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Mode et accessoires

Aki Narula recherche de nouveaux talents indiens

(Relaxnews) – Lady Gaga porte les créations de la chapelière Little Shilpa et des célébrités comme Nicki Minaj et Katy Perry foulent le tapis rouge dans des créations Manish Arora. Cela ne fait aucun doute : le secteur indien de la mode frappe fort.

En ce début de fashion week Lakmé, événement mode majeur dans le pays, le créateur Aki Narula explique à Relaxnews que la tendance est partie pour durer.

Dans la culture indienne, on ne plaisante pas avec le style. Depuis le lancement de la fashion week Lakmé en 1999, le secteur de la mode n’a cessé de s’y renforcer. Pour sa treizième édition, cette semaine de la mode de Mumbai accueillera 86 créateurs, venus de tout le pays présenter leurs collections hivernales 2012.

Faire éclore des talents locaux : tel a toujours été le but premier de l’événement. Et pour cette nouvelle édition, le créateur et styliste de renom Aki Narula. Ses créations sont proposées chez Selfridges depuis son apparition à la fashion week Lakmé de 2000. La boutique servira de mentor aux élus du programme Gen Next.

« Il s’agit de ma quatrième saison en tant que mentor Gen Next à la fashion week Lakmé. Tout ce que j’ai accompli en tant que créateur et styliste, je le dois à la mode indienne. Être à mon tour le mentor des futures stars du pays est une expérience qui n’a pas de prix », déclare Aki Narula à Relaxnews, avant d’ajouter : « C’est ma façon à moi de rendre ce que l’on m’a donné »

Le programme Gen Next, qui invite les jeunes talents du pays à présenter leur première collection, fête son septième anniversaire.

Des créateurs tels qu’Aniket Satam (de Mumbai), Sneha Arora (de Kolkata) et Kavita Sharma (de Kanpur) figurent parmi ces débutants qui rendent Narula si fier.

En dehors du programme Gen Next, Narula cite Kallol Datta et Nimish Shah comme deux de ses créateurs indiens contemporains favoris, déclarant adorer les « couleurs et silhouettes » proposées par le second.

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Avis de Santé Canada

Dans un communiqué publié hier (8 mai), Santé Canada tient à rappeler aux consommateurs que certains produits ayurvédiques non homologués peuvent contenir des traces de métaux lourds.

Consommés de façon excessive, ceux-ci peuvent entraîner des complications au niveau des organes, particulièrement chez les jeunes enfants. D’autres symptômes peuvent être observés, comme des douleurs abdominales, de l’anémie, une fluctuation de la tension artérielle, des problèmes de concentration, de l’insomnie et des étourdissements.

En mars 2008, le British Columbia Medical Journal publiait un article qui faisait part d’un cas d’intoxication grave chez un adulte qui avait pris un comprimé par jour du produit ayurvédique non homologué Puspadhanva Rasa pendant plusieurs années afin d’augmenter sa vigueur. Après analyse, les chercheurs avaient trouvé des concentrations extrêmement élevées de plomb, de mercure et d’arsenic dans le Puspadhanva Rasa.

Souvent importés de l’Inde, les produits ayurvédiques sont utilisés en médecine traditionnelle indienne. Ceux qui arborent un code d’identification du médicament (DIN) de huit chiffres, un code de produit naturel (NPN) ou un code de remède homéopathique (DIN-HM) ont été vérifiés par Santé Canada.