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Les parents responsables de l’inactivité de leurs enfants

Bien que l’on accuse souvent l’apparition des jeux vidéo dans le cas des jeunes inactifs, la véritable cause de ce problème serait liée aux parents.

Les scientifiques de l’Université d’État de l’Oregon ont étudié les enfants de deux types de familles. Le premier groupe était constitué d’enfants dont les parents étaient stricts, mais aimants, et dans le deuxième groupe d’enfants, les parents étaient moins impliqués et plus permissifs.

Les enfants du deuxième groupe passaient environ une demi-heure de plus devant un écran que les autres. Aussi, ceux de 2 à 4 ans des deux groupes passaient de quatre à cinq heures de la journée à faire des activités qui ne nécessitent pas d’effort physique.

« Certains parents considèrent les jeux calmes — s’asseoir et colorier, travailler sur un casse-tête, etc. — comme une activité positive, mais c’est un âge où bouger est essentiel », explique l’auteur de la recherche, David Schary.

De plus, les experts signalent que ces habitudes plus sédentaires sont maintenues par l’enfant longtemps durant les années d’école et même plus tard dans la vie.

Rappelons que l’activité physique chez les jeunes âgés de 4 à 18 ans, qu’elle soit modérée ou intense, permet d’améliorer de beaucoup leur tour de taille, leur pression artérielle systolique, leur taux de triglycérides, de cholestérol HDL et d’insuline.

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De mauvaises habitudes qui réduisent l’espérance de vie

Les Archives of Internal Medicine ont établi une liste de quatre mauvaises habitudes qui réduisent de douze ans l’espérance de vie.
 
Le tabagisme, souvent lié au cancer, se situe dans cette liste avec également moins de deux heures d’activités physiques par semaine, ce qui peut entraîner des maladies cardiovasculaires à long terme, manger moins de trois portions de fruits et légumes par jour et boire plus de 8 à 10 verres d’alcool par semaine.
 
Chacune de ces mauvaises habitudes double les risques de mort prématurée. Lorsqu’elles sont combinées, les risques sont de trois à quatre fois plus grands que pour les personnes qui n’ont pas adopté ces habitudes et qui ont un mode de vie sain.
 
Cette étude norvégienne a été réalisée avec l’aide de 4 866 participants qui se sont soumis à un questionnaire sur leurs habitudes de vie, ainsi qu’à un suivi médical pendant vingt ans.