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Les bleuets pourraient contribuer au traitement du Parkinson

Des chercheurs canadiens croient que les bleuets pourraient contribuer à prévenir de la maladie de Parkinson, mais aussi à la traiter, rapporte MedicalNewsToday.

Les recherches proposées sont celles de chercheurs terre-neuviens basés à l’Université Memorial. Ces derniers croient que les bleuets pourraient véritablement jouer un rôle important dans la recherche d’un traitement de la maladie.

Plusieurs autres études ont déjà soumis l’idée que le petit fruit, riche en antioxydants, pouvait permettre de prévenir la maladie, mais aucune n’a encore statué sur ses possibles effets médicamenteux.

Si les chercheurs canadiens confirmaient leur théorie, on croit que l’idée pourrait aussi s’appliquer au développement de traitements contre d’autres formes de maladies dégénératives et neurologiques.

Des extraits de bleuets auraient déjà été utilisés et auraient démontré un effet certain sur la longévité lors d’essais cliniques, rapporte l’équipe de chercheurs de Terre-Neuve.

D’autres tests sont à venir, mais les propriétés bienfaitrices du bleuet ne font déjà aucun doute dans l’esprit de plusieurs spécialistes en santé et nutrition.

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L’utilisation de Viagra pourrait augmenter les risques de cancer de la peau

Les hommes qui consomment du Viagra sur une base régulière pourraient courir davantage de risques de développer un cancer de la peau, selon des informations rapportées par Top Santé.

C’est une nouvelle étude américaine en provenance du Rhode Island qui propose ces conclusions inquiétantes, alors que des chercheurs de l’Université Brown estiment qu’une hausse remarquable des risques de cancer de la peau est observable chez les consommateurs de Viagra.

Un risque qui augmenterait même de 84 %, un nombre qu’on ne peut négliger, chez certains sujets mâles.

« Mais comme nous n’en sommes qu’aux études préliminaires, il est encore trop tôt pour suggérer aux hommes de cesser de prendre du Viagra », mentionne le Dr Abrar Qureshi de l’Université Brown.

L’étude propose cependant des résultats préliminaires inquiétants, obtenus à la suite de l’analyse de 26 000 sujets américains.

D’autres recherches seront effectuées afin de confirmer ces premiers résultats et décider si une campagne d’avertissement doit être lancée par la suite.

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L’arsenic dans l’eau potable pourrait nuire aux performances du cerveau

La présence d’arsenic dans l’eau potable inquiète un grand nombre de citoyens et de spécialistes, même si celui-ci se retrouve souvent en faibles quantités.

Il n’en demeure pas moins que le fait d’associer l’arsenic à l’eau potable semble terrifiant, et une nouvelle étude en provenance de l’État du Maine donne des munitions à cette peur, selon The National Library of Medicine.

La présence de traces d’arsenic dans l’eau potable du Maine n’étant pas un secret pour ses citoyens, des chercheurs ont décidé de faire passer des tests d’intelligence et de performance mentale à des groupes de jeunes étudiants, dont certains sont davantage exposés à la présence d’arsenic.

Les craintes des chercheurs américains se sont avérées fondées, alors que ces derniers ont observé des résultats plus faibles chez les groupes exposés à l’arsenic.

« Même si le fait d’acheter un filtre standard à la quincaillerie est inadéquat pour traiter l’eau potable des puits, la bonne nouvelle est qu’il existe des étapes pour améliorer la situation », explique l’auteur des travaux, Joseph Graziano.

Ce dernier fait référence à un système appelé « inversement de l’osmose », malheureusement coûteux. Des programmes éducatifs sont également offerts aux familles du Maine pour en apprendre davantage sur le phénomène et les méthodes de prévention possible.

Les conclusions et observations de l’étude menée par M. Graziano ont été publiées dans le journal Environmental Health.

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Le cellulaire pourrait nuire à la santé sexuelle des hommes

Les hommes qui portent ou tiennent leurs téléphones intelligents et cellulaires dans leurs mains constamment pourraient courir le risque de voir leur santé sexuelle s’affaiblir, selon une nouvelle étude européenne rapportée par le Daily Mail (UK).

La recherche menée par le chercheur Badereddin Mohamad Al-Ali s’attarde aux effets d’une trop longue utilisation de ces appareils sur la santé sexuelle des hommes, et constate un possible effet négatif.

On a comparé les résultats d’hommes séparés en deux groupes, dont l’un utilisait moins son téléphone, et l’autre plus fréquemment. Une différence de la santé sexuelle et une hausse des risques de dysfonction érectile ont été observées chez ceux qui tenaient dans leurs mains et leurs poches un téléphone allumé sur une longue période, quotidiennement.

« Les hommes souffrant de dysfonction érectile utilisent leurs téléphones plus souvent que ceux qui n’en souffrent pas, et conservent ces appareils plus longtemps allumés dans leurs poches que les autres », conclut M. Mohamad Al-Ali.

Bien que l’étude soit petite, et qu’il est impossible de conclure à une cause à effet, les chercheurs poursuivront leurs travaux avec de plus grands groupes d’hommes afin d’en découvrir davantage.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Central European Journal of Urology.

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Le café serait bénéfique en prévention de la cirrhose

Le café pourrait-il s’avérer un allié en prévention de la cirrhose? Voilà la question à laquelle ont tenté de répondre des chercheurs chinois dans une nouvelle étude, rapporte The National Library of Medicine.

Les chercheurs de l’Université de Singapour concluent vraisemblablement que oui, si l’on se fie aux résultats proposés par l’étude, qui se penchait sur pas moins de 63 000 citoyens âgés de 45 à 74 ans.

L’étude trouvait ses racines en 1993, alors que l’on a demandé aux participants de répondre à des questions concernant leurs habitudes alimentaires et leur historique médical. Suivis sur une période d’en moyenne 15 ans, les sujets ont notamment permis de démontrer l’impact positif du café en prévention de la cirrhose.

On estime que deux tasses de café par jour permettraient une réduction de 66 % des risques de décès par cirrhose causée par l’hépatite non virale, selon les chercheurs chinois en tête de ces travaux.

La cirrhose causée par l’hépatite B ne semble pas répondre de la même façon que celle découlant de la souche non virale cependant.

L’étude ne permet malheureusement pas de prouver une cause à effet de façon officielle, mais s’avère concluante.

Les résultats ont été publiés dans le magazine médical Hepatology.

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La consommation de fruits et légumes bénéfique chez les jeunes femmes

Manger fréquemment des fruits et légumes lorsqu’on a 20 ans permettrait de nombreux bénéfices pour la santé plus tard au cours de la vie, mais surtout lorsqu’on est une femme, selon une étude rapportée par Santé Log.

L’étude présentée dans le cadre du projet CARDIA (Coronary Artery Risk Development in Young Adults) estime que les jeunes femmes au début de la vingtaine qui choisissent de manger des fruits et légumes auront moins de risques d’éprouver des problèmes cardiovasculaires au tournant de la quarantaine.

L’étude analyse les données de près de 2500 participants et note entre autres un risque réduit de 40 % de voir l’apparition de plaques au niveau des artères chez les femmes de 40 ans.

On conseille néanmoins aux hommes de consommer eux aussi leur part de fruits et de légumes, même si cette étude ne parvient pas à observer le même résultat pour les hommes que pour les femmes.

On rappelle également que d’autres facteurs peuvent influencer les statistiques et le risque de troubles cardiaques, comme le tabagisme, la sédentarité et la surconsommation de viandes rouges et de boissons sucrées.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du congrès de l’American College of Cardiology.

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Première impression : notre voix s’en charge

On dit souvent qu’on ne peut faire deux fois une bonne première impression, ou que cette dernière se joue dans les deux premières minutes d’une rencontre. Mais selon une nouvelle étude américaine et écossaise, notre voix ferait le travail beaucoup plus rapidement que ça, et à notre insu.

En fait, selon l’étude rapportée par Top Santé, il suffirait d’à peine une seconde pour que notre interlocuteur se fasse une impression de notre personnalité et de nos traits distinctifs, simplement par le son de notre voix.

Les chercheurs en tête de l’étude, pour la plupart des psychologues des universités de Glasgow et Princeton, ont proposé plusieurs fois la même salutation provenant de voix et de personnes différentes à quelque 320 sujets volontaires.

Fait étonnant, il aura fallu moins d’une seconde à chaque sujet de l’étude pour tirer les mêmes conclusions concernant les voix proposées!

« Il est étonnant qu’en si peu de temps, vous puissiez obtenir une impression précise sur une personne. D’autant  plus que, indépendamment de savoir si elle est exacte, votre impression est la même que celle que reçoivent les autres auditeurs », lance le Dr Phil McAleer, coauteur de l’étude.

Comme on sait maintenant que la voix nous trahit, il est possible de la travailler ou de l’utiliser afin d’envoyer une meilleure image de soi-même, rappellent également les chercheurs.

Cette fascinante étude a été publiée par le magazine PLoS One.

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Boire de l’eau ne ferait pas maigrir

Une spécialiste en nutrition américaine contredit et invalide le mythe qui veut que le fait de boire de l’eau contribue à faire maigrir, rapporte Top Santé, de quoi décevoir les adeptes de l’eau en plein cœur d’un régime.

C’est la nutritionniste Beth Kitchin qui s’attaque au mythe en rappelant d’abord qu’il n’existe que bien peu d’études, d’essais ou de travaux démontrant véritablement les bienfaits d’une consommation accrue d’eau sur le succès d’un régime et sur le maintien du poids.

« Je ne dis pas que boire de l’eau n’est pas bon, mais on ne dispose que d’une seule étude montrant que les personnes qui consommaient plus d’eau dépensaient quelques calories de plus par jour », lance d’abord Mme Kitchin.

Elle poursuit en étayant son opinion sur le sujet, écorchant au passage les indications qui nous somment de consommer au moins 1,5 litre d’eau quotidiennement.

« Oui, on a besoin d’apports liquides, mais pas obligatoirement en eau… On ne dispose pas de preuves démontrant qu’elle fait fondre les graisses ni qu’elle entraîne un sentiment de satiété. Adopter une alimentation contenant des aliments riches en eau comme les fruits, les légumes et les soupes peut contribuer (à un régime) », poursuit la spécialiste en nutrition.

En clair, même l’eau ne peut servir de solution miracle et d’excuse pour ne pas intégrer un régime alimentaire sain et l’exercice physique à son quotidien si l’on veut perdre du poids!

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Une bonne estime de soi permettrait de vieillir en meilleure santé

L’estime de soi est une facette importante du développement et du mieux-vivre humain. Elle permet d’améliorer non seulement la santé psychologique, mais aussi la santé physique.

Une nouvelle étude va plus loin dans le raisonnement et affirme qu’une bonne estime de soi peut également permettre d’espérer vivre mieux et en meilleure santé, et même plus longtemps, rapporte The National Library of Medicine.

L’étude effectuée par des chercheurs de l’Université Concordia, à Montréal, analyse les cas de 147 personnes âgées de plus de 60 ans, sur une période de quatre ans.

Chaque deux ans, les chercheurs évaluaient différents facteurs physiologiques auprès des sujets, ainsi que leur degré d’estime de soi. Les résultats semblent indiquer de façon claire qu’une bonne estime de soi permet de vieillir en meilleure santé et de prévenir plusieurs maladies dues au vieillissement.

Des niveaux plus élevés d’une hormone appelée cortisol pourraient expliquer partiellement le phénomène.

« Parce que l’estime de soi est associée avec le bien-être psychologique et la santé physique, une augmentation de celle-ci serait une méthode idéale pour prévenir les problèmes de santé plus tard au cours de la vie », conclut la coauteure de l’étude, Sarah Liu.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Facebook favoriserait le développement de troubles alimentaires

Les jeunes femmes qui passent beaucoup de temps sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, seraient plus à risque de développer un trouble alimentaire et une mauvaise estime de soi.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, et qui parle des impacts du plus populaire média social sur l’alimentation d’un grand nombre de jeunes femmes.

Les chercheurs de l’Université de Floride en tête de l’étude ont analysé les cas de 960 étudiantes universitaires. Les observations ont permis de constater que celles qui passaient le plus de temps sur Facebook affichaient des tendances plus marquées vers les troubles alimentaires, et s’inquiétaient davantage de leur alimentation et de leur image.

« Facebook combine sur une seule plate-forme l’influence des pairs à de forts messages de société qui se concentrent beaucoup sur l’apparence des femmes. Ces images sont ensuite conservées mentalement le reste de la journée. Alors que les chercheurs et cliniciens tentent de comprendre et de démontrer les facteurs de risque des troubles alimentaires, une plus grande attention doit être portée sur le rôle des médias sociaux dans la vie des jeunes adultes », explique l’auteur de l’étude Pamela Keel.

D’autres études précédentes avaient révélé des impacts similaires de la part des médias sociaux sur les jeunes femmes.

Les résultats de l’étude floridienne ont été publiés dans l’International Journal of Eating Disorders.