Comme le mentionne plurielles.fr, inutile d’énerver votre nourrisson en faisant le tour des besoins « possibles » lorsqu’il se met à pleurer. Procédez par élimination et restez calme.
La faim : Les pleurs les plus faciles à identifier. Ils débutent par des pleurs réguliers, puis s’accentuent rapidement, jusqu’à devenir, disons-le, insupportables si la faim n’est pas immédiatement calmée. Ces pleurs cessent dès qu’ils sont comblés par le lait.
La douleur : Principalement causés par les coliques, les pleurs se manifesteront au rythme des douleurs intestinales. Il n’y a pas de solution miracle, mais en le prenant dans nos bras et en frottant son ventre, ou encore en repliant ses jambes sur son abdomen, on peut soulager bébé temporairement.
Inconfort : La température ambiante — trop froide ou trop chaude — incommode rapidement le nourrisson. Prenez l’habitude de vérifier s’il n’est pas en sueur, ou au contraire, si ses mains et ses pieds sont gelés. Par la suite, vérifiez sa couche. Les pleurs d’inconfort dénotent généralement plus d’agacement et ressemblent à une plainte plutôt qu’à des pleurs francs et intenses.
La fatigue ou le réconfort : Ces deux éléments vont parfois de pair. Il arrive que votre bébé s’ennuie de votre contact. C’est d’autant plus présent chez lui lorsqu’il est fatigué. Ses pleurs seront alors moins énergiques et plus sporadiques. Parfois, juste frotter son dos ou sa tête alors qu’il est dans son berceau lui apportera suffisamment de réconfort. D’autre part, vous reconnaîtrez éventuellement des signes tels que le frottement des yeux, puis une tendance à refuser systématiquement tout ce qui fonctionne habituellement. C’est alors l’heure du dodo.