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Une nouvelle méthode contraceptive qui protège aussi du VIH

Top Santé rapporte la mise à l’essai d’une nouvelle méthode de contraception féminine, capable non seulement de prévenir les grossesses, mais aussi de certaines infections transmissibles sexuellement comme le VIH.

Il s’agit d’un anneau féminin qui possèderait de multiples vertus protectrices, grâce à un principe de diffusion moléculaire des plus fascinants. Une fois installé, l’anneau relâcherait en effet deux types de molécules, le lévonorgestrel et le ténofovir, respectivement utilisés en contraception et dans la lutte au VIH.

On vante également la souplesse et la facilité d’utilisation de l’anneau, sans compter ses nombreuses applications possibles.

« Dans la communauté scientifique, tous ceux qui luttent pour la prévention du sida cherchent depuis longtemps à développer un anneau de ce type. Combiner l’effet contraceptif avec un effet protecteur contre les infections par le VIH serait un grand pas dans la prévention du sida dans les pays aux bas revenus », estime Rowena Johnson, la vice-présidente de la Fondation américaine contre le sida.

Les essais cliniques doivent maintenant se poursuivre, et on souhaite pouvoir commercialiser le produit au cours des cinq prochaines années.

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Deuxième bébé guéri du VIH : des spécialistes optimistes

Suite à l’annonce d’un deuxième bébé atteint du VIH traité avec succès, plusieurs spécialistes se montrent très optimistes pour la suite des choses en matière de lutte au SIDA, rapporte The National Library of Medicine.

Bien qu’on se garde de brûler les étapes et qu’on tienne à rester prudent, la communauté scientifique se réjouit de voir que les nouvelles méthodes de traitement du VIH chez les nouveaux nés commencent à porter ses fruits.

Les puissants médicaments antirétroviraux administrés aux bambins pourraient donc s’avérer un traitement concluant, après que plusieurs experts aient soulevé des inquiétudes par rapport à ces méthodes jugées agressives.

« On devra attendre les données des essais. On ne veut pas sauter aux conclusions et aller trop vite. Mais, les données montrent que lorsqu’on traite un bébé immédiatement, on peut en fait le guérir. Ça change la question de l’équation risque/bénéfice. Ça peut faire pencher les médecins vers une décision de traitement immédiat. », explique le Dr Anthony Fauci, directeur de la National Institute of Allergy and Infectious Diseases.

Le tout premier bébé officiellement guéri du VIH a maintenant trois ans, et se porte bien.

On estime à 1000 nouveaux nés par jour qui naissent avec le virus du VIH, à travers le monde. Ces deux cas de guérison pourraient donc paver la voie à l’éradication du virus à la naissance, mais seul l’avenir pourra confirmer cette théorie.

L’annonce de ce deuxième cas a été effectuée lors de la Conférence sur les rétrovirus et infections opportunistes, présentée à Boston.

 

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Winnipeg inaugure son nouveau centre de recherche en infectiologie

La ville de Winnipeg devient un véritable chef de file en matière de recherches en microbiologie et en infectiologie, rapporte Radio-Canada, avec l’ouverture d’un deuxième centre scientifique dans la capitale manitobaine.

Le nouveau centre inauguré à Winnipeg par l’Agence de la santé publique du Canada permettra d’effectuer des tests lors de situations jugées urgentes ou dangereuses, en plus de permettre des travaux avancés dans la recherche d’un traitement contre le sida, notamment.

Créé à la fine pointe des technologies actuelles et baptisé en hommage au Dr John Charles Wilt, le nouveau centre de recherche permet au Canada de concrétiser sa position dans le domaine des sciences et des recherches en infectiologie.

Les travaux s’étaient entamés au printemps 2011 et auront finalement duré près de trois ans.

Plusieurs spécialistes se réjouissent de la mise en place de ce deuxième important centre à Winnipeg, qui viendra appuyer le Laboratoire national en microbiologie, et qui pourrait permettre d’attirer d’éminents scientifiques et spécialistes au pays.

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Une nouvelle souche de l’E. Coli inquiète les spécialistes

The National Library of Medicine rapporte l’inquiétude de plusieurs spécialistes concernant la montée en flèche d’une virulente souche de la bactérie E. Coli, qui commence à poser de sérieuses menaces partout dans le monde.

On apprend d’ailleurs du même coup que cette souche de l’E. Coli, la H30-Rx, serait devenue au cours des dernières années la cause principale d’infection chez les femmes et les personnes âgées, et ce, de façon générale à travers la planète.

La H30-Rx serait résistante aux antibiotiques et aurait développé l’unique capacité de se répandre à travers le système urinaire et le sang, provoquant du même coup une infection extrêmement dangereuse.

« Avec la vaste présence de résistance aux antibiotiques démontrée par l’E. Coli, il devient plus difficile de traiter les infections, et cela mène à une hausse de mortalité. Cependant, la H30-Rx pourrait proposer des opportunités de vaccins ou de stratégie de prévention… », explique le Dr David Samadi, du Lenox Hill Hospital de New York.

Le Dr Samadi et ses homologues ont donc bon espoir de pouvoir remédier à la situation, même s’il reste encore beaucoup de travail à faire pour enrayer le phénomène.

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Infection néonatale de l’E. coli associée au TDAH

Jonathan Godbout, professeur en neuroscience à l’Ohio State University, a mené de front cette recherche avec ses collègues. Il a confié à Medical News Today : « Il est important de comprendre que lorsque le cerveau du nouveau-né est infecté, la fonction des cellules qui s’occupent du développement se modifie pour combattre l’infection ».

En d’autres termes, les cellules de développement abandonnent le cerveau. Cela crée une carence en fer, qui plutôt que d’être distribué également dans les tissus pour aider à former la matière grise, se retrouve stocké à l’intérieur d’une infime partie des cellules.

Cette carence cause une brèche dans la communication des cellules du cerveau avec le système nerveux central. Plus tard, les conséquences se transforment en troubles comportementaux, notamment le trouble de déficit d’attention avec hyperactivité, ainsi que des troubles de motricité.

Godbout a informé Medical News today des statistiques d’infection par l’E. coli chez les nouveau-nés. « L’E. coli est la cause principale d’infection chez le nourrisson. On estime le nombre d’enfants affectés entre 1 à 8 sur 1000 naissances. »

De plus, cette infection est plus fréquente chez les prématurés ou bébés qui ont un poids sous la normale, le nombre passant de 160 à 300 sur 1000 naissances.

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Les canneberges en prévention des infections

Santé Log rapporte une étude publiée par des chercheurs basés à l’Université McGill, à Montréal, qui traite d’un possible effet préventif des canneberges sur plusieurs types d’infection.

On parle notamment des infections urinaires et de type nosocomial, qui apparaissent notamment dans les centres hospitaliers à la suite de l’utilisation d’appareils médicaux.

L’équipe de chercheurs de McGill, qui publie ses conclusions dans le Canadian Journal of Microbiology, croit que la consommation de canneberges devrait être mise de l’avant chez plusieurs patients hospitalisés, car elles permettent véritablement une prévention efficace.

C’est d’ailleurs la même équipe de McGill qui avançait des propriétés concernant l’E. coli récemment. Cette recherche confirmerait donc leurs hypothèses et pourrait s’avérer une excellente nouvelle.

Encore faudra-t-il que l’on puisse créer une méthode efficace de traitement préventif à base de canneberges et de distribution pour tous les patients. 

anté Log rapporte une étude publiée par des chercheurs basés à l’Université McGill, à Montréal, qui traite d’un possible effet préventif des canneberges sur plusieurs types d’infection.

On parle notamment des infections urinaires et de type nosocomial, qui apparaissent notamment dans les centres hospitaliers à la suite de l’utilisation d’appareils médicaux.

L’équipe de chercheurs de McGill, qui publie ses conclusions dans le Canadian Journal of Microbiology, croit que la consommation de canneberges devrait être mise de l’avant chez plusieurs patients hospitalisés, car elles permettent véritablement une prévention efficace.

C’est d’ailleurs la même équipe de McGill qui avançait des propriétés concernant l’E. coli récemment. Cette recherche confirmerait donc leurs hypothèses et pourrait s’avérer une excellente nouvelle.

Encore faudra-t-il que l’on puisse créer une méthode efficace de traitement préventif à base de canneberges et de distribution pour tous les patients. 

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Des probiotiques en renfort des antibiotiques

Certains patients hospitalisés et placés sous antibiotiques auraient grandement bénéficié de l’ajout de probiotiques à leur régime alimentaire, rapporte le Medical News Today.

Ce sont des chercheurs du St. Michaels Hospital qui auraient fait cette étonnante découverte, après que l’un de ses membres (Dr Reena Pattani) ait décidé de tester une théorie qui semblait prendre de l’ampleur au sein de la communauté scientifique.

Cette théorie, c’est l’application des propriétés des probiotiques sur l’organisme, et notamment sur le système digestif, afin de lutter contre les effets secondaires indésirables découlant de la consommation d’antibiotiques.

La pire matérialisation de ces effets secondaires serait l’apparition de la bactérie C. Difficile, qui n’a plus besoin de présentation au Québec.

Pour le Dr Pattani et son équipe, les résultats sont clairs. Après avoir compilé des données sur le sujet en provenance d’un peu partout et conduit une série de tests, l’équipe de chercheurs conclut que les patients qui reçoivent des apports en probiotiques en plus de leurs traitements d’antibiotiques ont beaucoup plus de chances d’obtenir un résultat efficace, sans effets secondaires.

Pattani et son équipe veulent maintenant répéter l’expérience sur un plus gros bassin de patients et valider une fois pour toutes l’impact des probiotiques en prévention du C. Difficile, notamment.

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De plus en plus de cas d’infections transmissibles sexuellement sont observés

The National Library of Medicine rapporte que les statistiques concernant les cas de maladies et d’infections transmissibles sexuellement (ITS) sont encore en hausse et prennent des proportions alarmantes, selon plusieurs spécialistes.

C’est notamment le cas aux États-Unis, alors qu’un nouveau rapport publié dans le journal Sexually Transmitted Diseases fait état de la montée de ces problèmes de santé au sein de la population.

On estime maintenant à 110 millions le nombre d’Américains qui souffrent en ce moment de l’un ou l’autre de ces troubles reliés à la sexualité, un chiffre qui augmente si on ajoute les cas répertoriés au Canada.

De plus, cette explosion de cas d’ITS a des coûts. Aux États-Unis seulement, on fait état de 20 millions d’infections soignées, pour une facture globale de 16 milliards de dollars!

Et il ne faudrait pas croire que ceci ne s’applique qu’aux adolescents.

« Les infections transmissibles sexuellement forment un risque pour les personnes de tous âges qui sont sexuellement actives. Certaines sont même transmissibles par le simple contact de la peau », met en garde Kaitlin Doyle du Long Island Jewish Medical Center, qui s’inquiète de ces statistiques grimpantes.

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Comprendre l’impact du zinc sur la santé

De plus en plus de Nord-Américains consomment du zinc, que ce soit dans leur alimentation quotidienne ou par la prise de suppléments, apprend-on via le site de la National Library of Medicine.

Les spécialistes se penchent maintenant sur la question des impacts du zinc sur la santé, et une nouvelle étude qui vient de paraitre traite des effets potentiels du zinc sur les infections.

Plusieurs personnes en consomment d’ailleurs pour contrer les grippes et autres problèmes similaires, et l’étude menée par Daren Knoell de l’Université d’État d’Ohio semble approuver ce comportement. Pour l’équipe de Knoell, le zinc permet en effet d’améliorer le système immunitaire et, par conséquent, ses réponses.

« Nous croyons que nos découvertes vont aider à améliorer la compréhension des effets de ce métal plutôt banal sur notre système de défense, notamment face aux infections », déclare le chercheur.

Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de constater que le zinc se retrouve entre autres dans la viande rouge et la volaille, pourtant décriées par plusieurs nutritionnistes.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, puisque le zinc semble prometteur à bien des égards.

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Une solution pour contrer les infections en centre hospitalier

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, mais elle s’applique autant sinon plus à notre réalité québécoise.

Une étude américaine lance une suggestion pour contrer les hausses d’infections contractées en centre hospitalier, un phénomène que l’on connait bien ici avec l’éclosion du C. difficile.

Pour les chercheurs du Hunter Holmes McGuire Veterans Affairs Medical Center, un simple bain d’antiseptique pourrait régler une bonne partie du problème. Oui, un bain.

En utilisant des antiseptiques et des serviettes spéciales, il serait possible de « désinfecter » les patients sur une base quotidienne et ainsi éviter qu’ils ne développent d’autres problèmes de santé en plus de ceux qu’ils ont déjà.

À ceux qui diront que cette pratique pourrait s’avérer coûteuse et fastidieuse, on répond qu’aux États-Unis, en moyenne, le coût d’un patient qui doit être traité pour ce genre d’infection contractée en hôpital est de 40 000 $.

À vous de juger si l’idée est bonne ou non, mais dans des régions du monde comme le Québec, où l’éclosion de ces bactéries et infections est devenue un véritable fléau, il est impératif de trouver des solutions… et vite.