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Le double impact de l’alcool sur le poids et la santé

L’alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

quo;alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La toxicité et l’impact d’une consommation élevée de sucre sont démontrés

Des chercheurs américains publient des résultats de tests qui semblent indiquer et confirmer la toxicité évidente du sucre dans l’alimentation d’un sujet.

Selon les renseignements rapportés par le Daily Mail (UK), même des niveaux pourtant considérés comme « normaux » de sucre dans un régime alimentaire moyen pourraient s’avérer dangereux pour la santé, voire fatals.

C’est ce qui ressort de l’étude effectuée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Utah, qui ont analysé les réactions de rongeurs face à diverses consommations de sucre.

Le groupe-test principal de souris s’est vu imposer un bon régime alimentaire, le genre que l’on considère « santé » pour l’être humain, mais avec l’équivalent d’un ajout de trois boissons gazeuses par jour.

Résultat? Même si les souris n’ont pas nécessairement affiché des problèmes de poids ou encore de la haute pression, les femelles sont mortes jusqu’à deux fois plus rapidement que l’espérance de vie normalement suggérée.

Les mâles, quant à eux, avaient moins de facilité à se reproduire et à conserver leur territoire, ce qui rend les experts convaincus de la toxicité de ces produits et du sucre sur les mammifères.

« Nos résultats permettent de prouver que le sucre, ajouté et consommé à des concentrations jugées actuellement sécuritaires, peut avoir des impacts dramatiques sur la santé », conclut l’équipe de chercheurs américains dans la version Web du journal Nature Communications.

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Manger à son poste de travail rendrait plus performant

Si vous êtes du genre à manger au restaurant chaque midi ou encore sur l’heure du souper pour certains, vous n’êtes probablement pas l’employé le plus performant, selon un article publié par le Daily Mail (UK).

Ce dernier se base sur des conclusions obtenues à la suite d’une étude effectuée sur des travailleurs, par des chercheurs de l’Université Humboldt de Berlin.

L’équipe allemande, menée par le Dr Werner Sommer, constate que les travailleurs qui mangent à leur bureau sur l’heure de dîner sont plus éveillés, alertes et performants que ceux qui profitent des joies extérieures comme les restaurants et les pubs.

En contrepartie, le Dr Sommer admet que les personnes dînant à l’extérieur sont plus détendues, ce qui explique justement la baisse de performance. Il s’agit donc d’une bonne chose si l’objectif est de « décrocher » et de lutter contre le stress!

Aussi, on note que la différence observable de comportement entre ceux qui demeurent à leur poste et les autres devient plus ou moins appréciable selon le type d’emploi.

Les gens qui doivent faire preuve de créativité, par exemple, pourraient bénéficier d’un repas à l’extérieur. Ceux qui utilisent leurs facultés de concentration, d’analyse et leur sens cognitif devraient demeurer à leur poste.

Quoi qu’il en soit, ne montrez pas cette publication à votre patron!

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L’été et la hausse de la libido, un phénomène réel?

Si certaines personnes se sentent plus lasses lors de la période estivale, particulièrement lors des pointes de canicules, d’autres ressentent spontanément un plus grand désir de faire l’amour.

Cette hausse de libido estivale est observée de façon assez fréquente, selon Top Santé, qui révèle des statistiques concernant la sexualité et les saisons.

Ces dernières semblent avoir un réel impact sur la libido des gens, à commencer par l’été qui, jusqu’à tout récemment, détenait la couronne de la procréation. Plus de bébés naissent maintenant en juillet, toujours selon les enquêtes et sondages rapportés, ce qui attribuerait la palme de la fécondité au mois de novembre.

37 % des femmes avouent être plus satisfaites sexuellement l’été, et 47 % affirment être plus performantes ou actives lors de cette même saison.

L’été apporterait aussi son lot d’expérience et d’aventures, alors que 76 % des répondants célibataires avouent se laisser tenter et charmer plus facilement en plein été. Aucune statistique concernant les aventures extra-conjugales, les tricheries et les expériences hors du commun, mais on peut imaginer…

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Le pouvoir du brocoli démystifié

« Mange ton brocoli », entend-on depuis la tendre enfance, puis à l’âge adulte, depuis l’avènement des nutritionnistes et du culte de la santé.

D’accord, mais pourquoi? Si on sait que le brocoli est bon pour nous, on ne connaît pas toujours les implications qui expliquent le phénomène.

C’est ce à quoi répondent aujourd’hui des chercheurs britanniques de l’Institute of Food Research de Norwich.

Ils concluent, après avoir « forcé » des sujets volontaires à manger du brocoli chaque jour pendant trois mois, que le légume possède de véritables propriétés capables de « recharger les piles » de nos cellules.

Il s’agit d’une vulgarisation qui permet de mieux comprendre les effets du brocoli, seul légume à agir sur les cellules humaines de cette façon.

Ces piles prennent le nom de « mitochondrie », selon le Daily Mail (UK), et s’avèrent un facteur essentiel du bon fonctionnement de l’organisme et de la prévention des maladies graves.

« Manger du brocoli deux ou trois fois par semaine devrait suffire. Je ne crois pas que bien des gens veulent en manger plus que ça », lance avec humour le professeur Richard Mithen, directeur de l’étude.

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Les fruits et légumes pourraient aider au sevrage de la cigarette

Des chercheurs américains constatent que les fruits et légumes ne sont pas simplement bons pour la santé, mais seraient aussi avantageux et utiles lors de l’arrêt du tabagisme, rapporte Top Santé.

C’est une équipe de spécialistes basée à Buffalo, aux États-Unis, qui a tracé ce parallèle en étudiant les impacts des fruits et légumes sur le comportement des individus fumeurs et non-fumeurs.

L’étude se base sur les cas de 1000 fumeurs (25 ans et plus) et révèle que ceux-ci consommeraient en moyenne moins de fruits et légumes que les non-fumeurs.

Au-delà du lien de souci de leur santé plus évident chez les non-fumeurs, qui mangent donc de façon plus équilibrée, on note qu’une augmentation de la consommation des fruits et légumes chez les fumeurs faciliterait l’arrêt du tabagisme.

La satiété accrue, une meilleure humeur et des niveaux de dopamine plus importants sont tous des facteurs découlant de la consommation de fruits et légumes, qui expliqueraient ainsi une plus grande facilité à abandonner la cigarette.

Fumeurs, à vos pommes et carottes!

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L’humour charmerait bel et bien les femmes

Malgré la prédominance et l’importance de la beauté physique dans le jeu de la séduction et le choix de nos partenaires à notre époque, une variable extérieure à l’apparence semble immuable, selon ce que rapporte Santé Log.

Oui, vous avez vu juste, il s’agit du sens de l’humour.

Or, on attribuait cette « cause à effet » de l’humour à la séduction en théorie seulement, jusqu’à ce que des chercheurs se penchent sérieusement sur le sujet.

Les premières confirmations physiques ou biologiques de l’humour sur la séduction étaient démontrées en 2005, mais des chercheurs de Stanford ont cette fois utilisé des tests par résonnance magnétique pour évaluer les réponses face à l’humour des deux sexes opposés.

Résultat? Les femmes réagissent bel et bien à la drôlerie de façon spéciale et plus spécifique, ce qui fait penser aux chercheurs impliqués dans l’étude que ce facteur s’est implanté de façon naturelle dans le processus de sélection amoureux des femmes, au fil du temps!

On pourrait aussi ajouter que cette qualité est importante pour plusieurs hommes également, et qu’un simple sondage aurait suffi à comprendre l’importance de cette qualité chez un homme pour la gent féminine!

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La Lune influencerait directement le sommeil

Une pleine lune peut-elle vous garder éveillé la nuit? C’est la question que pose The National Library of Medicine, en rapportant une nouvelle étude sur les cycles de la Lune et du sommeil.

En provenance de Suisse et publiée par l’équipe de la neurologiste Sylvia Frey (Université de Basel), l’étude se base sur l’analyse de 33 sujets volontaires.

Ces derniers ont été invités à passer trois jours et demi dans un laboratoire du sommeil spécialement conçu pour tester la théorie. Ne pouvant ni voir l’heure ni la lumière extérieure, les sujets ont été observés lors de leurs phases de sommeil.

Après des analyses et des calculs précis, les chercheurs ont comparé leurs données avec celles du cycle de la Lune, afin d’en arriver à une conclusion claire en ce qui concerne l’effet de la Lune sur le sommeil.

« Beaucoup de gens se plaignent de troubles du sommeil lors d’une pleine lune. Ce sont des anecdotes, mais on l’entend de plusieurs personnes. Alors, un soir de pleine lune, on en a parlé et on a pensé que l’on pourrait retourner dans nos données et les aligner avec les dates de pleine lune », explique Sylvia Frey.

Cette dernière confirme non seulement l’effet de la Lune sur le corps et le sommeil, mais avoue sa totale surprise face aux conclusions démontrées. « Nous ne nous attentions pas à de telles différences », lance-t-elle en conclusion.

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Les huiles végétales… oui, mais pourquoi et lesquelles?

Top Santé démystifie avec brio les huiles végétales et leur importance dans notre alimentation. D’accord pour incorporer les huiles végétales dans notre alimentation, mais pourquoi et lesquelles?

Voilà autant de questions qui trouvent ici une réponse.

D’abord, on explique que les huiles végétales permettent des apports intéressants des fameux oméga-3, 6 et 9. Ces éléments protègent le cœur et préviennent des maladies cardiovasculaires, en plus de veiller à un système nerveux en santé.

Elles renferment aussi souvent de la vitamine E, un antioxydant qui permet une certaine protection des cellules. Même chose en ce qui concerne les apports en polyphénols, qui jouent le même rôle que ceux mentionnés précédemment.

Alors, lesquelles choisir? On vante notamment l’huile de sésame, l’huile de colza, l’huile d’olive, l’huile de tournesol, l’huile de lin, l’huile de noix et l’huile d’arachide. On suggère de les alterner afin de profiter de tous leurs bienfaits.

De plus, non seulement les huiles végétales possèdent une multitude d’avantages, mais elles permettent aussi d’éviter les désavantages liés aux corps gras d’origine animale!

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Les consommateurs peu influencés par la publication des apports caloriques

Des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon constatent que les nouvelles mesures concernant la publication et l’affichage des apports caloriques appliquées un peu partout dans le monde n’ont que peu d’impact sur le comportement des consommateurs.

Publiée dans l’American Journal of Public Health et rapportée par Santé Log, l’étude démontre que l’affichage des calories comprises dans les menus de restaurants, par exemple de fast-food, n’incite pas vraiment les clients à faire des choix plus éclairés en matière de nutrition.

Pour vérifier cette théorie, l’équipe de Carnegie Mellon a analysé les réactions et comportements de plus de 1000 sujets clients dans deux franchises McDonald’s de la région de New York.

Après avoir séparé les sujets en trois groupes et informé ces consommateurs des calories retrouvées dans les repas de la célèbre franchise, des apports caloriques recommandés ou encore en ne disant rien du tout, les chercheurs constatent avec stupéfaction que les trois groupes agissent de la même façon.

Il semble que les gens font ce qu’ils veulent, malgré les dangers et les recommandations! Cependant, les chercheurs impliqués croient que toute cette sensibilisation entourant la malbouffe amène les restaurateurs à créer de meilleurs repas, ce qui s’avère une excellente chose.