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Changement de politique pour éviter les grossesses multiples in vitro

Les frais associés aux traitements de fertilité sont souvent la cause première qui porte les couples à tenter plus d’un embryon à la fois. Cependant, les risques associés à une grossesse multiple incluent la prématurité et d’autres complications qui peuvent être graves.

Ainsi, le Dr Pasquale Patrizio et ses collègues du Département de l’obstétrique, de gynécologie et des sciences de la reproduction de l’École de médecine de Yale ont rencontré les principaux intervenants du processus.

Patrizio a rassemblé les experts en fertilité, les représentants de l’industrie des assurances, les associations professionnelles ainsi que les bioéthiciens. Ensemble, ils ont examiné les causes et conséquences d’une grossesse multiple à la suite d’un traitement de fertilité.

Habituellement, un « cycle complet » coûte en moyenne 10 000 $ pour un traitement in vitro aux États-Unis. Or, ceci comprend une seule insémination.

Patricio a réussi à faire changer les politiques afin qu’un cycle complet comprenne deux inséminations individuelles, et les compagnies d’assurances suivront la cadence pour la couverture des frais.

Détails de l’étude : Fertility & Sterility.

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Choisir une mère porteuse, une pratique qui gagne en popularité

Les experts, selon SheKnows, s’entendent pour dire qu’il y a une croissance de la demande de maternité de substitution. Ils en ont d’ailleurs discuté avec Brandon J. Bankowski, partenaire de l’Oregon Reproductive Medicine.

Selon lui, l’une des causes de l’augmentation des demandes de mères porteuses est due aux couples de même sexe. Cependant, il est loin de se limiter à cette seule raison. Il y a également le taux de réussite qui, au fil des ans, continue à augmenter. Dans leur cas, celui-ci a atteint 80 %.

Il y a deux types de maternité de substitution. Le premier consiste à utiliser les ovules de la femme qui portera l’enfant, et donc, celle-ci aura un « lien maternel » avec votre enfant. Dans la seconde option, elle porte des ovules déjà fécondés, sans apporter son bagage génétique.

Cependant, comme le taux de succès augmente, les grossesses multiples sont aussi au rendez-vous dans le cas d’ovules fécondés, qui sont inséminés en paires. Vous devez en être conscients.

À retenir, selon Santé Canada, aucune mère porteuse ne doit être rémunérée pour entreprendre cette démarche. Évitez donc de vous mettre dans le pétrin en suggérant de rétribuer la personne pour la « convaincre ».

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Des bébés grâce à la musique

Une nouvelle technique de fertilisation in vitro aurait fait ses preuves. Un premier bébé, Freddie, est d’ailleurs né il y a un an avec l’aide de cette technique.

Les recherches ont été effectuées par la clinique de fertilisation Marques à Barcelone. Comme les embryons ne peuvent détecter les sons avant l’âge de 14 semaines, il est suggéré que ce soient les vibrations causées par la musique qui augmenteraient les chances de fertilisation.

Le processus de passage des nutriments vers l’ovule serait amélioré, de même que le nettoyage des éléments toxiques. Pendant les tests, les ovules auxquels on faisait jouer de la musique ont vu leur chance de fertilisation être supérieure aux autres de 5 %.

Les morceaux joués? Like a prayer de Madonna, Billie Jean de Michael Jackson, Purple Rain de Prince, Master of Puppets de Metallica, en plus de AC/DC, Nirvana, Vivaldi, Bach et Mozart. Tous ces styles semblent fonctionner aussi bien les uns que les autres.

Les parents du petit Freddy, eux-mêmes amoureux de musique, racontent au Dailymail britannique que dès sa naissance, le petit était très attiré par la musique, qui semble l’aider à se détendre.

La chercheuse espagnole Carolina Castello encourage les gens à faire de même en tentant de procréer de façon naturelle. « La musique est bénéfique à presque tout », conclut-elle.

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5 millions d’enfants par procréation médicalement assistée

Cependant, la moitié de ces enfants, soit 2,5 millions, ont été conçus dans les 6 dernières années. Ces données proviennent de l’International Committee for the Monitoring of Assisted Reproductive Technologie (ICMART), représentant plus de 50 organismes de fertilité.

Dans un communiqué de presse, Richard Kennedy, membre du conseil de l’Internal Federation of Fertility Societies (IFFS) a déclaré être fier de ce succès médical. « Le nombre de bébés qui sont nés à l’aide de la procréation assistée représente la population du Colorado ou d’un pays comme le Liban ou l’Irlande. C’est un grand succès médical. »

Selon Scienceworldreport, Louise Brown, née en 1978 au Royaume-Uni, a été le premier bébé conçu à l’aide de l’assistance médicale à la procréation (AMP).

En 1990, déjà 90 000 naissances par AMP étaient répertoriées. Le chiffre a grimpé à 2,5 millions en 2007.

Bien que la percée médicale soit extraordinaire pour les gens qui souhaitent avoir une famille, mais n’en ont pas la possibilité, une problématique sous-jacente mérite un questionnement. Si le taux de naissances in vitro grimpe en flèche, cela signifie en contrepartie que la capacité reproductive de l’adulte moyen s’amenuise.

Bientôt, payer de 12 000 $ à 17 000 $ pour chaque essai in vitro deviendra-t-il la norme?

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25 % des femmes auraient aimé fonder une famille plus tôt

En effet, parmi les 3000 femmes interrogées, 1 sur 4 affirme qu’elle regrette d’avoir attendu si longtemps avant d’entreprendre des démarches pour avoir un enfant. En plus, 1 femme sur 10 a déjà eu recours à un traitement de fertilité.
 
Ces données, recensées par le magazine Red, démontrent que les femmes comprennent mal le déclin important de leur fertilité après 35 ans. D’autre part, un nombre impressionnant d’entre elles juge que d’avoir un enfant est aussi, sinon plus important que d’avoir une relation amoureuse. Ainsi, elles choisissent souvent le traitement de fertilité in vitro même si elles sont célibataires.
 
Brigid Moss, directrice de la santé chez Red, est l’auteure principale de ce rapport intitulé Modern Motherhood. « Il n’est pas surprenant de voir que 9 % des femmes ont déjà eu recours au traitement de fertilité », a-t-elle affirmé. « C’est une pratique de plus en plus commune et beaucoup plus acceptée. Plus d’un quart des femmes, dans notre sondage, a affirmé avoir des problèmes à concevoir naturellement. »
 
Il est prouvé que les chances d’avoir des enfants après 35 ans, chez les femmes, diminuent rapidement. Cependant, celles de concevoir in vitro augmentent vers la fin trentaine, jusqu’à la fin quarantaine. Mais les chances de réussite ne sont pas garanties pour autant. Beaucoup de femmes affirment avoir perdu un temps précieux lorsqu’elles en arrivent à cette méthode de conception.
 
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Un seul embryon pour les fécondations in vitro

Selon les Centers for Disease Control and Prevention, l’apparition de la fécondation in vitro a provoqué, entre 1980 et 2009, une augmentation de 76 % du nombre de naissances de jumeaux et une hausse de 325 % du nombre de naissances de trois enfants et plus à la fois.

Cependant, cette tendance pourrait désormais diminuer. Le fait est que la demande de transplantation d’un seul embryon est de plus en plus courante. Auparavant, les médecins en transplantaient plusieurs, afin de s’assurer qu’au moins un d’entre eux allait fonctionner, mais de nos jours, les avancées technologiques permettent un meilleur taux de succès pour chaque embryon.

« C’est quelque chose qui va contribuer à des grossesses plus saines. Nous apprenons aux patientes que le transfert d’un seul embryon dans certaines situations est presque aussi efficace que le transfert de plusieurs embryons, et il y a un grand nombre d’études qui le confirment », explique le propriétaire du Reproductive Science Center de San Francisco Bay, le docteur Louis Weckstein.

Bien que certaines femmes qui optent pour la fécondation in vitro ne se soucient pas du nombre de bébés qu’elles auront, les scientifiques soulignent que 60 % des jumeaux et 90 % des triplés naissent prématurément.

Rappelons que le risque de développer une maladie mentale est accru chez les enfants nés prématurément.

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Refus d’une fécondation in vitro à des femmes obèses

On apprend dans The Globe and Mail que les femmes obèses pourraient se voir refuser un traitement de fécondation in vitro. Il semble que cette décision serait basée sur plusieurs études ayant fait état de complications médicales pour ces femmes.

Au Centre de fertilité d’Ottawa, par exemple, il s’agirait déjà d’une réalité. Une femme ayant un indice de masse corporelle supérieur à 35 (l’état d’obésité commence à 30) ne peut recevoir ce traitement.

Les discussions vont bon train sur le sujet, et il semble que cela ne deviendrait pas une mesure prise au Québec. Rappelons que depuis un an, les frais des traitements de fécondation in vitro sont remboursés par la province.

Des médecins soutiennent toutefois leur point quant à une telle initiative. Le sujet a par ailleurs été abordé à la rencontre de la Société canadienne de fertilité et d’andrologie à Toronto.

Quant aux détracteurs, ils affirment qu’il s’agit de discrimination. On a donné en exemple le cas de fumeuses, à qui l’on ne refuse pourtant pas le traitement même si leur grossesse est considérée à risque.

Mentionnons finalement que l’Organisation mondiale de la santé a reconnu l’infertilité comme une maladie. Selon l’Association des couples infertiles du Québec, un médecin qui refuserait une fécondation in vitro à une femme obèse en viendrait donc à refuser de la soigner.

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Fondez votre petite famille avant 35 ans

Ces données, provenant d’une étude britannique, sont valables tant pour les femmes que les hommes. Famili.fr rapporte les faits découlant de la recherche menée par des scientifiques de l’Université de Glasgow.

Ce n’est plus un secret, plus la femme avance en âge et plus ses chances de procréer diminuent. La présente étude relate que dès l’âge de 35 ans, les possibilités tombent en chute libre.
 
À titre d’exemple, à 40 ans, les femmes utilisant la méthode in vitro n’ont que 23 % de réussite. En contrepartie, 8 femmes sur 10 deviennent mères de cette façon lorsqu’elles ont moins de 35 ans.
 
« Le nombre et la qualité des ovules dans l’ovaire diminuent », affirme le professeur Scott Nelson, coauteur de l’étude. « Quant à la PMA, elle perd autant d’efficacité et ne constitue donc pas une solution alternative de secours ».
 
On oublie souvent de souligner la contribution masculine dans la procréation tardive. Mesdemoiselles, peu importe que vous ayez 15 ans de moins que votre partenaire, sachez qu’un homme de 40 ans mettra en moyenne 2 ans pour réussir à vous offrir un test de grossesse positif.
 
Les générations futures devront revoir leurs priorités, puisque la conception est à son paroxysme de 20 à 35 ans.
 
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Données encourageantes sur l’infertilité

On peut lire dans Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire que l’infertilité est un obstacle de moins en moins important pour avoir un enfant. Sur 10 couples infertiles, 7 réussissent à avoir un enfant.

Pour arriver à ce nombre, on a suivi 6 507 couples ayant eu recours à la fécondation in vitro pour la première fois entre 2000 et 2002. Quelques années plus tard, entre 2008 et 2010, les mêmes couples ont répondu à un questionnaire par voie postale.
 
Cette enquête a par ailleurs fait la lumière sur les différentes méthodes vers lesquelles peuvent se tourner les gens qui veulent devenir parents. Parmi les 70 % participants y étant arrivés, on a donc pu remarquer que seuls 41 % l’avaient fait par fécondation in vitro.

D’autre part, chez les autres, 19 % se sont tournés vers l’adoption et 18 % ont finalement eu un enfant par conception naturelle. 11 % ont connu le succès en employant un traitement de procréation.

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Bientôt des viandes fabriquées en laboratoire

Des chercheurs américains et européens tentent maintenant de créer les premières viandes in vitro en laboratoire,rapporte Relay.
 
Selon l’organisation New Harvest, d’ici quelques années, on aura la technologie nécessaire pour parvenir à créer des saucisses, du boeuf haché et des croquettes de poulet synthétiques. Pour les autres viandes, il faudra attendre encore longtemps.
 
Tout cela parce qu’on estime que d’ici 2025, la demande en viande grimpera de 40 % dans le monde. On souhaite donc trouver un moyen d’en produire en laboratoire. Cela réduirait également les gaz à effets de serre, dont 20 % proviennent de la production de viande.
 
On croit que ce seront les établissements de restauration rapide qui emboiteront le pas les premiers lorsque la viande synthétique sera approuvée.
 
Un avantage de cette viande in vitro est qu’elle pourra être constituée au gré des besoins, comme en réduisant le gras ou en augmentant les nutriments.