Une recherche menée par le Dr Patrick Boulos, du Département d’ophtalmologie de l’Université de Montréal, lui permet de conclure que les appareils de photomodulation cellulaire, utilisés pour régénérer les cellules de la peau et corriger les imperfections dues au vieillissement, ne présenteraient pas d’effet secondaire indésirable.
Cette technique semblable à une luminothérapie consiste à produire des diodes, dont la fréquence de rayonnement se situe entre 580 et 590 nanomètres, qui pénètrent dans les couches superficielles de la peau.
« Il a été démontré, in vitro, que cette lumière stimule la production d’énergie par les mitochondries. Elle favorise également la production de collagène, une protéine essentielle à la cicatrisation, de même que l’élastine, qui assure l’élasticité de la peau. La photomodulation semble inverser les effets des rayons ultraviolets. Une exposition à cette lumière devrait donc aider à conserver une peau plus ferme et plus épaisse sans action néfaste », a mentionné le Dr Boulos, qui croit toutefois que la photomodulation n’efface pas les rides.