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L’incroyable effet des aquariums sur la santé

Quiconque possède un aquarium moindrement élaboré à la maison, ou qui a déjà passé quelques heures dans un aquarium public, comprendra parfaitement la teneur de cet article et des révélations qui s’y trouvent.

C’est que Top Santé s’est attardé au phénomène et à l’impact des aquariums sur notre santé mentale et physique, et rapporte des opinions d’experts qui peuvent surprendre.

Cités dans Le Figaro, ces experts français notent d’abord un impact direct d’un moment passé à observer des poissons dans un aquarium sur la tension artérielle et sur le niveau de stress.

Un simple aquarium permettrait donc de calmer l’angoisse et l’anxiété, mais aussi de calmer la douleur! Toujours selon ces chercheurs, une baisse de la douleur ressentie par un patient donné est souvent observable après cinq minutes passées devant un aquarium, un effet qui pourrait perdurer jusqu’à 30 minutes.

Plus encore, les poissons dans leur habitat permettraient même à des personnes atteintes de maladies graves comme l’Alzheimer d’améliorer leur qualité de vie au quotidien, notamment en ce qui concerne leur apport alimentaire. Dans la même veine, le fait de nourrir des poissons aurait aidé des jeunes aux prises avec des troubles alimentaires.

En bref, les poissons et les aquariums permettent de calmer de façon générale et ouvrent ainsi la porte à une foule de bienfaits sur la santé, et même sur le personnel médical, alors que plusieurs estiment qu’un aquarium installé dans une salle d’attente calme l’impatience des patients!

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Le revers de la médaille des boissons gazeuses diètes

Si un grand nombre de spécialistes en santé et nutrition s’entendent pour dire que le choix d’une boisson gazeuse dans son format diète est une bonne idée en soi, ils vous répondront également qu’il existe quelques revers à cette médaille.

Dont celui de vous faire manger plus, apprend-on maintenant des informations rapportées par The National Library of Medicine, qui propose les conclusions d’une étude sur le sujet.

Cette étude, en provenance de la Johns Hopkins University Bloomberg School of Public Health, explique que les gens qui optent pour des boissons gazeuses diètes sont plus enclins à consommer plus de calories quotidiennement que ceux qui s’en tiennent à la version originale, ironiquement.

« Les gens en surpoids qui consomment des boissons diètes mangent plus de nourriture dans une journée que ceux qui consomment des boissons gazeuses sucrées. Si vous consommez des sucres artificiels, ça indique au cerveau que vous moins rassasié, et vous mangez plus », explique Sara Bleich, l’une des chercheuses impliquées.

The American Beverage Association, qui représente plusieurs fabricants de boissons gazeuses, s’indigne d’une telle conclusion et rappelle que de nombreuses études ont démontré les bienfaits des boissons diètes.

Mais une professeure de l’Université Purdue tranche le débat : « Le but devrait plutôt être de réduire la consommation de sucre et de sucre artificiel en tant que tel. La meilleure option demeure de boire de l’eau ».

L’étude rapportée a été publiée dans le magazine American Journal of Public Health.

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Quand l’alcool affecte sérieusement les capacités cognitives chez les hommes

Si une consommation d’alcool par jour peut toujours passer, il semble que quatre soit le seuil critique à ne pas atteindre chez les hommes, notamment ceux ayant franchi le cap de la cinquantaine.

Top Santé rapporte en effet les conclusions d’une étude sur le sujet, qui dévoile des conséquences potentiellement catastrophiques pour les hommes consommant de trois à quatre verres d’alcool quotidiennement.

Même si la cinquantaine peut sembler un âge plus avancé pour les plus jeunes, il s’agit somme toute d’un palier assez jeune, surtout si l’on considère que c’est la première fois qu’une étude du genre s’attarde à cette portion de la population (les études précédentes visant surtout les 65 ans et plus).

« Notre étude est basée sur des personnes âgées en moyenne de 56 ans lors des premiers tests cognitifs, ce qui est relativement jeune par rapport aux études précédentes sur ce sujet. Elle suggère qu’une forte consommation d’alcool serait associée à un déclin cognitif plus rapide dans tous les domaines cognitifs étudiés », résume Séverine Sabia de l’University College, auteure de la recherche.

Les conséquences d’une trop forte consommation d’alcool quotidienne chez l’homme peuvent varier entre un déclin de la mémoire, de l’attention et du raisonnement.

Les résultats de l’étude sont publiés dans le magazine Neurology.

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Quand la sexualité rend plus « intelligent »

Une sexualité active pourrait bien augmenter certaines compétences du cerveau, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), et par conséquent rendre plus « intelligent ».

On apprend en effet de l’étude rapportée par le quotidien que le sexe a une bonne influence sur les cellules cérébrales, et favoriserait leur progression. Les résultats de cette cause à effet pourraient varier entre de meilleures capacités cognitives, une baisse significative de stress et de plus grandes capacités de mémorisation.

On doit ces révélations, qui abondent dans le même sens que quelques autres recherches précédentes sur le sujet, à une équipe de l’Université du Maryland, qui proposait ses travaux lors d’une conférence de la Society for Neuroscience.

La notion de création de nouvelles cellules cérébrales peut aussi surprendre, et les chercheurs impliqués dans la recherche croient que le sexe, tout comme les exercices mentaux et physiques, peut contribuer à garder ces cellules plus longtemps en vie.

Comme le note si bien le Daily Mail (UK), les cours du soir n’auront jamais été aussi plaisants à la suite de cette étude.

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Un régime riche en fibres s’avère très efficace contre le diabète et l’obésité

MedicalNewsToday rapporte une étude qui confirme les bienfaits d’un régime alimentaire fort en fibres, notamment dans la prévention de certains troubles de la santé comme le diabète et l’obésité.

Si ces notions sont connues depuis longtemps par les spécialistes en santé et nutrition, il demeurait à démontrer le fait, puis à en expliquer la cause. Il semble que ce soit pratiquement chose faite, alors que des chercheurs français du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), en collaboration avec collègues basés en Suède, présentent les résultats de leurs travaux.

On apprend de ces derniers, dont les conclusions sont publiées dans le magazine Cell, qu’une diète riche en fibres permet à l’intestin de produire des acides gras, et ce que les chercheurs appellent du « glucose synthétique ».

Relâchés plus tard dans la nuit ou entre les repas, ces éléments permettraient à l’intestin et au corps de déclencher une série d’actions qui protège contre le développement du diabète et de l’obésité, comme un plus grand sentiment de satiété, une dépense d’énergie accrue et une production moindre de glucose par le foie.

Des tests subséquents sur des souris ont confirmé cette théorie. Les rongeurs soumis à une diète plus riche en fibres démontraient une meilleure protection contre le diabète et une prise de poids moins grande que les autres.

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Fracture chez les enfants : la densité osseuse peut être en cause

Les fractures distales de l’avant-bras (entre le coude et le pouce) sont les plus fréquentes chez l’enfant. Une récente étude menée par la Clinique Mayo et publiée dans le Journal of Bone and Mineral Research indique la possibilité d’une cause sous-jacente lorsque l’impact ayant causé la fracture est léger.

« Notre étude met en lumière la nécessité, pour les cliniciens, de prendre plus sérieusement en considération la gravité de l’impact précédant la blessure lorsqu’ils traitent des enfants et des adolescents pour fracture », rapporte le Dr Joshua Farr.

La crainte des chercheurs se situe au niveau des risques d’ostéoporose plus tard à l’âge adulte. Afin d’asseoir leurs résultats, ils ont utilisé la technologie de pointe de tomodensitométrie quantitative périphérique haute résolution ( HRpQCT).

Ils ont évalué la densité osseuse de plus de 100 enfants sans fracture, puis 115 garçons et filles présentant une fracture distale de l’avant-bras, âgés de 8 à 15 ans.

« Nous ne pouvons pas dire avec certitude que les déficits squelettiques suivront dans l’âge adulte. Ils peuvent être transitoires », affirme Dr Farr, selon MedicalNewsToday.

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Une majorité de gens surestime leur degré d’activité physique

Une majorité de gens surestimerait leur degré d’activité physique, selon des informations proposées par le Daily Mail (UK), et ne serait pas tout en fait en phase avec la réalité de leurs véritables réalisations personnelles en matière de sport.

Une équipe d’experts publient d’intéressantes statistiques dans le Medicine & Science in Sports & Exercise, qui révèlent que la plupart des gens se croient bien plus actifs qu’ils ne le sont en réalité.

De plus, les hommes seraient plus fautifs que les femmes, paraît-il, et auraient tendance à largement surestimer leurs efforts, toujours selon les informations rapportées.

Les hommes ajouteraient 56 minutes de trop à leur bilan d’activité physique hebdomadaire, contre 52 pour les femmes. Les deux sexes auraient cependant la tendance égale de sous-estimer le temps passé assis, à ne rien faire et à manger.

C’est en évaluant près de 1800 participants volontaires et leurs habitudes de vie que les chercheurs en sont venus à de telles conclusions, et si ces derniers ne proposent pas de solutions tangibles, on peut comprendre qu’il faudra s’assurer d’être un peu plus durs envers nous-mêmes et nos capacités afin de fournir un véritable effort qui aura de l’impact sur notre santé.

Fait intrigant en conclusion, les chercheurs estiment que les personnes possédant un bagage d’études universitaires auraient moins tendance à mentir ou à gonfler les faits que les autres!

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Malbouffe : Une expérience nutritionnelle des plus étonnantes

Un professeur américain a décidé d’ajouter son grain de sel dans le dossier épineux de la malbouffe et des habitudes alimentaires et de santé des Nord-Américains, avec des résultats étonnants, rapporte notamment Top Santé.

Le professeur John Cisna a en effet décidé de reprendre la formule Supersize Me du réalisateur Morgan Spurlock, version Cisna, et a mangé des repas fournis par McDonald’s chaque jour, trois fois par jour.

La variante, et elle est importante, consistait cependant à faire preuve de stratégie quant au choix des repas et, surtout, à ajouter l’exercice physique à sa routine afin de voir si cela pouvait compenser le burger quotidien.

Il a donc chaque jour ingurgité un œuf McMuffin le matin, accompagné de flocons d’avoine, une salade le midi, puis un trio classique le soir. Chaque journée était assortie d’au moins une marche de 45 minutes.

Résultat? John Cisna a perdu 37 livres. Et il y a plus, le professeur a vu son taux de mauvais cholestérol retrouver un seuil beaucoup plus normal qu’auparavant.

« Ce sont nos choix qui nous rendent gros, pas McDonald’s », lance en conclusion John Cisna, non fier d’avoir réussi son expérience, qui en dit long sur les impacts de l’activité physique sur le poids et la santé. 

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La vitamine E pourrait ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer

Une nouvelle étude encourageante démontre le potentiel de la vitamine E à freiner les ardeurs de la maladie d’Alzheimer, et ainsi permettre le ralentissement de la progression de cette terrible maladie.

Cette découverte provient d’une équipe de chercheurs américaine basée au Minnesota et menée par le Dr Maurice Dysken. Elle fait état d’une amélioration de la condition des patients souffrant d’Alzheimer ayant reçu de fortes doses de vitamine E.

« On a découvert que la vitamine E ralentit significativement la progression, en comparaison avec le placebo », lance le Dr Dysken.

Il ne s’agit aucunement d’une forme de traitement, mais plutôt d’une manière de gagner du temps et d’améliorer la condition des patients souffrant d’Alzheimer, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

On parle d’une réduction de 20 % du déclin annuellement, et d’un besoin moins évident de soins de la part du personnel médical, toujours selon l’étude de Dysken et de son équipe.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association, au dernier jour de 2013.

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Le stress et l’anxiété directement liés aux risques de crise cardiaque

Oui, être anxieux et stressé peut vous mener tout droit à la crise cardiaque. Voilà la conclusion large que l’on peut tirer de l’étude publiée et rapportée par l’American Heart Association.

L’anxiété, qui frappe de plus en plus de gens, semble-t-il, apparait comme un facteur de risque très important pour l’équipe de chercheurs américains basés à l’Université de Pittsburgh, en Pennsylvanie.

Menée par la Dre Maya Lambiase, l’équipe tire ces conclusions après l’analyse des résultats découlant du suivi de plus de 6000 patients, sur une période de 22 ans.

« Tout le monde fait de l’anxiété de temps en temps. Mais, quand c’est élevé ou chronique, cela peut avoir un effet sur vos années vasculaires au bout de la route », explique Lambiase, qui estime à 33 % la hausse des risques de crise cardiaque chez les personnes anxieuses.

Cependant, elle et son équipe tracent également un lien entre l’anxiété et la mauvaise alimentation, le tabagisme et l’absence d’exercice physique, qui contribuent tous de façon indirecte à ce lien observable.