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Cinéma

Un producteur de 300 s’intéresse à une bande dessinée indienne

Un nouveau héros pourrait trouver ses assises en Inde au cinéma, rapporte Variety, alors que l’un des producteurs de la saga 300 s’intéresse à une bande dessinée indienne.

Le producteur Mark Canton serait en effet tenté de porter à l’écran la bande dessinée The Sadhu, qui raconte l’histoire d’un soldat britannique qui se voit récupéré et entraîné par un groupe d’Indiens appelés les Sadhus, au 19e siècle.

« De la même façon que la mythologie grecque a captivé l’imagination du public partout dans le monde, ce scénario fait une incursion dans la mythologie de l’Inde, à travers une aventure accessible et bourrée d’action », explique Mark Canton, visiblement enthousiaste.

Les droits de The Sadhu, qui pourrait devenir Warrior au cinéma, appartiennent à Graphic India, qui produirait le projet en collaboration avec la compagnie de Mark Canton, Atmosphere Entertainment.

Aucune date n’a encore été arrêtée pour entamer officiellement le projet.

300: Rise of an Empire a été lancé le 5 mars dernier.

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Un producteur de 300 s’intéresse à une bande dessinée indienne

Un nouveau héros pourrait trouver ses assises en Inde au cinéma, rapporte Variety, alors que l’un des producteurs de la saga 300 s’intéresse à une bande dessinée indienne.

Le producteur Mark Canton serait en effet tenté de porter à l’écran la bande dessinée The Sadhu, qui raconte l’histoire d’un soldat britannique qui se voit récupéré et entraîné par un groupe d’Indiens appelés les Sadhus, au 19e siècle.

« De la même façon que la mythologie grecque a captivé l’imagination du public partout dans le monde, ce scénario fait une incursion dans la mythologie de l’Inde, à travers une aventure accessible et bourrée d’action », explique Mark Canton, visiblement enthousiaste.

Les droits de The Sadhu, qui pourrait devenir Warrior au cinéma, appartiennent à Graphic India, qui produirait le projet en collaboration avec la compagnie de Mark Canton, Atmosphere Entertainment.

Aucune date n’a encore été arrêtée pour entamer officiellement le projet.

300: Rise of an Empire a été lancé le 5 mars dernier.

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Cinéma

Biz pourrait voir son dernier livre transposé au grand écran

Biz, auteur et membre de Loco Locass, pourrait voir sa plus récente œuvre littéraire être transposée au grand écran, si l’on se fie aux informations rapportées par le Journal de Québec.

Alors que le livre Mort-Terrain de Biz n’a été lancé qu’hier soir (19 février) dans la métropole, certains producteurs et artisans du cinéma auraient déjà démontré de l’intérêt pour en faire un film.

« Il y a un homme qui n’a même pas encore lu le livre, mais qui en a beaucoup entendu parler, qui est venu pour me proposer qu’on parle d’en faire un film. Quand j’écrivais le roman, je voyais les images dans ma tête. C’est quelque chose que j’aimerais beaucoup tenter », lance un Biz visiblement ravi et un brin surpris.

L’histoire de Mort-Terrain est celle d’un médecin, d’une compagnie minière et du monstre Wendigo, dont les histoires se réunissent dans un village du nord du Québec. Wendigo fait partie de la riche mythologie des Premières nations, et permet à Biz de toucher ainsi à l’horreur dans son œuvre.

« Si les gens s’attendent à du Stephen King, ils seront déçus. On entre dans la mythologie des Amérindiens. Ça parle du repositionnement des relations entre les Québécois et les Premières Nations », précise toutefois l’auteur.

Ne reste plus qu’à voir la réaction des lecteurs québécois pour ce nouvel ouvrage de la part de Biz, et l’intérêt prochain des producteurs locaux à en faire un film.

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Cinéma

Benicio Del Toro combat pour sa santé mentale dans Jimmy P.

CinemaBlend rapporte la parution en ligne de la première bande-annonce du film Jimmy P., Psychotherapy of a Plains Indian, qui met en vedette Benicio Del Toro.

Ce dernier incarne, comme le titre l’indique, un amérindien nommé James aux prises avec ce que l’on croit d’abord être de sévères troubles psychiatriques, ce que devra finalement évaluer un homme, George Devereux, aux visions modernes incarné par l’excellent Mathieu Amalric (Quantum of Solace).

Se basant sur une histoire que l’on dit vraie et sur les travaux de Devereux (1951), le film utilise la carte de la lenteur et de l’authenticité, ce qui semble bien lui servir. Sur fond de toile historique, Jimmy P., Psychotherapy of a Plains Indian pourrait surprendre.

Alternant entre les thèmes de la santé mentale, de la guerre, du syndrome post-traumatique et de l’histoire, le film réalisé par Arnaud Desplechin se veut par-dessus tout une ode à la compassion humaine, selon ce que l’on peut ressentir de la bande-annonce.

Jimmy P., Psychothreapy of a Plains Indian, nommé à Cannes pour la prestigieuse Palme D’Or, arrive en salles le 14 février prochain.

Voyez Benicio Del Toro et Mathieu Amalric dans Jimmy P..

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Cinéma

Le Musée Guimet fête à Paris cent ans de cinéma indien

Shyam Benegal, l’un des plus célèbres cinéastes et producteurs indiens, sera l’invité d’honneur du musée des Arts asiatiques Guimet de Paris, qui va célébrer cent ans de cinéma indien avec une programmation éclectique, des premiers films d’auteur aux superproductions de Bollywood.

Du 9 septembre au 30 octobre, 30 longs métrages, dont une vingtaine jamais projetés en France, proposant une immersion dans l’histoire du cinéma indien sont à l’affiche à l’occasion du dixième du festival annuel de cinéma du musée Guimet.

Parmi les raretés, seize minutes sauvegardées et restaurées du premier film sorti en 1913 de Dadasaheb Phalke considéré comme le « père du cinéma indien », mais aussi le premier film parlant chantant présenté à Venise en 1937, Sant Tukaram de V. Damle et S. Fathelal.

« Pour évoquer les cent ans du cinéma indien, nous avons sélectionné des films souvent inédits en France et représentatifs du cinéma indien pluriel, sans chercher à opposer le cinéma d’auteur et le cinéma populaire », a souligné à l’AFP Martine Armand, programmatrice du festival.

« Les cinéastes indiens se sont inspirés du cinéma occidental, mais ce qui est intéressant, c’est ce qu’ils en ont fait. Shyam Benegal, notre invité d’honneur, est un réalisateur indien emblématique qui a traversé plusieurs décennies de cinéma indien. À la fois auteur, réalisateur et producteur, il influence les nouvelles générations de réalisateurs indiens », a ajouté Mme Armand.

Vétéran du cinéma indien, auteur de plus de 70 longs métrages et documentaires, Shyam Benegal, 78 ans, préside la Fédération indienne des sociétés de films. Son dernier film, Well Done Abba, est sorti en 2010.

En marge des projections qui seront proposées dès le 9 septembre de façon chronologique, de 1913 à nos jours, des conférences, des concerts et des spectacles de danse sont également programmés (www.guimet.fr).

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Musique

Mick Jagger chante en sanskrit

Le sanskrit, ça vous dit quelque chose? Eh bien, nous non plus car cette langue indo-européenne, de la famille indo-aryenne, était jadis utilisée dans le sud de l’Inde et principalement au niveau culturel, par une élite sociale.

Cette langue qui a été notamment utilisée pour écrire des textes religieux a été empruntée par nul autre que Mick Jagger, le chanteur des Rolling Stones.
 
En effet, l’une des chansons à paraître sur le premier disque du nouveau groupe SuperHeavy, dont il est l’un des membres, sera interprétée en sanskrit.
 
C’est sur le 2e simple du groupe, Satyameva Jayate, que l’on entendra Jagger chanter dans cette langue.
 
Il y a fort à parier que c’est A. R. Rahman, l’un des membres de SuperHeavy et musicien originaire de l’Inde, qui a initié Jagger à ce dialecte.
 
L’idée d’utiliser le sanskrit provient de Dave Stewart, l’ancien membre des Eurythmics, qui s’est aussi joint à cette aventure. Il avait demandé à Rahman : « Nous voulons ta voix sur cet album… nous voulons aussi que ce soit une grande chanson indienne. » 
 
D’ailleurs, Rhaman a confié à Rolling Stone : « C’est également l’un de mes lointains rêves de présenter une des morales de la culture indienne, soit “Satyameva Jayate” (La Vérité triomphe seule), et d’en faire une chanson ».
 
En attendant l’album, qui paraîtra le 20 septembre prochain, vous pouvez écouter Satyameva Jayate, le nouveau simple de SuperHeavy.
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Avis de Santé Canada

Dans un communiqué publié hier (8 mai), Santé Canada tient à rappeler aux consommateurs que certains produits ayurvédiques non homologués peuvent contenir des traces de métaux lourds.

Consommés de façon excessive, ceux-ci peuvent entraîner des complications au niveau des organes, particulièrement chez les jeunes enfants. D’autres symptômes peuvent être observés, comme des douleurs abdominales, de l’anémie, une fluctuation de la tension artérielle, des problèmes de concentration, de l’insomnie et des étourdissements.

En mars 2008, le British Columbia Medical Journal publiait un article qui faisait part d’un cas d’intoxication grave chez un adulte qui avait pris un comprimé par jour du produit ayurvédique non homologué Puspadhanva Rasa pendant plusieurs années afin d’augmenter sa vigueur. Après analyse, les chercheurs avaient trouvé des concentrations extrêmement élevées de plomb, de mercure et d’arsenic dans le Puspadhanva Rasa.

Souvent importés de l’Inde, les produits ayurvédiques sont utilisés en médecine traditionnelle indienne. Ceux qui arborent un code d’identification du médicament (DIN) de huit chiffres, un code de produit naturel (NPN) ou un code de remède homéopathique (DIN-HM) ont été vérifiés par Santé Canada.