Catégories
Uncategorized

Une super-étude confirme de nouveau les bienfaits des oeufs

La mauvaise presse que subissent les pauvres œufs semble de plus en plus s’effriter, à mesure que les rapports de spécialistes vantant leurs mérites s’empilent.

C’est précisément le cas d’une nouvelle super-étude rapportée par Top Santé, qui conclut que plusieurs mythes en matière d’œufs restent à prouver, et que les bienfaits d’une consommation d’œufs dépassent en réalité les effets néfastes potentiels.

Publiée dans le British Medical Journal par une équipe de l’Université Huazhong, en Chine, l’étude analyse les données de plus de 20 autres recherches sur le sujet, précédemment déposées.

On conclut ici que, malgré sa forte teneur en cholestérol, « consommer un œuf par jour n’est aucunement lié à une augmentation du risque d’infarctus ». On cite en exemple la population japonaise, friande d’œufs, mais affichant des taux de maladies cardiovasculaires plus bas que plusieurs autres pays.

Les œufs renferment plusieurs vitamines et protéines. Ils s’avèrent très utiles en prévention de nombreuses maladies, notamment celles liées au cerveau, rappellent également les chercheurs.

Encore un bon coup pour l’œuf, qui mériterait donc de retrouver une place de choix dans nos assiettes, selon ces chercheurs chinois.

Catégories
Uncategorized

Les apports en sel seraient influencés par le cerveau, non par la quantité consommée

Une étude publiée dans l’American Journal of Hypertension, et rapportée par Medical News Today, avance que les apports et taux de sel observables chez l’humain sont gérés par le cerveau, invalidant du même coup les récentes publications de la communauté scientifique en matière de consommation de sel.

On le sait, le sel a mauvaise presse depuis un moment, et les campagnes de sensibilisation afin de convaincre la population de réduire les apports alimentaires en sel se multiplient.

Or, selon l’équipe de chercheurs de la UC-Davis, menée par le David McCarron, le cerveau de chaque individu gère les apports en sel de façon différente, ce qui empêche véritablement de tracer une moyenne d’apports recommandés.

On estime à 2200 milligrammes la différence notable, en moyenne, du taux de sel observable chez un individu, des chiffres qui seraient les mêmes depuis 50 ans.

Donc, selon McCarron, les preuves scientifiques sont encore trop minces pour garantir un réel impact négatif sur la santé découlant d’une consommation de sel jugée « trop grande ». Il croit que la façon d’aborder le problème et les efforts de sensibilisation doit être revue.

Si le chercheur et son équipe disent vrai, il s’agirait d’un spectaculaire revirement de situation!

Catégories
Uncategorized

La France s’attaque au problème des ondes

Le débat sur les ondes et leurs impacts sur nos sociétés fait rage depuis l’explosion technologique que l’on connait, mais aussi depuis que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu les dangers potentiels de l’émission massive d’ondes diverses.

La France décide donc de se pencher activement sur le dossier, rapporte Top Santé, et dépose un rapport sur l’exposition aux ondes par ses concitoyens.

Ce dernier, rédigé par un comité d’experts, conclut que l’exposition aux ondes doit être réduite par une diminution de sa concentration, donc qu’elle doit être mieux répartie.

En clair, au lieu de compter sur quelques antennes superpuissantes, il faudrait plutôt les disséminer et compter sur plusieurs antennes et relais, ce qui en donnerait à peu près trois fois plus qu’en ce moment, sur le territoire français.

La polémique entourant les ondes et leur potentiel cancérigène est à son paroxysme avec l’arrivée des nouvelles technologies et du système WiFi, par exemple, offerts partout.

Une députée française, Catherine Grèze, termine avec cette réflexion : « … à l’heure de la course vers toujours plus de fonctions sur nos téléphones mobiles, nécessitant une couverture toujours plus forte, a-t-on vraiment besoin d’avoir accès à la télévision mobile où que l’on soit? »

Catégories
Uncategorized

Les framboises et la fertilité

Une nouvelle recherche rapportée par le Daily Mail (UK) fait état des propriétés bienfaitrices de la framboise en matière de fertilité, notamment chez les hommes.

On avance, du côté des auteurs de l’étude, que la consommation élevée de framboises permet de constater une hausse des capacités reproductrices chez l’homme, et une baisse des risques de fausse couche chez la femme.

Selon les chercheurs du département de l’énergie américain, le phénomène s’expliquerait en partie par les fortes teneurs du petit fruit en antioxydants ainsi qu’en vitamine C.

Juliet Wilson, une nutritionniste spécialisée en fertilité, abonde dans le même sens. « Les framboises procurent des nutriments essentiels qui sont reconnus pour améliorer la fertilité chez l’homme et chez la femme », lance-t-elle.

Une autre étude dévoilait récemment que les hommes âgés de plus de 44 ans possédant les plus hauts taux de vitamine C dans le corps voyaient les dommages causés à leurs capacités de reproduction diminuer de 20 %.

« En plus de leurs vertus santé, les framboises sont donc la collation parfaite pour les couples qui essaient de concevoir! », conclut Juliet Wilson. 

Catégories
Uncategorized

Facebook, manifestement un ennemi du couple

Santé Log rapporte une étude sociopsychologique qui confirme ce que l’on savait déjà : Facebook n’est pas le meilleur ami d’un couple en bonne santé.

Véritable secret de polichinelle, l’impact de Facebook au sein des relations amoureuses est parfois sournois et même dévastateur. C’est ce que confirme cette étude en provenance de l’Université d’Ohio State, qui parle d’un phénomène de « surveillance interpersonnel ».

Ainsi, outre les occasions de faire des rencontres et de tricher virtuellement grâce au réseau social, on se rend compte qu’un grand nombre de gens espionnent leur tendre moitié ou encore leurs ex!

Et alors que les soupçons grandissent, la tension aussi. Rien pour améliorer des relations modernes déjà éphémères et souvent superficielles ni la capacité de patience et la traversée des épreuves, en somme.

Plusieurs études sociologiques et psychologiques commencent à paraître en matière de réseaux sociaux, et on constate plusieurs problèmes liés au phénomène. Une récente recherche dévoilait des pointes de troubles de l’humeur et de dépression chez une majorité d’usagers de Facebook.

Bien sûr, plusieurs avantages sont liés au site de réseautage, mais sommes-nous en mesure d’avouer que nous vivions avant son apparition et que les choses n’allaient somme toute pas si mal? 

Catégories
Uncategorized

Le bénévolat pourrait bien vous faire vivre plus longtemps

Une stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Compter les calories serait inutile, selon une étude

Se pourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

ourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

anté Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

La « dépression Facebook » : un phénomène bien réel?

Top Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

op Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Le régime méditerranéen aurait un véritable impact proactif sur la santé cardiaque

Selon des conclusions rapportées par Science Daily, le fameux régime méditerranéen serait bon pour la santé non seulement pour les raisons que l’on connaît, mais aussi parce qu’il agirait de façon proactive contre certaines maladies cardio-vasculaires.

Cela signifierait moins de risques d’ACV chez les personnes visées, voilà le constat proposé par cette nouvelle étude en provenance d’Espagne.

Après avoir analysé et suivi les dossiers de 7 000 hommes et femmes volontaires, les chercheurs de l’Université Tufts ont constaté que les sujets suivant un régime de type méditerranéen sont moins enclins à subir des accidents cardio-vasculaires, même lorsqu’ils sont génétiquement prédisposés à ce genre de problèmes.

« Se placer sous un régime méditerranéen réduit le nombre de crises cardiaques chez les gens possédants deux copies de la variante (prédisposition génétique). La nourriture qu’ils mangent semble éliminer toute hausse de susceptibilité à un ACV, les plaçant au même niveau que ceux qui n’ont pas de copies de la variante », explique le Dr José M. Ordovas, directeur des recherches.

L’alimentation méditerranéenne se compose principalement de noix, d’huiles végétales (d’olive, par exemple), de poisson, de vin, de salades et de fruits et légumes.

n des conclusions rapportées par Science Daily, le fameux régime méditerranéen serait bon pour la santé non seulement pour les raisons que l’on connaît, mais aussi parce qu’il agirait de façon proactive contre certaines maladies cardio-vasculaires.

Cela signifierait moins de risques d’ACV chez les personnes visées, voilà le constat proposé par cette nouvelle étude en provenance d’Espagne.

Après avoir analysé et suivi les dossiers de 7 000 hommes et femmes volontaires, les chercheurs de l’Université Tufts ont constaté que les sujets suivant un régime de type méditerranéen sont moins enclins à subir des accidents cardio-vasculaires, même lorsqu’ils sont génétiquement prédisposés à ce genre de problèmes.

« Se placer sous un régime méditerranéen réduit le nombre de crises cardiaques chez les gens possédants deux copies de la variante (prédisposition génétique). La nourriture qu’ils mangent semble éliminer toute hausse de susceptibilité à un ACV, les plaçant au même niveau que ceux qui n’ont pas de copies de la variante », explique le Dr José M. Ordovas, directeur des recherches.

L’alimentation méditerranéenne se compose principalement de noix, d’huiles végétales (d’olive, par exemple), de poisson, de vin, de salades et de fruits et légumes.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net