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Les oméga-3 et la DMLA

Les oméga-3 ont un impact bénéfique sur la santé, on le sait, mais ils pourraient aussi jouer un rôle important dans la prévention de la DMLA, rapporte Santé Log.

Avant d’expliquer cette cause à effet, il serait bon d’expliquer en quoi consiste la DMLA. Cette dernière semble complexe, mais elle est pourtant toute simple. Il s’agit de la dégénérescence maculaire liée à l’âge, un problème qui survient souvent chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge.

Selon les chercheurs français, les oméga-3 pourraient aider à prévenir ce navrant syndrome, et ainsi aider à conserver des yeux en santé le plus longtemps possible.

La DMLA serait par ailleurs la raison numéro un des cas de cécité dans les pays les mieux développés, notamment en Amérique. Il est ainsi important de trouver des pistes de solutions pour une population qui continue de vieillir, selon les moyennes.

Intéressant donc de constater qu’une piste naturelle est envisagée.

D’autres facteurs peuvent influencer les chances de souffrir de la DMLA, soit le tabagisme, le régime alimentaire ainsi que l’hérédité (ADN).

 

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Le brocoli et les épinards à la rescousse des os

On connaissait bien les impacts positifs du calcium, notamment contenu dans les produits laitiers, pour la santé des os et dans la lutte à l’ostéoporose, mais on apprend maintenant la pertinence de consommer aussi des épinards et du brocoli, selon Santé Log.

Ces légumes renferment de la vitamine K qui, jumelée à l’ostéocalcine (une importante protéine osseuse), permet le renforcement des os.

C’est donc cette vitamine K qui est ciblée dans le rapport de recherche publié dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, et qui explique son fonctionnement.

On apprend notamment que l’ostéocalcine détermine la capacité du corps, et des os, à réagir à différentes fractures. Avec de bons apports en vitamine K, on donne à l’organisme tous les outils pour lutter efficacement contre ce genre de blessures.

Oui, encore une fois, il s’avère de plus en plus difficile d’éviter les fameux légumes verts comme le brocoli et les épinards, puisqu’on leur découvre de nouvelles propriétés presque chaque semaine!

Il existe plusieurs façons d’apprêter ces légumes pour de succulents petits repas. Si on veut augmenter la solidité de ses os, par exemple, le fromage est tout désigné comme partenaire des légumes verts.

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Comprendre l’impact du zinc sur la santé

De plus en plus de Nord-Américains consomment du zinc, que ce soit dans leur alimentation quotidienne ou par la prise de suppléments, apprend-on via le site de la National Library of Medicine.

Les spécialistes se penchent maintenant sur la question des impacts du zinc sur la santé, et une nouvelle étude qui vient de paraitre traite des effets potentiels du zinc sur les infections.

Plusieurs personnes en consomment d’ailleurs pour contrer les grippes et autres problèmes similaires, et l’étude menée par Daren Knoell de l’Université d’État d’Ohio semble approuver ce comportement. Pour l’équipe de Knoell, le zinc permet en effet d’améliorer le système immunitaire et, par conséquent, ses réponses.

« Nous croyons que nos découvertes vont aider à améliorer la compréhension des effets de ce métal plutôt banal sur notre système de défense, notamment face aux infections », déclare le chercheur.

Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de constater que le zinc se retrouve entre autres dans la viande rouge et la volaille, pourtant décriées par plusieurs nutritionnistes.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, puisque le zinc semble prometteur à bien des égards.

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Les gens généreux vivraient plus longtemps

Une nouvelle étude rapportée par Santé Log devrait rendre les plus généreux d’entre vous très heureux, alors que les plus pingres risquent fort d’être déçus.

Pour les chercheurs américains en tête de l’étude, la générosité et l’altruisme permettraient une plus grande durée de vie. Cette longévité serait observable assez facilement chez ce type de personne, notamment parce que les gestes de générosité abaissent le niveau de stress.

Ce fameux stress, outre les maladies graves à proprement parler, s’avère l’ennemi numéro un de la santé depuis plusieurs années.

Les chercheurs de l’Université de Buffalo croient que les actes de générosité sont un puissant contre-stress et permettent d’étirer la durée de vie chez ceux qui en pratiquent souvent.

En pratique, cela signifie que les gens stressés ont plus de risque de décéder avant le temps, mais que ceux qui sont portés vers les autres et aiment aider et faire preuve de générosité « récupèrent » ces années, ou font diminuer les risques créés par le stress.

Ce n’est pas la première étude à tracer un tel lien entre les comportements psychosociaux et la longévité, mais on commence à se rendre compte de plus en plus à quel point nos actions ont une véritable incidence sur l’avenir et notre santé.

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Les fruits et légumes et la santé mentale

Les « rois de la bouffe » et protecteurs de la santé en alimentation, les fruits et légumes, sont maintenant affublés d’une nouvelle réputation, lance La Presse.

En effet, les fruits et légumes sont non seulement les meilleurs alliés de la minceur et de la santé, mais ils seraient aussi fort bénéfiques sur la santé mentale.

C’est du moins ce que croient des chercheurs néo-zélandais, alors qu’ils ont vérifié cette théorie sur 281 sujets, de jeunes adultes, sur une période de 21 jours. L’étude qui en ressort parle carrément d’un effet sur la bonne humeur!

« Les jours pendant lesquels les sujets mangeaient plus de fruits et légumes, ils rapportaient se sentir plus calmes, plus énergiques et plus dynamiques qu’à leur habitude. », conclut la Dre Tamlin Conner, auteure en chef de l’étude.

De plus, on signale que ces effets seraient observables également le lendemain. On peut donc dire que oui, il existe des impacts sur la santé mentale à manger des fruits et des légumes, puisque la bonne humeur (ou le fait d’être heureux) réduit le stress… et ce dernier est l’ennemi numéro un à abattre en santé dans notre société moderne.

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La caféine ne jouerait pas de rôle dans le développement du diabète

Une vaste étude vient d’être publiée concernant le diabète de type 2 et les éléments qui peuvent contribuer à son développement.

Si l’étude permet de confirmer le lien entre les boissons sucrées et le diabète, il en est autrement pour ce qui est de la caféine, dont l’impact sur la santé demeure ambigu.

Et pourtant, l’étude est si exhaustive qu’elle aurait dû jeter de la lumière sur le débat. C’est pas moins de 100 000 hommes et femmes qui ont été suivis aux fins de ces recherches, et ce, sur une période de 22 ans.

On note une hausse de 23 % des risques de diabète de type 2 chez les gens qui consomment beaucoup de boissons sucrées (jus, cola, boisson énergie, etc.), mais les chiffres demeurent sensiblement les mêmes lorsqu’on ajoute la caféine dans l’analyse. En bref, le sucre joue un facteur, mais la caféine non.

C’est du moins ce que conclut le Dr Frank Hu, de l’Université Harvard, qui déclare : « Nous avons déterminé que la caféine ne fait aucune différence. Le café peut être bénéfique, et la caféine qu’il contient ne semble pas jouer un rôle positif ou négatif dans le développement potentiel du diabète ».

Une grande victoire pour les buveurs de café du monde entier!

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Impact positif des aires de jeux naturelles chez les enfants

Selon medicalnewstoday.com, ces enfants sont également plus créatifs et utilisent donc plus leur imagination que les autres. Les faits sont rapportés par Dawn Coe, professeure adjointe du Department of Kinesiology, Recreation, and Sport Studies aux États-Unis. Il s’agit d’ailleurs de la première étude portant sur le sujet.

« Les aires de jeux aux structures rappelant la nature ont éclos un peu partout à travers le pays, mais rien de concluant sur l’impact n’avait été fait à ce jour », affirme Dre Coe. « Maintenant, nous savons. »

L’étude a débuté en juin 2011, alors que Dre Coe relevait l’activité physique des enfants utilisant les glissades de plastique et les balançoires en métal du UT Early Learning Center. Chaque utilisation de la glissade, l’intensité de l’activité physique, le temps passé sous le porche pour éviter le soleil, tout était pris en considération.

Par la suite, de grandes rénovations ont eu lieu au Learning Center. Des glissades faisant partie de la pente du terrain, de petits arbres et une crique artificielle, en plus de rochers et de fleurs, ont été intégrés à l’aire de jeu.

Cary Springer, une statisticienne de l’Office of Information Technology, est revenue sur les lieux pour assister Dre Coe. Les données par la suite recueillies ont démontré des changements significatifs.

Les enfants avaient plus que doublé leur temps de jeu, puis sautaient régulièrement en bas des buches, arrosaient les plantes, puis développaient des mouvements faisant travailler beaucoup plus la structure osseuse et musculaire.

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Hulk Hogan et sa sex tape

Hulk Hogan, le célèbre lutteur, a vu une vidéo personnelle de ses ébats amoureux être divulguée à son insu.

La nouvelle l’a renversé, puisqu’il affirme ne pas avoir été au courant qu’il participait à un enregistrement du genre, à n’importe quel moment. Là où le bât blesse, c’est que sa partenaire sur la vidéo n’est nulle autre que la femme de Bubba « The Love Sponge », un ami.

Ce dernier apparait d’ailleurs à la fin de l’enregistrement, déclarant à sa femme qu’ils n’auraient « qu’à rendre cette vidéo publique pour assurer leur retraite ».

Hogan avait un message pour Bubba lors de son passage dans les studios de l’animateur Howard Stern : « Si tu es derrière ça, nous n’avons jamais été amis ».

De plus, la légende de la lutte affirme comprendre les gens qui ont des idées suicidaires lorsqu’il est confronté à une situation du genre. Il rassure ses fans, cependant, qu’il n’a aucune intention de mettre fin à ses jours.

Il a plutôt l’intention de démasquer le ou les coupables et d’entamer des poursuites judiciaires.

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L’alcool pendant la grossesse réduit la réponse du foetus aux stimuli

Les études précédentes, rapporte santelog.com, s’attardaient aux conséquences postnatales. Il a été constaté que les enfants de mères ayant consommé de l’alcool pendant la grossesse étaient plus enclins aux troubles comportementaux tels que l’hyperactivité et divers troubles d’attention.

Par contre, la nouveauté qu’apporte la recherche effectuée à l’University of New South Wales est que certaines zones du cerveau du fœtus s’habituent à la consommation régulière d’alcool et diminuent ainsi la réponse à divers stimuli responsables de l’apprentissage. Donc, l’alcool affecte directement le système nerveux central de l’enfant.

Professeur de psychologie à l’Université Queen de Belfast, Peter G. Hepper explique l’objectif de cette étude : « La stabilité dans le fonctionnement de notre cerveau est fondamentale pour notre capacité d’apprentissage. En observant ces effets comportementaux avant la naissance, nous pouvons commencer à trouver les zones du cerveau touchées par l’alcool et peut-être développer des traitements ».

Les résultats, basés sur un échantillonnage de 78 femmes enceintes, ont été publiés dans la revue Alcoholism: Clinical & Experimental Research.

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Le cercle vicieux de la maltraitance des enfants

Peu d’éléments concernant l’impact que peut avoir à long terme la maltraitance des enfants sont connus. Toutefois, une nouvelle étude de l’École Brown à l’Université de Washington à St. Louis, publiée dans la revue Pediatrics, révèle que les enfants maltraités sont plus sujets à avoir une vie médiocre à l’adolescence et à l’âge adulte.

C’est en suivant des cas d’enfants maltraités âgés de zéro à quatre ans que les chercheurs ont constaté que ces petits, devenus adolescents, étaient plus susceptibles d’être toxicomanes, de contracter une infection transmise sexuellement et d’être délinquants.

Plus les cas de maltraitance étaient nombreux, pire pouvait devenir la situation à l’âge avancé, informent les chercheurs, qui estiment que comparativement aux autres bambins, les enfants qui ont vécu des traumatismes ont 20 à 50 % plus de risques, pour chaque acte de maltraitance, de souffrir de problèmes en vieillissant.

Quant aux adultes qui ont subi quatre fois ou plus des gestes discriminants durant l’enfance, ils sont environ deux fois plus à risque d’abuser de leurs enfants à leur tour, d’avoir des problèmes mentaux, de drogues ou d’alcool.

Des études antérieures ont démontré également que les enfants maltraités devenaient de moins bons parents à l’âge adulte et avaient de moins bonnes relations de couple.

La maltraitance d’un enfant peut se traduire par des cas de sévices sexuels et physiques, de violence psychologique et de négligence.