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Le sentiment de contrôle pourrait bien allonger votre espérance de vie

Les gens en contrôle, ou qui ont le sentiment de contrôle, sur les événements et éléments de leur vie pourraient bien bénéficier d’une espérance de vie plus longue que les autres, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude trace en effet un parallèle entre la longévité et l’attitude affichée par un individu au cours de sa vie, un constat qui n’est pas relevé pour la toute première fois par des chercheurs et spécialistes.

« La santé et la longévité ne sont pas dues qu’à un accès aux soins de santé. L’attitude fait une différence. Comment vous construisez votre attitude et relevez les défis détermine si vous prenez action ou si vous abandonnez, et si vous vous sentez stressé ou motivé. Les personnes avec un fort ou faible sens du contrôle vont percevoir la même situation différemment, que ce soit comme un stress ou comme un défi à relever », explique Margie Lachman, professeure en psychologie.

L’étude parle cependant des personnes sans éducation postsecondaire, étrangement, qui jouiraient au départ d’une moins grande espérance de vie.

Les conclusions de ces recherches vont donc de pair avec de précédentes, qui établissaient elles aussi un lien entre l’attitude, le moral et la longévité.

Les résultats de l’étude fondée par le NIH ont été publiés dans la plus récente édition du journal Health Magazine.

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Un meilleur accès à de bons aliments ne garantit pas une meilleure alimentation

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude en alimentation, qui constate un faible impact social découlant d’un meilleur accès à des aliments jugés « santé ».

En clair, proposer une plus grande offre de produits sains et de commerces en alimentation santé ne garantirait en rien une amélioration des habitudes de consommation des citoyens, selon l’étude proposée par des chercheurs de la Penn State University et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine.

Les chercheurs ont analysé pour le bien de l’étude les impacts de l’ouverture d’un nouveau supermarché dans un quartier défavorisé de Philadelphie, l’un des 88 nouvellement ouverts en Pennsylvanie dans le cadre de la démarche Pennsylvania Fresh Food Financing Initiative.

En suivant 650 citoyens sur une période de quatre ans, les chercheurs ont constaté que bien peu avaient changé leurs habitudes alimentaires pour le mieux, même en étant conscients de la soudaine proximité d’aliments frais et bons pour la santé.

Seulement 27 % des citoyens ont utilisé le nouveau supermarché comme source principale d’alimentation, et à peine la moitié a fréquenté le commerce.

L’étude suggère donc que ces initiatives doivent être accompagnées de féroces campagnes de marketing, afin de sensibiliser et encourager les gens à changer leurs habitudes de vie et à profiter des nouveaux commerces qui leur sont offerts.

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Des pompiers testent la diète méditerranéenne

La diète méditerranéenne remporte une autre victoire au royaume de la nutrition, rapporte avec justesse The National Library of Medicine, alors qu’une nouvelle étude impliquant des pompiers américains vient en confirmer les bienfaits pour la santé.

C’est pas moins de 800 pompiers qui ont été sondés dans le cadre de cette étude américaine effectuée par des chercheurs de l’Université Harvard, et qui visait à déterminer une nouvelle fois les impacts de ce type de régime.

La diète méditerranéenne, qui comprend de forts apports en fruits, légumes, poissons, noix, eau et vin, est de plus en plus prisée et suggérée par les consommateurs et les spécialistes en santé et nutrition.

Et pour cause, car comme le confirme cette étude, on estime que les personnes qui intègrent ce régime à leur style de vie verront leurs risques de développer des troubles cardiovasculaires et d’autres problèmes de santé liés au « syndrome métabolique » chuter de 35 %.

L’analyse de ces pompiers « volontaires » aura aussi permis de constater une plus grande facilité à maintenir un poids santé en suivant cette diète, avec un risque de prise de poids réduit de près de 50 %.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal PLoS One.

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Cesser de boire complètement pourrait être moins bénéfique qu’une consommation modérée

Le Daily Mail (UK) fait état d’un phénomène baptisé le « Dry January », qui consiste à cesser complètement de boire lors du mois de janvier, afin de se libérer des « toxines » accumulées au cours du temps des fêtes.

Plusieurs personnes, et pas seulement en Angleterre, se lanceraient le défi chaque année depuis quelque temps, souvent avec succès. La manœuvre, qui peut sembler logique, ne serait pourtant pas la meilleure avenue, selon quelques spécialistes qui prônent plutôt une consommation d’alcool modérée tout au long de l’année.

« Plusieurs personnes ne réalisent pas que le fait de boire avec modération possède des bénéfices significatifs pour la santé, et que les buveurs modérés ont une plus grande espérance de vie que les non-buveurs », lance notamment le professeur Charles Bamforth, de l’Université de la Californie.

Bamforth sait bien que la consommation excessive d’alcool est très nocive pour la santé, mais croit que « la clé est de boire un peu, et souvent ».

Des propos un peu étonnants qui donnent envie de trinquer à sa santé, à condition de pouvoir s’arrêter après un verre ou deux.

On vante notamment les bienfaits de certaines bières et, bien entendu, du vin, qui possèdent plusieurs caractéristiques bienfaitrices pour la santé.

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L’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie?

Au cours de l’été dernier (2013), l’American Medical Association (AMA) qualifiait officiellement l’obésité comme une maladie dans sa liste des troubles de la santé officiels et répertoriés.

Mais l’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie? Voilà la question qui demeure lorsqu’on prend connaissance des observations proposées par des chercheurs de l’Université du Minnesota, qui publient une étude sur le sujet.

Rapportée par Santé Log, notamment, l’étude en question révèle un impact plus négatif que positif sur la mentalité et les actions des patients souffrant d’obésité, ces derniers affichant une motivation moindre à changer leur situation depuis qu’on les considère comme des « malades » à part entière.

L’étiquette de « maladie » relève donc de la fatalité, ce qui n’est pourtant pas toujours le cas dans des situations de surpoids et d’embonpoint, notent les chercheurs américains.

Si le fait de qualifier l’obésité parmi les maladies a permis un discours plus libre sur le sujet, le geste aurait également banalisé l’affaire, et remis plusieurs patients sur la mauvaise voie alimentaire. Or, rappelle-t-on, il est effectivement possible d’améliorer sa condition ou son état dans cette situation, contrairement à d’autres « vraies » maladies qui s’avèrent réellement une fatalité.

Ces conclusions et réflexions sont publiées dans le magazine Psychological Science.

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Un pesticide lié à des cas d’Alzheimer

Top Santé rapporte les conclusions proposées par une équipe de chercheurs américains concernant un type de pesticide, le DDT, qui pourrait favoriser le développement de la maladie d’Alzheimer.

C’est ce que croient les spécialistes des universités Rutgers et Emory, qui publient leurs observations dans le Journal of the American Medical Association.

L’étude, menée notamment par le Dr Allan Levey, révèle : « Le DDE, composant actif restant après que le DDT a été métabolisé par le corps, est près de quatre fois plus élevé dans le sang des personnes atteintes d’Alzheimer que dans celui des témoins sains. C’est l’une des premières études à identifier un important risque environnemental pour la maladie Alzheimer ».

« L’ampleur de l’effet du DDT est importante, comparable au facteur génétique le plus courant prédisposant à la maladie d’Alzheimer. Le DDT peut rester dans l’organisme de huit à dix ans et le DDE, son métabolite, s’accumule dans les tissus alors que les personnes vieillissent. Ceci pourrait aider à expliquer le fait que l’âge est le plus grand facteur de risque d’Alzheimer. »

Même si le pesticide DDT est interdit sur le territoire américain depuis 1972, le Dr Levey et ses collègues expliquent que nous mangeons toujours des fruits et légumes en provenance d’autres pays qui n’ont pas les mêmes législations que les pays nord-américains.

L’équipe derrière ces résultats veut poursuivre et pousser ses recherches encore plus loin.

On estime que les cas d’Alzheimer vont doubler d’ici 2020, notamment en lien avec le vieillissement de la population.

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L’huile d’olive agirait aussi sur les os

Une autre propriété santé de l’huile d’olive aurait été confirmée par des chercheurs espagnols, rapporte le Daily Mail (UK).

La populaire huile végétale à base d’olives serait en effet également bénéfique pour la santé des os, selon une équipe de spécialistes basée à l’Université de Madrid qui s’est penchée sur les effets de l’ingrédient sur l’organisme.

Après deux ans de recherches, les chercheurs concluent que les personnes qui consomment de l’huile d’olive présentent de plus hauts taux d’ostéocalcine dans le sang, un marqueur d’une ossature forte et en santé.

Cette nouvelle étude complète celle publiée précédemment par l’Université d’Athènes, qui prêtait le même genre de vertu à l’huile d’olive, lorsque combinée à de faibles apports en viandes rouges, spécialement chez la femme.

Par ailleurs, il appert que les statistiques d’ostéoporose, une maladie des os, seraient plus faibles chez les gens qui adoptent une diète de style méditerranéenne, qui utilise justement quantité d’huile d’olive et d’huiles végétales.

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Le mariage influencerait la santé des os des hommes

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude des plus intéressantes sur l’impact du mariage sur la santé des hommes, particulièrement sur celle des os et de la solidité de ceux-ci.

Étranges mais vérifiables, semble-t-il, ces constatations sont celles d’une équipe de chercheurs de la UCLA menée par les docteurs Carolyn Crandall et Arun Karlamangla, et publiées dans le journal médical Osteoporosis International.

Selon les chercheurs, le mariage influence véritablement la santé des hommes et leur « charpente », alors que l’on dévoile qu’un mariage passé l’âge de 25 ans aurait tendance à solidifier et faire grossir la masse osseuse des hommes.

Cependant, un mariage avant l’âge de 25 semble avoir l’effet contraire, c’est-à-dire que les jeunes époux présentent des caractéristiques osseuses moins puissantes.

Les chercheurs précisent que ces impacts seraient davantage vérifiables dans certaines régions du corps, comme la colonne vertébrale, par exemple.

Plusieurs autres études ont déjà révélé l’impact du mariage sur divers aspects de la santé des hommes, notamment sur la condition cardiaque et les chances de survie à une grave maladie. 

L’équipe américaine en profite également pour rappeler qu’une bonne santé passe aussi par une bonne alimentation et de l’exercice physique sur une base régulière. 

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La vitesse de votre ordinateur influence votre taux de stress

Décider d’acheter un nouvel ordinateur plus performant pourrait réduire votre niveau de stress de façon considérable, selon ce que rapporte Top Santé.

Une étude-sondage en provenance des États-Unis propose quelques conclusions étonnantes sur le sujet, notamment qu’une majorité de propriétaires d’ordinateur perdent en moyenne deux heures par semaine de leur temps à attendre après une machine trop lente et désuète.

Ces attentes répétées et ces cassures dans le rythme du travail ou des loisirs feraient grimper les niveaux de stress en flèche, selon l’étude, à un point tel que les chercheurs recommandent de songer sérieusement à acheter un nouvel ordinateur si votre appareil actuel n’arrive plus à suivre la parade.

« La majorité des utilisateurs perdrait deux heures par semaine à cause d’ordinateurs trop lents. Si vous avez utilisé un ordinateur régulièrement ces dix dernières années, vous avez peut-être perdu plus d’un mois complet à attendre que votre ordinateur démarre, que les programmes s’ouvrent, se ferment, ou à effectuer des tâches qui sont normalement simples et rapides », résume Roddy McLean, qui dirige l’étude en question.

« Gagner 20 minutes par jour pourrait avoir des avantages énormes. Ce temps permettrait de mieux s’alimenter, de dormir plus ou de pratiquer une activité sportive », analyse quant à elle Kathy Kaehler, une entraîneuse et auteure.

45 % des 2025 personnes sondées ont avoué que le fait de rester devant un ordinateur trop lent épuisait plus qu’une séance intense de sport, ce qui n’est pas peu dire.

Bien sûr, le conseil vaut également pour les employeurs qui s’obstinent à ne pas renouveler le matériel électronique de leurs employés, et qui y gagneraient pourtant en productivité et en gestion du stress du personnel.

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Le débat sur la cigarette électronique reprend de plus belle

Les avis sont partagés concernant la cigarette électronique, que ce soit auprès de la population ou des corps médicaux dans le monde, mais de plus en plus de gens semblent se ranger à la cause du substitut à la cigarette « traditionnelle ».

C’est que la cigarette électronique permet au fumeur de continuer à effectuer ses réflexes et habitudes sans toutefois griller de vraies cigarettes, un moindre mal, selon plusieurs. L’un des facteurs qui dérangent plusieurs spécialistes est la présence de nicotine dans certains types de cigarette électronique, mais un grand nombre d’observateurs affirment qu’il s’agit tout de même d’une meilleure alternative que la cigarette en soi, qui contient non seulement de la nicotine, mais aussi un nombre impressionnant de matières toxiques et dommageables pour la santé.

Malgré tout, les médecins ne peuvent prescrire ou conseiller l’alternative à leurs patients, au Québec ou en Europe, et le débat est relancé sur les deux continents.

Le Dr Philippe Presles, auteur du livre La Cigarette Électronique, croit quant à lui que « ce qui est dangereux dans la cigarette, c’est la combustion du tabac. La seule chose en commun avec la cigarette électronique, c’est la nicotine. La nicotine ne rend pas malade. Elle ne donne pas de cancer ni de crise cardiaque. Bien sûr, elle entraîne une dépendance, mais elle n’est pas nocive ».

Une opinion rapportée par Radio-Canada et partagée par bien des confrères, qui attendent toujours la décision des gouvernements dans le dossier. Les autorités en matière de santé doivent d’abord classer le traitement, et déterminer si la cigarette électronique incite le tabagisme ou sa cessation, rapporte Santé Log.