pediatrics publie les résultats d’une étude démontrant que l’immunité des enfants qui ont reçu le vaccin contre la coqueluche diminue chaque année suivant l’administration de la dernière des cinq doses.

Des chercheurs américains ont analysé les cas d’incidence de la coqueluche chez un peu plus de 200 000 enfants qui avaient reçu toutes les doses prescrites. Parmi ceux-ci, 547 ont tout de même développé la maladie.

Les chercheurs ont constaté que malgré le fait que le vaccin est administré à la grande majorité des enfants, les cas de coqueluche continuent d’augmenter d’année en année. La proportion des enfants touchés âgés de 7 à 10 ans a presque doublé entre 2007 et 2009, passant de 13 % de l’ensemble des cas à 23 %.

Parmi une sous-population d’enfants faisant partie de l’étude, le risque absolu de contracter la coqueluche passait de 15,6 cas par 100 000 enfants durant l’année suivant l’administration de la dernière dose, à 138,4 cas par 100 000 enfants durant la sixième année, selon Med Page Today.

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Les bactéries de la peau seraient bienfaitrices

Une étude effectuée sur des souris et publiée dans le magazine Science démontre que les bactéries de la peau seraient fort utiles pour stimuler l’immunité et prévenir les infections.

Apparemment, les chercheurs ont découvert que les bactéries comme le Staphylococcus epidermidis stimuleraient le développement des cellules immunitaires de la peau des souris.

Déjà en 2009, une étude mentionnait que les bactéries de la peau pouvaient réduire l’inflammation à la suite d’une blessure et aider à la cicatrisation.

Bien qu’on ne sache toujours pas quels sont les impacts réels de ces bactéries sur la santé, il semble qu’ils soient bénéfiques.

Par exemple, les bactéries résistantes de la peau offriraient une protection contre une infection transmise par le parasite Leishmania major.

Les études se poursuivent.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Nourrissons : les bactéries intestinales stimulent leur immunité

L’ajout de probiotiques et de prébiotiques aux préparations pour nourrissons permet de coloniser leur tube digestif avec des bactéries bénéfiques.

Les probiotiques renforcent le système immunitaire des bébés, indiquent deux études de l’Université de l’Illinois.

« Les bactéries bénéfiques qui vivent dans l’intestin d’un bébé sont très importantes pour la santé d’un nourrisson, sa croissance et sa capacité à combattre les infections », a déclaré Kelly Tappenden, professeure de nutrition et de physiologie gastro-intestinale. « Les bébés allaités acquièrent cette protection naturelle. »

Les probiotiques sont des bactéries vivantes qui sont essentielles pour la santé intestinale, explique la chercheuse. Les bébés en ont besoin pour la stimulation de leur microbiote intestinal parce qu’ils sont nés avec un intestin stérile.

Les prébiotiques sont des hydrates de carbone qui résistent à la digestion et stimulent la croissance et l’activité des bactéries bénéfiques dans le tractus gastro-intestinal.

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Plusieurs parents refusent les vaccins

On apprend sur HealthDay News que plusieurs parents ne font pas vacciner leurs enfants. Une étude a par ailleurs été menée sur le sujet en Californie, un État où la règle peut même être évitée.

Que pourrait-on craindre de ce choix? Il semble que l’on devrait s’inquiéter quant à l’immunité collective, qui est ici compromise lorsque des enfants ne reçoivent pas les vaccins d’usage.

On apprend en effet, par cette étude menée par l’University of Pennsylvania, qu’un enfant sur cinq se retrouve non vacciné dans les écoles ciblées. De grandes questions sur la santé et la prévention des maladies devraient être posées, car l’école demeure un lieu important d’exposition aux maladies.

Et le phénomène s’annonce grandissant : de plus en plus de parents font ce choix. Les raisons les plus courantes sont les risques associés à certains vaccins dont on parle dans les médias – rappelons-nous le vaccin ROR et les cas d’autisme, même si cela a été démenti.

Les croyances personnelles sont aussi une raison, mais cela demeure une exception. On soutient que les parents souhaitent plutôt recevoir plus de renseignements quant aux vaccins donnés à leurs enfants et leur sécurité pour la santé.

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Le nanisme contre le cancer

Il semble qu’une forme de nanisme, le syndrome de Laron, donnerait l’immunité contre des maladies comme le cancer et le diabète.

C’est ce que des chercheurs auraient découvert après avoir suivi pendant 22 ans les membres d’une communauté andine de l’Équateur atteinte de ce syndrome.

Durant toute cette période de temps, aucun cas de diabète et un seul cas de cancer (qui s’avérait guérissable) n’ont été relevés.

En comparaison, on a aussi suivi 1 600 membres de la famille des sujets, mais ayant une taille normale. Or, parmi ce deuxième groupe, 5 % ont reçu un diagnostic de diabète et 17 % ont eu un cancer.

Les chercheurs de cette étude longitudinale parue dans Science Translational Medicine ont donc émis l’hypothèse qu’une hormone de croissance serait à la base du développement de ces maladies.

Rappelons au passage que le syndrome de Laron provient d’une déficience génétique qui empêche l’organisme d’employer une hormone de croissance.

Le lien avec l’hormone de croissance s’est imposé de lui-même, car dans le cadre de cette recherche, les facteurs génétiques et environnementaux avaient été isolés. L’espérance de vie, par ailleurs, s’est avérée la même pour les deux groupes de sujets.

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Découverte majeure dans la lutte contre le VIH/sida

Il existe une minorité de personnes qui, même si elles sont contaminées au VIH, peuvent empêcher le virus de se multiplier dans leur système immunitaire, et ce, sans médicament. Elles sont rares, mais détiendraient la clé de la lutte contre la maladie.
 
En fait, une petite protéine représenterait le salut des personnes atteintes du sida.
 
Afin de trouver les différences génétiques, des chercheurs ont recruté 3 500 personnes dans différentes cliniques du monde. 2 500 avaient une infection progressive et 1 000 autres faisaient partie du groupe témoin.
 
Les experts ont identifié 300 sites liés au contrôle immunitaire du VIH qui sont situés dans les régions du chromosome 6 qui code les protéines HLA.
 
Avec une technique spéciale, ils ont isolé les acides aminés et on constaté que cinq variations de ceux-ci dans la protéine HLA-B expliquaient cette immunité naturelle contre le virus.
 
Il s’agit d’une découverte majeure dans le domaine, mentionne le magazine Science.
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L’immunité des personnes âgées

Le Dr Daniel Jernigan prétend que les personnes âgées sont moins vulnérables devant le virus de l’influenza A (H1N1) parce qu’elles ont été potentiellement en contact avec d’autres souches du même virus en 1957.

« Plus on remonte dans le temps, plus il y a des risques qu’une personne ait été exposée au virus H1N1. Il y a aussi une possibilité qui veut qu’une exposition au virus il y a de cela des années ait provoqué une réaction immunitaire qui protège aujourd’hui contre le virus H1N1 », a fait savoir le scientifique.

Malgré la présence d’anticorps dans le sang des personnes âgées face au virus, M. Jernigan croit toutefois qu’il faut agir avec prudence avec ces résultats et que nous sommes encore bien loin d’un vaccin pour traiter les cas d’infection de la grippe A (H1N1).

Rappelons que le virus H1N1 actuel se rapproche de celui de la grippe espagnole de 1918 qui avait provoqué le décès de 20 à 50 millions de personnes à travers le monde.