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Cinéma

Steven Spielberg s’implique dans un conflit religieux

Le réalisateur et producteur Steven Spielberg s’intéresse à un film sur l’affaire Mortara, qui tendit les relations diplomatiques entre l’Europe et les États pontificaux italiens au XIXe siècle.

Selon Variety, Spielberg a ajouté The Kidnapping of Edgardo Mortara à ses projets potentiels. Il retrouvera Tony Kushner, scénariste de ses films Munich et Lincoln, pour développer le scénario.

Derrière la caméra ou non, Spielberg sera en tout cas producteur du projet via sa société DreamWorks. The Kidnapping of Edgardo Mortara reviendra sur une affaire qui a secoué l’Europe à la fin des années 1860 : le rapt à Bologne d’un enfant juif de sept ans par les autorités papales.

Celles-ci ont justifié leur acte à cause de l’ondoiement donné six ans plus tôt au garçon malade par sa nourrice chrétienne. Edgardo Mortara est finalement devenu prêtre.

Steven Spielberg hésite encore sur sa prochaine réalisation. Il pourrait reprendre le projet de film de science-fiction Robopocalypse, abandonné début 2013 pour question budgétaire et artistique. Le cinéaste devrait ensuite s’atteler à Montezuma, un drame historique sur la chute de l’Empire aztèque au XVI siècle.

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Potins

Hugh Jackman se sent impliqué personnellement par son nouveau rôle

Hugh Jackman est même allé jusqu’à proposer au réalisateur d’incorporer la privation de sommeil dans son rôle, dans le nouveau film Prisoners de Denis Villeneuve.

L’acteur est allé jusqu’à faire de nombreuses recherches sur les familles ayant été victimes de l’enlèvement d’un de leurs enfants. « J’ai lu beaucoup d’histoires, vu beaucoup de vidéos de parents qui sont au bord du gouffre, lors des conférences de presse, où ils supplient qu’on relâche leurs enfants », a raconté Jackman à MTV News.

Il a avoué qu’il a été interpellé en tant que parent, inévitablement. « Je veux que mes enfants puissent avancer dans la vie en se disant que tout ira bien. Mais la réalité est différente. Elle nous rappelle à l’ordre », a réalisé Hugh Jackman, en incarnant ce père, Keller Dover, mourant à petit feu à force de perdre espoir de retrouver sa fille.

Il a appris « qu’il faut prier pour le meilleur, mais s’attendre au pire », une phrase de son personnage qui résonne encore à ses oreilles aujourd’hui.

En s’impliquant d’aussi près dans les histoires d’enlèvement, Jackman a voulu apporter un ton de vérité, plutôt que de sensationnalisme et de vengeance.

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Hugh Jackman se sent impliqué personnellement par son nouveau rôle

Hugh Jackman est même allé jusqu’à proposer au réalisateur d’incorporer la privation de sommeil dans son rôle, dans le nouveau film Prisoners de Denis Villeneuve.

L’acteur est allé jusqu’à faire de nombreuses recherches sur les familles ayant été victimes de l’enlèvement d’un de leurs enfants. « J’ai lu beaucoup d’histoires, vu beaucoup de vidéos de parents qui sont au bord du gouffre, lors des conférences de presse, où ils supplient qu’on relâche leurs enfants », a raconté Jackman à MTV News.

Il a avoué qu’il a été interpellé en tant que parent, inévitablement. « Je veux que mes enfants puissent avancer dans la vie en se disant que tout ira bien. Mais la réalité est différente. Elle nous rappelle à l’ordre », a réalisé Hugh Jackman, en incarnant ce père, Keller Dover, mourant à petit feu à force de perdre espoir de retrouver sa fille.

Il a appris « qu’il faut prier pour le meilleur, mais s’attendre au pire », une phrase de son personnage qui résonne encore à ses oreilles aujourd’hui.

En s’impliquant d’aussi près dans les histoires d’enlèvement, Jackman a voulu apporter un ton de vérité, plutôt que de sensationnalisme et de vengeance.