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Trucs et Bricolages

Un test classique pour connaître les dessous de votre personnalité

Depuis de nombreuses années, les psychologues et psychiatres utilisent des « taches d’encre » avec certains de leurs patients, pour faire parler leur subconscient. Ce test rappelle ce genre de taches.

Si vous désirez lever le voile sur les dessous de votre personnalité, essayez ce  test de Rorschach. Pendant environ cinq secondes, observez l’image sui suit et lisez le résultat associé à la première chose que vous y voyez.

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Une tête de renard

Si c’est une tête de renard que vous avez remarquée ici, vous possédez  une personnalité débordante. Peu importe le lieu, on vous remarque!

Vous êtes plein.e de vie et on le ressent quand on vous écoute parler. Vous êtes capable de parler pendant des heure d’un sujet qui vous passionne.

Il est impossible de vous mettre dans une case, de vous catégoriser. Votre entourage vous trouve un peu « sauvage ».

Vous avez un esprit vif tout en sachant vous détendre par moment.

Dans votre vie personnelle comme au travail, vous aimez bien dominer et démontrer votre autorité, tout en faisant de votre mieux pour ne pas en abuser.

On vous conseille tout de même de tenter de vous tempérer, car si vous vous imposez trop, les autres ne pourront pas émettre leurs opinions.

Les os d’un bassin 

Vous avez vu un bassin humain? Cela dit de vous que vous suivez vous écoutez votre instinct. Il vous guide chaque jour quand vous devez prendre des décisions.

Certains pensent que c’est dangereux, car il vous arrive parfois de pressentir les choses avant mêmes qu’elles ne se produisent! C’est intimidant pour les gens qui ne vous connaissent pas…

Vous n’êtes pas une personne très avenante et préférez vous isoler. Plutôt solitaire, vous avez deux ou trois amis. Il vous arrive de faire preuve de froideur envers les gens. En fait, la gentillesse n’est pas votre première qualité.

Comme  humain vit en société,  il vous est recommandé d’apprendre à socialiser d’avantage. Non pas que vous deviez être ami.e avec tout le monde! Mais un peu plus de courtoisie et de politesse seraient apprécié.

Une femme ailée

Si vous avez plutôt vu une femme avec des ailes sur le test de Rorschach, vous êtes une personne très créative. Vous savez exploiter votre imagination quand vous devez accomplir une tâche. Vous ne faites pas les choses comme tout le monde, vous ajoutez  votre touche personnelle. Vous mettez de la couleur là où il n’y en a pas. Et s’il y a en a trop, vous équilibrez.

Au travail, on fait appel à votre créativité, même si vous ne mettez pas souvent cette caractéristique en avant, car vous avez tendance à vous sous-estimer.

Vous ne voulez pas qu’on mette les projecteurs sur vous et vous êtes mal à l’aise si on vous complimente. 

Vous pensez que les gens en mettent trop quand ils vous disent exceptionnel.le. Mais vous l’êtes! Vous devez l’accepter afin de tirer avantage de votre belle créativité.

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Se débarrasser de la cigarette inconsciemment

Les résultats d’une étude israélienne ont été publiés dans la revue spécialisée Journal of Neuroscience. Ceux-ci suggèrent que lorsque le cerveau est soumis à un conditionnement de façon inconsciente, il assimile l’information. Par conséquent, il serait possible de réduire l’usage de la cigarette en sentant de mauvaises odeurs pendant le sommeil.

La méthode de la Dre Anat Arzi et son équipe a été utilisée sur 66 sujets fumeurs, informe Top Santé. Parmi les mauvaises odeurs soumises aux participants pendant le sommeil se trouvait la fumée de cigarette.

Les meilleurs résultats ont été obtenus chez les sujets qui se situaient dans leur phase de sommeil lent et léger (phase 2). Dans les semaines suivantes, les fumeurs rapportaient une diminution de 30 % de la quantité de cigarettes fumées.

Dre Arzi justifie : « La plupart du temps, nous oublions le contenu de nos rêves, alors que le conditionnement qui entre dans notre subconscient durant la phase de “consolidation de la mémoire” peut persister ».

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Comment se débarrasser des tics nerveux de son enfant

Selon Top Santé, ces mouvements répétitifs qui nous agacent peuvent apparaître vers l’âge de 3 ou 4 ans. Vous ne devriez pas vous en inquiéter si ceux-ci ne perdurent pas au-delà de 10 ans.

Un tic est un geste involontaire. Souvent inconscient, il est lié à de l’inconfort ou de la tension, et ce petit mouvement brusque est libérateur pour l’enfant. La durée de ces tics ne doit cependant pas s’échelonner sur plus d’un an.

En tant que parent, vous devez être attentif dès les premiers signes d’un tic. Sans dramatiser, il faut néanmoins vous en occuper sans attendre. Un truc suggéré par le psychologue Harry Ifergan consiste à demander à votre enfant de vous confier chaque soir une chose positive et négative de sa journée. L’objectif est de l’écouter pour libérer ses tensions et diminuer son tic nerveux.

L’enfant se sent déjà « coupable et anxieux », selon Ifergan. Ainsi, il faut éviter les remontrances si votre enfant bâille ou renifle sans arrêt. Ce sont sans doute des tics, et il faut plutôt l’aider à communiquer ce qu’il ressent.

Changez-lui les idées, il doit libérer son esprit. Allez jouer avec lui, racontez-lui une histoire ou faites-le relaxer dans un bain.

Dans le doute, consultez votre pédiatre.

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Mauvaise économie et nutrition ne font pas bon ménage

Il appert que nos habitudes alimentaires pourraient varier en fonction de la santé économique du pays où l’on se trouve, lance Top Santé.

Selon des spécialistes basés à Miami, en Floride, une économie nationale laborieuse et une période de crise seraient des facteurs qui mèneraient les citoyens à se tourner vers une alimentation moins saine et plus grasse.

Est-il possible de manger ses émotions de façon collective? C’est un peu ce que propose l’étude américaine. Pour étayer cette théorie, les chercheurs de la Miami School of Business ont étudié les comportements de plusieurs sujets, divisés en deux groupes.

Le premier groupe a été placé devant une version de chocolats (une marque bien connue) auxquels on prêtait un apport calorique plus élevé. Le deuxième groupe a quant à lui été placé devant les mêmes chocolats, mais en version allégée, affirmait-on. Bien sûr, tous les chocolats étaient en fait les mêmes.

On a ensuite soumis les deux groupes à une série d’images, certaines alarmistes et inquiétantes, et d’autres plus neutres, moins négatives.

Résultats : 70 % plus de bonbons caloriques ont été dévorés lorsque les sujets étaient placés devant les images agressives et négatives.

On expliquerait ce comportement, outre par le stress, par le besoin inconscient de « se faire des réserves » en période de crise.

Les conclusions de cette étude légère sont parues dans le magazine Psychological Science.

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A-t-on réellement un 6e sens ?

Ce sixième sens en question nous permettrait de percevoir inconsciemment une réalité, une menace ou un danger.

L’expérience rapportée par le Current Biology montre que le sentiment de peur serait présent même s’il n’y a aucune menace consciente.

Deux visages de peur ont été montrés à 38 personnes ayant en moyenne 24 ans. Celles-ci ne voyaient les visages que d’un seul œil et parfois on leur donnait une petite décharge électrique au même moment. Mais la moitié du groupe pouvait voir des images distrayantes de leur autre œil en même temps.

Pour mesurer le sentiment de peur, les scientifiques ont mesuré la sueur au bout des doigts des participants. Le sentiment de peur était présent chaque fois qu’un des visages était montré et il se produisait la même chose avec les images distrayantes.

Ainsi, même en l’absence de décharge, donc en l’absence de menace consciente, le sentiment de peur demeurait présent. Seulement, il s’estompait plus rapidement chez les participants qui avaient aussi regardé des images plus distrayantes.

Cette découverte mène non seulement à une meilleure compréhension de nos réactions face aux dangers, mais pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements des stress post-traumatiques et des troubles anxieux.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Penser à l’exercice augmente l’appétit

Penser à des exercices physiques augmente l’appétit, selon une étude rapportée par MedicMagic.
 
Le problème est que si, en fin de compte, on ne bouge pas, nous allons manger plus et donc, éventuellement, prendre du poids.
 
Les chercheurs ont étudié trois groupes de volontaires. Un premier devait lire un scénario qui disait qu’ils courraient 30 minutes en écoutant de la musique. Le deuxième groupe avait une lecture de scénario décrivant une activité physique fatigante et le troisième groupe avait un scénario qui n’était aucunement relié à l’exercice.
 
Après la lecture, on leur a remis un goûter comportant de nombreux aliments sucrés. Les participants des deux premiers groupes ont consommé 51,9 % plus d’aliments que le troisième groupe dont le scénario n’avait rien à voir à l’exercice.

Ainsi, il est donc important de bouger réellement, sinon votre consommation calorique risque fort d’augmenter.