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La marche bénéfique en traitement de l’hypertension

À défaut de pratiquer un sport intense ou de s’entraîner en salle, les personnes moins motivées ou dans l’incapacité de fournir un tel effort peuvent se tourner vers une solution alternative qui n’est pas à sous-estimer : la marche.

Vantée depuis longtemps par bon nombre de spécialistes, la marche propose plusieurs bienfaits pour la santé lorsque pratiquée au moins 30 minutes, trois fois par semaine.

Le dernier avantage de la marche en date serait ses propriétés bienfaitrices contre les problèmes d’hypertension, rapporte Top Santé.

C’est une nouvelle étude sur le sujet en provenance de l’Université George Washington qui confirme les bienfaits de la marche dans le traitement de l’hypertension, après que les chercheurs en tête de l’étude aient analysé les dossiers de plus de 2000 patients.

2153 hommes de 70 ans et plus, en fait, ont été observés à la suite d’un diagnostic d’hypertension, et après avoir intégré la marche à leur style de vie. Les résultats plus que probants après neuf ans de recherche ont permis aux chercheurs américains d’évaluer la réduction des risques de mort prématurée à environ 40 % chez les plus actifs.

L’arrêt du tabagisme, la consommation de poisson, la relaxation et l’élimination du sel et du sucre sont des actions qui peuvent aussi permettre une plus grande longévité chez les personnes qui font de l’hypertension.

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Diabète : Deux repas pour freiner la maladie

Consommer deux repas bien construits quotidiennement pourrait s’avérer une meilleure stratégie que plusieurs petits repas étalés au cours de la journée pour les personnes souffrant de diabète de type II, selon une nouvelle étude.

C’est un groupe de spécialistes de République tchèque qui proposent cette conclusion, rapporte Top Santé, après avoir effectué des tests alimentaires sur deux groupes de sujets tests.

Le premier groupe consommait six repas divisés en petites portions par jour, alors que le second groupe avalait deux repas soutenus, le matin et le midi.

Après l’essai de trois mois, les sujets du deuxième groupe affichaient des taux de glycémie plus intéressants, en plus d’avoir perdu du poids. Ce groupe rapporte aussi ressentir une plus grande satiété que celui qui avait le « droit » de manger toute la journée.

Ce type de philosophie alimentaire semble par ailleurs s’appliquer à tout le monde, mais avec trois repas, alors que plusieurs études estiment qu’il est préférable de manger de « gros » repas à heure relativement fixe, mais sans collations quotidiennes.

D’autres études seront effectuées pour analyser les impacts de ce style de vie chez les personnes souffrant de diabète de type II.

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Certains bienfaits du vin remis en question

Une nouvelle étude remet en question certaines propriétés bienfaitrices du vin alléguées dans de précédentes recherches, rapporte MedicalNewsToday.

Ces nouvelles révélations contradictoires proviennent d’une étude menée par des chercheurs de la Johns Hopkins University School of Medicine, et mettent en doute les impacts du resvératrol, un antioxydant, sur la bonne santé des consommateurs de vin.

Le resvératrol est présumément capable de prévenir les risques de maladie cardiovasculaire, en plus de certains types de cancer. Or, selon le Dr Richard D. Semba qui dirige l’étude en question, rien ne serait certain.

« L’histoire du resvératrol s’annonce comme un autre cas de produit qui reçoit beaucoup d’attention pour des bienfaits sur la santé qui ne résistent pas à l’épreuve du temps », lance le Dr Semba, cinglant.

C’est après avoir observé et analysé 783 sujets féminins et masculins âgés de plus de 65 ans que les chercheurs ont pu constater les effets limités du vin et du resvératrol sur la santé.

L’étude propose donc une nouvelle réflexion et invalide toute « certitude » concernant le vin. D’autres recherches seront donc probablement conduites afin d’en savoir davantage sur le sujet.

Les conclusions du Dr Semba et de son équipe ont été publiées dans le JAMA Internal Medicine.

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La collation : véritable ennemi du maintien du poids

Une nouvelle étude abonde dans le même sens que certaines théories précédemment avancées par certains spécialistes voulant que la collation s’avère le véritable ennemi du maintien du poids, rapporte le Daily Mail (UK).

On entend par là qu’il vaut mieux manger trois « gros » repas par jour que de tenter d’en manger des petits, ponctués de collations à travers la journée.

L’étude rapportée provient des Pays-Bas et ajoute donc à l’idéologie qui soutient qu’il est plus facile de maintenir son poids, voire de maigrir, en mangeant à sa faim et à des heures régulières, mais seulement à trois reprises.

L’équipe de la Dre Mireille Serlie, basée à Amsterdam, affirme être la toute première à véritablement vérifier les impacts de ce style de vie. Les chercheurs concluent sans aucun doute que le fait de bonifier ses repas en bannissant les collations permettent de ne pas, ou peu, prendre de poids, en plus de protéger le foie.

« Notre étude propose la première preuve que de manger plus souvent, au contraire de manger trois gros repas, contribue à engraisser le foie, indépendamment du tour de taille », explique Dre Serlie.

En Amérique du Nord, on estime que les jeunes consomment le quart de leur apport calorique quotidien en collations.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Hepatology.

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Marcher favoriserait la créativité

La marche rendrait créatif, selon une nouvelle étude américaine. Top Santé, qui rapporte cette nouvelle recherche, explique que le simple fait de marcher pourrait s’avérer le meilleur moyen d’assurer une créativité optimale.

Ce sont des chercheurs californiens basés à l’Université Santa Clara qui tirent ces conclusions, après avoir suivi 176 sujets lors de l’étude. Soumettant ces derniers à divers tests de créativité, ils ont conclu que la marche comprend des bienfaits presque inégalés en la matière.

« Marcher a vraiment un effet bénéfique sur la créativité. La plupart des participants ont vu leur créativité augmenter de 60 % lorsqu’ils marchaient à l’intérieur comme à l’extérieur. Et les volontaires se sont montrés plus stimulés et avec de meilleures idées lorsqu’on a fait de nouveaux tests après », mentionne l’un des auteurs de l’étude, le professeur Marily Oppezzo.

Cette étude va donc de pair avec celles qui vantent les bienfaits de la marche pour la santé physique et mentale, et qui mettent en garde contre les dangers de trop longues périodes passées en position assise.

Les résultats de l’étude californienne ont été publiés dans le Journal of Experimental Psychology.

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Le rire serait similaire à la méditation

Le processus du rire serait similaire à celui de la méditation au niveau du cerveau, et aurait par conséquent des impacts du même ordre, selon une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine.

L’étude en question, proposée par des chercheurs californiens, estime que le rire et l’humour stimulent largement et de façon bénéfique le cerveau et ses ondes gamma, qui se retrouve dans toute la région cérébrale.

« Ce que cela signifie est que l’humour engage en fait tout le cerveau. C’est une expérience cérébrale complète, similaire à la méditation. On appelle ça “être dans la zone” », explique le directeur de la recherche, le professeur Lee Berk.

L’étude a été effectuée avec l’aide de 31 sujets volontaires, à qui l’on a demandé de visionner différents types de vidéos, dont certaines humoristiques, bien entendu. Les résultats démontrent des niveaux élevés d’activité des ondes gamma en situation de rire, les mêmes observables lors de périodes de méditation.

Comparant le rire à un « véritable entraînement du cerveau », M. Berk croit que l’humour cache des vertus insoupçonnées pour le cerveau et la santé psychologique.

Les résultats de l’étude seront présentés dans lors de la réunion annuelle Experimental Biology  qui se tient à San Diego.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Les projets créatifs augmentent la productivité au travail

Les personnes qui s’adonnent à des projets créatifs dans leurs loisirs seraient plus performantes au travail, peut-on conclure des analyses révélées dans une nouvelle étude en la matière.

The National Library of Medicine rapporte en effet la publication d’une étude sur les impacts de la création, effectuée par des chercheurs basés à l’Université de San Francisco.

On note une capacité accrue de résolution des problèmes et une plus grande capacité de performance chez ceux qui s’adonnent à des projets créatifs.

« Peu importe leur activité créative, les participants la décrivent habituellement comme une expérience profonde et luxuriante, qui procure beaucoup d’avantages pour eux. Ils mentionnent également que l’idée de l’auto-expression est une occasion d’en apprendre davantage sur eux-mêmes », résume le professeur Kevin Eschleman, de l’Université de San Francisco.

Les activités décrites vont de l’écriture à l’utilisation des jeux vidéo, rapporte-t-on, toutes des activités empreintes de créativité et de liberté se qualifiant comme bienfaitrices pour la productivité et les capacités cognitives.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Occupational and Organizational Psychology.

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L’intimidation laisse des traces tout au long de la vie

Une nouvelle étude rapportée par La Presse trace un bilan très sombre du phénomène de l’intimidation et des séquelles à long terme qui s’y rattachent.

Il s’agit de la première recherche exhaustive du genre à analyser les impacts de l’intimidation sur un individu tout au long de sa vie. Ce sont des chercheurs du King’s College de Londres qui se sont penchés sur le dossier, en analysant les cas de 7771 enfants tout au long de leur vie… jusqu’à l’âge de 50 ans.

Une étude spectaculaire, en somme, qui demandait d’abord aux parents d’enfants touchés par l’intimidation entre l’âge de 7 et 11 ans de fournir des informations relatives à leur expérience.

Selon le Dr Ryu Takizawa qui pilote l’étude, les résultats sont clairs : un individu victime d’intimidation à un jeune âge se verra confronter à des obstacles sociaux et économiques plus importants au cours de sa vie.

Plus encore, ces sujets ont démontré plus de problèmes de santé que les autres, notamment à l’approche de la cinquantaine. Même chose sur le plan psychologique, alors que l’on note un risque accru de dépression, d’anxiété et de suicide.

Même l’aspect cognitif des sujets de l’étude a semblé en souffrir au cours de l’analyse, ce qui fait dire aux observateurs que l’intimidation n’est pas un phénomène à prendre à la légère.

Heureusement, la sensibilisation au phénomène est bien entamée, mais il reste encore pas mal de travail à faire.

Les conclusions de l’étude du Dr Takizawa ont été publiées dans l’American Journal of Psychiatry.