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5 indices qui vous mettent la puce à l’oreille pour le TDAH

Empowher donne des trucs pour reconnaître un enfant qui pourrait souffrir de trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH).

1- Les 3 principales catégories de symptômes sont l’inattention, l’impulsivité et l’hyperactivité.

2- Les filles ont tendance à démontrer plus d’inattention, alors que chez les garçons, la combinaison d’hyperactivité et d’inattention est plus fréquente.

3- À l’école, votre enfant risque de se démarquer par son incapacité à demeurer en place ou à écouter les consignes. Parlez aussi à l’enseignant.

4- Dans les sports, alors que les autres évoluent dans une même direction, votre enfant risque de regarder le chien qui se promène dans la rue.

5- Les oublis sont fréquents, partout où l’enfant va. Son manteau dans l’autobus, son parapluie chez un ami, son cellulaire… quelque part et il ne s’en souvient pas.

La seconde étape consiste à consulter votre médecin de famille ou pédiatre. Celui-ci pourra vous aider à établir un diagnostic.

Par la suite, avant même de penser à la médication, sachez qu’il existe des classes comptant moins d’élèves pour aider les jeunes avec des besoins spécifiques.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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Lien entre l’impulsivité chez les jeunes garçons et le développement de problèmes de jeu

Le journal Addiction publie une étude révélant que lorsque de jeunes garçons sont considérés comme « très impulsifs » à l’âge de 6 ans, ils ont deux fois plus de chances d’avoir un comportement à risque relié au jeu à l’adolescence, et trois fois plus de chances d’avoir un problème de jeu.

Les chercheurs ont observé 310 garçons provenant de milieux urbains défavorisés. Les garçons ont vu leur comportement mesuré par rapport à l’impulsivité, puis des évaluations ont été faites lorsque les garçons avaient entre 11 et 20 ans.

41 % des enfants étaient considérés comme démontrant une grande impulsivité, tandis que 59 % en démontraient peu. Une fois adolescents, 67 % des garçons participaient à des jeux d’argent, 20 % étaient à risque, et 9 % avaient un problème.

« Nos résultats montrent qu’apprendre aux jeunes garçons à maîtriser leur impulsivité très tôt, au début de leur parcours scolaire, peut avoir des avantages à long terme », a expliqué l’auteure de l’étude, la Dre Silvia Martins, selon Science Daily.

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Les garçons meilleurs en maths que les filles

L’étude publiée dans le Journal of Experimental Child Psychology explique que les garçons réagiraient plus rapidement face à un problème mathématique, ce qui pourrait leur valoir de meilleures notes dans cette matière.

En fait, les filles seraient plus calmes et prendraient mieux le temps de réfléchir à l’école. Elles essaieraient donc de croiser les données et de murir leur réflexion. Elles auraient moins de mauvaises réponses, mais répondraient à moins de questions.

Toutefois, les garçons se tromperaient plus facilement en se servant de leur mémoire au lieu de vraiment analyser le problème en détail.

Les experts ont également déduit que les filles étaient potentiellement aussi bonnes en maths que les garçons jusqu’au collège.

« Avec le temps, cette faculté à faire appel à la mémoire permet aux garçons d’être plus précis, plus justes que les filles », selon l’auteur de l’étude, Drew Bailey.

Rappelons cependant qu’une étude publiée en février dernier veut que les filles aient plus de facilité en arithmétique que les garçons, en raison de leurs aptitudes verbales et de leur facilité à mémoriser.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Arrêter de fumer améliore la personnalité

Il est faux de croire que fumer diminue le stress. Des chercheurs mentionnent dans le Nicotine and Tobacco Research qu’arrêter de fumer à un jeune âge permet d’améliorer sa personnalité, notamment en diminuant son impulsivité.
 
C’est le constat qui a été fait en observant un groupe de jeunes fumeurs de 18 à 25 ans, comparativement à un groupe qui avait cessé de fumer. La recherche n’a pas été faite chez les plus âgés.
 
« Les fumeurs de 18 ans avaient un taux d’impulsivité plus haut que les non-fumeurs du même âge, et ceux qui avaient arrêté montraient une forte baisse d’impulsivité entre 18 et 25 ans », a déclaré le chercheur Andrew Littlefield.
 
De plus, on a remarqué que le simple fait d’essayer d’arrêter de fumer pouvait améliorer l’humeur.
 
On a étudié les symptômes dépressifs chez les personnes qui étaient en plein processus de cesser de fumer et celles-ci disaient se sentir mieux que jamais.
 
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Un gène responsable de l’impulsivité

Des chercheurs américains et européens ont réussi à identifier un gène qui serait à l’origine de l’impulsivité chez les individus, surtout si ceux-ci ont consommé de l’alcool.
 
Un comportement impulsif est un acte qui est non prémédité et dont on ne prend pas en considération les conséquences ensuite.
 
Les chercheurs ont étudié des criminels finlandais qui ont commis des crimes violents comme des meurtres, des agressions, des tentatives d’homicide ou des incendies criminels. Ils ont comparé l’ADN de 96 criminels à celui de 96 Finlandais qui n’avaient commis aucun crime, mentionne la revue Nature
 
Les délinquants avaient trois fois plus de risques d’avoir une mutation génétique sur le gène HTR2B. Toutefois, on insiste sur le fait que cette mutation n’est pas la seule responsable de l’impulsivité.
 
« Les porteurs de la variante du HTR2B ayant commis des crimes impulsifs étaient des hommes et tous étaient devenus violents sous l’emprise de l’alcool, qui conduit à une désinhibition comportementale », explique le Dr David Goldman.
 
On rapporte que 94 % des crimes commis étaient faits après une consommation d’alcool et qu’ils résultaient d’une réaction exagérée à de légers agacements, la situation devenant soudain hors de contrôle.
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Mieux comprendre l’impulsivité

Le Dr Joshua Buckholtz et son équipe de l’Université Vanderbilt à Nashville, dans le Tennessee, se sont penchés sur les comportements impulsifs, mais surtout sur le rôle que joue la dopamine dans ces manifestations.
 
Par le passé, on a établi que la dopamine était impliquée dans ces comportements, mais on ne savait pas de quelle façon.
 
Les chercheurs ont découvert que l’impulsivité est favorisée par une diminution de l’activité du récepteur de dopamine et une libération plus grande de ce neurotransmetteur dans le cerveau.
 
C’est ce qui se produit chez les personnes qui ont tendance à agir rapidement et à faire des choix parfois irréfléchis.
 
Ainsi, nos différences individuelles peuvent établir de quelle façon notre comportement impulsif pourrait se manifester, selon ce que rapporte l’étude publiée dans le magazine Science.