Catégories
Uncategorized

Coca-Cola crée la surprise en abordant le sujet de l’obésité

C’est toute une décision que celle des dirigeants de Coca-Cola, qui ont abordé ouvertement le sujet de l’obésité, un fléau qui met en cause plusieurs produits, dont les boissons gazeuses.

C’est donc doublement stupéfiant que de voir l’une des deux plus grandes multinationales de boissons gazeuses se pencher sur l’épineuse question du surpoids, comme le rapporte La Presse.

Le tout se déroule sur notre propre territoire, au Québec, alors que Coca-Cola lance une publicité dans laquelle on peut entendre : « Si vous buvez et mangez plus de calories que vous en dépensez, vous allez prendre du poids ».

Une évidence qu’il serait facile de contrer en bougeant plus, en mangeant mieux et en consommant moins de boissons gorgées de sucre, comme le Coke.

La compagnie suggère aussi de se tourner vers ses mini-canettes ou encore ses boissons moins lourdes, comme la nouvelle Vitaminwater Zero.

L’initiative a été décriée par la directrice de la Coalition Poids, Suzanne Pellerin, qui s’exclame : « L’objectif de Coca-Cola, c’est de détourner le regard de ses produits, c’est de laisser croire que si les gens engraissent, c’est parce qu’ils ne font pas suffisamment d’activité physique. »

Un dossier à suivre, qui risque de beaucoup faire jaser les Québécois prochainement.

Catégories
Uncategorized

Une autre étude encourage la consommation d’oeufs

Santé Log rapporte une nouvelle étude qui se penche sur l’épineux dossier des œufs, conseillés par certains spécialistes et vilipendés par d’autres, et qui font le régal de millions de Nord-Américains.

Une étude récente redonnait ses lettres de noblesse aux œufs, et cette toute nouvelle en provenance des États-Unis (American Egg Board) semble vouloir corroborer ces conclusions voulant que les œufs apportent bien plus d’éléments positifs que négatifs sur la santé d’un citoyen moyen.

On explique même que les gens qui éprouvent des problèmes cardiovasculaires pourraient déguster des œufs sans se faire trop de soucis, une conclusion qui risque d’en faire sourciller plus d’un, mais qui semble appuyée par certains spécialistes.

De plus, l’œuf apporte son lot de vitamines (D, A et B2, notamment) et permet de démarrer la journée du bon pied, avec plus d’entrain et de vivacité d’esprit.

Même son de cloche du côté des chercheurs de la prestigieuse Université Yale, qui abondent dans le même sens.

Comme tout le reste en nutrition, il faut tout de même faire preuve de modération et varier ses choix de repas, mais l’œuf semble reprendre le dessus, après des années de mauvaise presse.

Catégories
Uncategorized

Les noix ont un véritable impact sur la santé

Ce n’est pas une, mais bien trois études sur l’impact des noix sur la santé qui viennent d’être publiées et qui confirment l’importance d’ajouter certains types de noix à son régime alimentaire, selon Medical News Today.

On parle notamment des noix du Brésil, des amandes, des pistaches, des noisettes, des cachous, des noix de pin et des noix de pécan. Toutes ces variétés sont excellentes pour maintenir l’organisme en bonne santé sur plusieurs plans, en plus d’être (avouons-le) délicieuses.

C’est lors du plus récent Experimental Biology Meeting, présenté à Boston, que ces conclusions ont été déposées. On y apprend que ces noix peuvent contribuer à stabiliser le poids, à réduire les symptômes associés au syndrome métabolique, en plus de diminuer les différents facteurs de risques cardiovasculaires.

Pour confirmer ces théories, les chercheurs en tête des trois études ont analysé les cas de près de 15 000 sujets, et ont observé les effets des noix mentionnées ci-dessus sur la santé de ces derniers, en comparant les résultats avec ceux des sujets qui n’en consommaient pas.

Les résultats sont clairs pour Maureen Ternus, une spécialiste qui conclut : « Ces trois études, indépendantes l’une de l’autre, supportent les preuves démontrant que la consommation de noix améliore la santé ».

Catégories
Uncategorized

La pomme, encore une arme de taille en santé

Top Santé rapporte une étude en provenance de la Norvège qui rappelle et confirme les bienfaits de la pomme sur la santé, en plus d’ajouter une nouvelle corde à son arc.

Selon les chercheurs norvégiens en tête de l’étude, qui regroupe des analyses effectuées sur plus de 3000 patientes, la pomme aurait également un impact majeur et positif sur les os.

Déjà connue pour ses effets positifs sur le cœur et en prévention de plusieurs maladies comme le diabète, la pomme permettrait également de renforcer la masse osseuse ainsi que sa résistance.

On explique le phénomène par la présence massive d’antioxydants dans le fameux fruit.

Cette nouvelle recherche confirme des théories précédentes sur le sujet et s’ajoute à celle publiée par des chercheurs du Texas en 2012, qui dévoilait alors le lien positif entre la consommation de pommes et la qualité des os.

Manger une pomme, donc, est un geste on ne peut plus simple qui permet d’aider le corps à se maintenir en bonne santé.

Catégories
Uncategorized

Boire de l’alcool n’influencerait pas les chances de survivre à un cancer du sein

Une nouvelle étude surprend en concluant que la consommation d’alcool n’a pas de réelle incidence négative sur les chances de survie d’une patiente atteinte d’un cancer du sein, rapporte CNN.

Plus encore, les chercheurs en tête de l’étude croient plutôt que si l’alcool influence le taux de survie des femmes aux prises avec la maladie, ce serait plutôt à la hausse!

« Les résultats de l’étude montrent qu’il n’y a pas de relation négative entre la consommation d’alcool avant le diagnostic et les chances de survie du cancer du sein. »

« On a en fait découvert qu’en opposition aux femmes qui ne boivent pas, celles qui buvaient de façon modérée affichaient un taux de survie modestement supérieur », résume Polly Newcomb, qui dirige le programme de prévention du cancer du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

Les femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer du sein pourraient donc continuer à boire de l’alcool avec modération, si l’on en croit ces conclusions, mais il est important de rappeler que plusieurs autres études associent la consommation d’alcool à des risques accrus de développement de la maladie (prédiagnostic).

Catégories
Uncategorized

La musique pourrait bientôt être considérée comme un traitement

Top Santé rapporte que de plus en plus de chercheurs et spécialistes commencent à croire aux bienfaits réels de la musique sur la santé, notamment en ce qui concerne le système immunitaire et les troubles anxieux.

Une équipe de chercheurs québécois basés à l’Université McGill se sont donc penchés sur la question, épluchant plus de 400 recherches effectuées précédemment sur le sujet.

Après avoir consulté et compilé tous ces documents, les chercheurs croient maintenant que la musique peut effectivement agir en tant que traitement pour certains problèmes, entre autres grâce à sa capacité à faire baisser le niveau de cortisol dans l’organisme, une hormone à l’origine du stress.

Bien entendu, on parle ici de musique relativement douce, et non agressive. La musique classique s’inscrirait parfaitement dans ce type de traitement.

On découvre que l’impact de la musique peut parfois s’avérer plus efficace que certains médicaments comme le Valium! En plus de détendre, la musique permettrait de solidifier le système immunitaire, et certaines personnes ressentiraient même une motivation générale accrue.

La super-étude en provenance de McGill ne permet pas de conclure à une cause à effet, mais elle entérine les précédentes théories en la matière.

Catégories
Uncategorized

Les écoles peuvent jouer un rôle primordial sur la santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude qui met en relief l’importance et l’impact des écoles sur la santé de ses étudiants.

Pas seulement pour les plus jeunes, apprend-on, mais aussi au niveau universitaire. Selon les chercheurs américains en tête de cette nouvelle recherche sur l’obésité et la nutrition, les écoles qui usent de politiques très strictes en matière d’alimentation permettent à leurs étudiants de se maintenir en bonne santé et dans les moyennes de poids jugées « normales ».

« Je crois que c’est une preuve que les écoles plus “santé” ont un impact positif, mais c’est une preuve préliminaire. C’est loin d’être définitif », tient à préciser Anne Barnhill, qui commente l’étude sans toutefois y participer.

Du côté de l’auteur de l’étude, le Dr Daniel Taber de l’Institute for Health Research and Policy situé à l’Université de l’Illinois (Chicago), il croit fermement que les étudiants qui se font servir des repas moins onéreux, donc moins nutritifs, affichent des taux d’obésité plus flagrants.

On note également l’impact de l’absence des infâmes machines distributrices, dans lesquelles abondent sandwichs de seconde zone, croustilles et chocolats, sur la santé des corps étudiants.

Catégories
Uncategorized

Impact positif des oméga-3 sur le cancer du sein

Plusieurs spécialistes avançaient que les oméga-3 ont un impact sur la prévention et sur la progression du cancer du sein, mais personne ne l’avait officiellement démontré.

Selon Santé Log, une nouvelle étude sur le sujet prouverait finalement cette théorie, qui parle même de la capacité de ces acides gras à réduire du tiers la croissance de ces tumeurs.

Les femmes gagneraient donc à adopter un régime alimentaire qui comprend des oméga-3, croient fermement les chercheurs de l’Université Guelph, en Ontario.

« Nous montrons qu’une exposition à vie aux oméga-3 joue un rôle bénéfique dans la prévention du cancer du sein. Nous prouvons que les oméga-3 sont le facteur moteur de cet effet bénéfique. », se réjouit le Dr David Ma, professeur et co-auteur de l’étude.

Pour arriver à ce constat, l’équipe du Dr Ma a littéralement créé un type de souris qui développe des tumeurs mammaires, un fait qui semble relever de la fiction. D’autres souris similaires ont ensuite été créées, avec en prime une autre capacité, celle de produire simultanément des oméga-3.

Les rongeurs du deuxième groupe ont développé trois fois moins de tumeurs que les autres, et ces dernières étaient 30 % moins grosses en se développant.

Catégories
Uncategorized

Une contre-étude diminue l’impact des antioxydants

Les antioxydants ont la cote depuis un bon moment maintenant, et ce n’était qu’une question de temps avant que des études moins flatteuses sur le sujet ne soient publiées.

C’est le cas de celle proposée par des chercheurs bostonnais et des Pays-Bas, et rapportée par The National Library of Medicine, qui minimise les impacts des antioxydants en ce qui concerne la prévention de certains problèmes de santé.

On parle entre autres des attaques cérébrales et des maladies dégénératives, qui ne seraient pas nécessairement moins probables chez les gens qui consomment des antioxydants.

« Les écrits concernant les antioxydants et les troubles dégénératifs du cerveau (dementia) ont été mélangés. Il y a une école de pensée qui dit qu’en fin de compte, les antioxydants peuvent être bénéfiques, mais c’est également vrai de dire qu’en regardant les antioxydants de près, on constate que chaque individu va réagir différemment à sa consommation. » Explique Elizabeth Devore, de la Brigham and Women’s Hospital de Boston.

Catégories
Uncategorized

La consommation de fruits bénéfique pour la peau

Il existe plusieurs produits sur le marché afin de conserver la plus belle peau possible, mais une nouvelle étude qui nous arrive d’Écosse propose un nouveau truc beauté qui n’implique l’achat d’aucun produit particulier.

Sauf peut-être celui que vous ferez au rayon des fruits et légumes, rapporte Top Santé, puisque l’étude en question parle de l’impact de la consommation de fruits sur la peau.

Les chercheurs écossais s’avancent à parler de trois portions de fruits par jour pour une peau en santé, en plus de préciser l’impact des caroténoïdes. Ces derniers sont davantage retrouvés dans les légumes, dont les carottes et le chou.

Le kiwi et l’orange seraient également bénéfiques pour un teint éclatant, selon les résultats de cette étude. Celle-ci a analysé les impacts d’une prise quotidienne de fruits (et légumes) sur le teint de plusieurs sujets, sur une période de six semaines.

Photos à l’appui, le directeur de l’étude, Dr Ross Whitehead, croit fermement aux vertus des fruits sur la peau, affirmant même que d’en consommer trois portions par jour « constitue un moyen plus efficace de s’embellir ».