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Comment reconnaître les différents pleurs de bébé

Comme le mentionne plurielles.fr, inutile d’énerver votre nourrisson en faisant le tour des besoins « possibles » lorsqu’il se met à pleurer. Procédez par élimination et restez calme.

La faim : Les pleurs les plus faciles à identifier. Ils débutent par des pleurs réguliers, puis s’accentuent rapidement, jusqu’à devenir, disons-le, insupportables si la faim n’est pas immédiatement calmée. Ces pleurs cessent dès qu’ils sont comblés par le lait.

La douleur : Principalement causés par les coliques, les pleurs se manifesteront au rythme des douleurs intestinales. Il n’y a pas de solution miracle, mais en le prenant dans nos bras et en frottant son ventre, ou encore en repliant ses jambes sur son abdomen, on peut soulager bébé temporairement.

Inconfort : La température ambiante — trop froide ou trop chaude — incommode rapidement le nourrisson. Prenez l’habitude de vérifier s’il n’est pas en sueur, ou au contraire, si ses mains et ses pieds sont gelés. Par la suite, vérifiez sa couche. Les pleurs d’inconfort dénotent généralement plus d’agacement et ressemblent à une plainte plutôt qu’à des pleurs francs et intenses.

La fatigue ou le réconfort : Ces deux éléments vont parfois de pair. Il arrive que votre bébé s’ennuie de votre contact. C’est d’autant plus présent chez lui lorsqu’il est fatigué. Ses pleurs seront alors moins énergiques et plus sporadiques. Parfois, juste frotter son dos ou sa tête alors qu’il est dans son berceau lui apportera suffisamment de réconfort. D’autre part, vous reconnaîtrez éventuellement des signes tels que le frottement des yeux, puis une tendance à refuser systématiquement tout ce qui fonctionne habituellement. C’est alors l’heure du dodo.

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La méditation plus efficace que la morphine contre la douleur

Méditer, même au niveau débutant, permettrait de réduire considérablement la douleur et l’inconfort. En fait, les chercheurs croient que la méditation serait même plus efficace que la morphine et d’autres analgésiques.
 
Alors que la morphine réduirait l’intensité de la douleur de 25 %, la méditation ferait mieux en l’abaissant de 40 % et en réduisant l’inconfort de 57 %, selon l’étude publiée dans le Journal of Neuroscience.
 
« Il s’agit de la première recherche montrant qu’un peu plus d’une heure d’entraînement peut fortement réduire la douleur ainsi que l’activation des centres cérébraux qui en sont responsables. Nous avons constaté un important effet de la méditation sur les sujets de l’étude avec une diminution d’environ 40 % de l’intensité de la douleur et de 57 % de l’inconfort lié à la douleur », explique l’auteur principal de l’étude Fadel Zeidan.
 
Même les débutants peuvent pleinement profiter des bienfaits de la méditation. Les 15 participants de la recherche n’avaient jamais médité auparavant. Ils ont eu quatre séances de 20 minutes et on leur a placé un élément chauffant sur la jambe.
 
Habituellement, après cinq minutes, les personnes ressentent de la douleur. Durant l’exercice, on a toutefois remarqué que l’activité cérébrale était moindre dans leur cortex somatosensoriel primaire, qui localise la douleur dans le corps et en mesure son intensité. Cela a donné comme résultat que la douleur était beaucoup moins ressentie.
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La technologie 3D peut causer des problèmes

À l’École de médecine Feinberg de l’Université Northwestern à Chicago, des spécialistes des yeux mentionnent que la technologie 3D pourrait causer des maux de tête chez certaines personnes.

À l’heure où la popularité du 3D est grandissante – on n’a qu’à penser au film Avatar de James Cameron qui fracasse des records au box-office ou au dernier CES à Las Vegas où la technologie 3D était en vedette, notamment avec l’arrivée des premières télévisions 3D – cette expérience ultime pour certains serait un malheur pour d’autres.

Selon les experts, des personnes ayant des problèmes oculaires, même mineurs, pourraient avoir de terribles maux de tête après une longue séance de 3D.

La plupart des problèmes oculaires, ou déséquilibres musculaires, mineurs sont gérés naturellement par le cerveau, mais le 3D demande un effort plus grand mentalement, ce qui augmente les risques de douleur.

Certaines personnes qui ne perçoivent pas normalement la profondeur ne peuvent même pas voir le 3D.

Par contre, selon les fournisseurs de cette technologie, les nouveaux équipements offrent maintenant un plus grand confort aux amateurs, réduisant les maux de tête et maux de cœur. Aujourd’hui, on n’a besoin que d’un seul projecteur alors qu’avant, c’était deux et ils n’étaient pas alignés correctement.