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Des probiotiques pour renforcer les défenses immunitaires

Chaque année au Québec, de 2000 à 2500 personnes sont hospitalisées en raison d’une gastro-entérite, et la majorité de ces malades ont moins de cinq ans.
 
Une bonne façon de stimuler le système immunitaire pour faire face aux infections comme les gastro-entérites, le rhume ou la grippe est de consommer tous les jours des probiotiques.
 
Par exemple, les produits Bio-K+ sont fabriqués au Québec et faits à 100 % de probiotiques naturels qui aident à rééquilibrer la flore intestinale, stimulant ainsi les défenses immunitaires.
 
De plus, ils aident à réduire les symptômes du syndrome du côlon irritable et régularisent le transit intestinal.
 
Ils sont également efficaces pour lutter contre la constipation.
 
Souvent, les médecins les recommandent pour contrer certains effets secondaires causés par les antibiotiques, comme la diarrhée ou le C. difficile.
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Les infections de la bouche par le VPH plus fréquente chez les hommes

Selon le Journal of the American Medical Association, les hommes sont trois fois plus nombreux que les femmes à souffrir d’une infection de la cavité buccale du virus du papillome humain (VPH), dont par une souche particulièrement cancérigène.
 
Chez les hommes, la prévalence de ce type d’infection est de 10,1 %, alors que chez les femmes, elle est de 3,6 %, selon les données recueillies auprès de 5579 personnes âgées de 14 à 69 ans en 2009 et 2010.
 
C’est chez les 60-64 ans que la prévalence du VPH est plus élevée, soit 11,4 %, comparativement à 7,3 % chez les 30-34 ans.
 
La maladie touche surtout les gens sexuellement actifs, et le risque d’infection augmente non seulement avec le nombre de partenaires sexuels, mais aussi avec l’âge.
 
Le VPH peut favoriser l’apparition de cancers. « L’infection orale par le VPH est la cause de cancers de la bouche et du pharynx. Au moins 90 % d’entre eux sont provoqués par la souche la plus cancérigène de ce virus. L’incidence de ces cancers a augmenté ces trois dernières décennies dans plusieurs pays, et l’infection par le VPH en a été la cause principale », expliquent les chercheurs.
 
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Une mauvaise santé dentaire n’aide pas au bon rendement scolaire

Publiée récemment, une nouvelle étude du Surgeon General a examiné la relation entre la réussite scolaire et la santé buccodentaire.

Les chercheurs ont regardé le nombre de jours d’école manqués en raison des heures des rendez-vous pour la routine des besoins dentaires, de même que le nombre d’absences à l’école qui sont provoquées par une douleur dentaire ou une infection.

Il semblerait que les enfants ayant une mauvaise santé buccodentaire sont environ 3 fois plus susceptibles de manquer l’école en raison de douleurs dentaires.

Plus important encore, les absences causées par des douleurs dentaires ou de l’infection ont été associées à un piètre rendement scolaire, comparativement à celui des enfants dont les absences étaient pour des soins dentaires de routine.

Ces résultats deviennent plus graves en considération d’autres facteurs. Aux États-Unis, 1 personne sur 2 est maintenant classée comme à revenu faible ou pauvre. L’éducation a longtemps été considérée comme un moyen de briser le cycle de la pauvreté, mais ces données combinées prédisent un avenir sombre pour les enfants vivant dans la pauvreté.

Si vous avez des problèmes dentaires, vous ne pouvez pas apprendre, et si vous ne pouvez pas apprendre, vous risquez fortement d’être pauvre.

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Une souche très rare du VIH inquiète

Le professeur François Simon de l’Hôpital Saint-Louis, à Paris, affirme avoir identifié la souche N du VIH dans le sang d’un Français qui aurait été infecté au Togo.
 
Si les informations se confirment, cela montre non seulement que cette souche très rare de la maladie a franchi des frontières, mais elle devient très inquiétante en raison des symptômes sévères provoqués et de la chute du système immunitaire observé chez le patient.
 
Selon The Lancet, pour le moment, la combinaison des cinq médicaments antiviraux contre le VIH a donné de bons résultats de départ, mais l’homme demeure sous étroite surveillance à long terme.
 
Il existe deux types de VIH, le VIH-1, le plus courant, et le VIH-2, qui est très rare. Le VIH-1 est divisé en différents groupes : celui de la souche M qui est le plus répandu, mais aussi des souches O et N très rares. Depuis 2009, on a ajouté la souche P également.
 
Sur les 12 000 cas de VIH dépistés au Cameroun, on notait 12 cas de VIH-1de la souche N. Si l’homme infecté a réellement la souche N, cela démontrera que cette souche se répand maintenant en dehors des frontières du pays.

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Mâcher de la gomme pour prévenir l’otite

Mâcher de la gomme réduirait les risques d’otite moyenne aiguë chez les enfants, donc leur prise d’antibiotiques, apprend-on dans Cochrane Library. Les enfants qui mâchent de la gomme comprenant du xylitol courraient 25 % moins de risques de développer une infection de l’oreille.

Des chercheurs de l’Université de Toronto ont confirmé cette hypothèse, déjà avancée précédemment, en faisant mâcher de la gomme à des enfants plusieurs fois par jour. Il s’agissait de deux morceaux de gomme, cinq fois par jour après le repas, durant deux à trois mois.

Ce n’est pas la première fois que l’on accorde cette propriété au xylitol. Cette substance est reconnue pour inhiber la croissance des bactéries. Elle a d’ailleurs été recommandée par plusieurs dentistes pour prévenir la carie dentaire.

Quant aux chercheurs de la présente étude, ils ne conseillent pas hors de tout doute de mâcher de la gomme avec xylitol pour éviter les infections de l’oreille. D’autres recherches sont nécessaires avant de s’avancer.

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Le cytomégalovirus, savoir ou pas?

Le cytomégalovirus, que l’on détecte durant la grossesse, engendre des infections qui passent la plupart du temps inaperçues. En général, il s’attaque en particulier aux personnes qui ont un système immunitaire faible.

Or, on lit dans Pediatrics que 85 % des parents le détectent chez leur nouveau-né. Pourtant, ce test ne fait pas partie de ceux que l’on administre de routine. C’est la première fois que l’on s’attarde aux habitudes de dépistage dans la population en général.

Chaque année, 30 000 enfants naissent avec le cytomégalovirus chaque année aux États-Unis. Sur ce nombre, un sur cinq développera un handicap. Dans la plupart des cas, il s’agit d’une perte auditive neurologique, ou encore d’un retard intellectuel.

Malgré tout, la grande majorité des bébés infectés par ce virus ne comportent pas de symptômes à la naissance. Les symptômes pouvant l’indiquer consistent en la jaunisse ou le sous-développement intra-utérin.

Ainsi, la plupart des anomalies congénitales passent inaperçues jusqu’à l’apparition de problèmes graves, donc trop tard pour un test de diagnostic. Celui-ci doit être effectué durant la deuxième ou la troisième semaine de vie.

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Risques d’infections sérieuses avec les pédicures de poissons

De plus en plus à la mode, les pédicures de poissons ne sont pourtant pas sans risque. En effet, le Daily Mail mentionne qu’elles pourraient transmettre le VIH et l’hépatite C.
 
Les personnes diabétiques, celles aux prises avec le psoriasis ou celles ayant un système immunitaire affaibli sont les plus vulnérables aux infections.
 
Ce type de pédicure consiste à plonger ses pieds dans l’eau pendant que des petits poissons enlèvent les peaux mortes.
 
Les infections pourraient provenir des aquariums des poissons qui possèdent des micro-organismes, et la transmission des bactéries pourrait provenir de la pédicure elle-même, si l’eau n’est pas changée entre les clients.
 
Si une personne infectée par le VIH ou l’hépatite C saigne durant le traitement, elle pourrait contaminer d’autres gens.
 
Bien que les risques soient minimes, il est impossible de les écarter à 100 %, l’objet principal de la pédicure ne pouvant être stérilisé.
 
On recommande de changer l’eau après chaque client. Les personnes devraient examiner leurs pieds avant de se rendre au spa afin de s’assurer qu’elles n’ont pas de blessures ou d’affections cutanées infectieuses.
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Trop d’alcool rend vulnérable aux infections

Une équipe de la Massachusetts Medical School de Worcester, aux États-Unis, a découvert que boire de trop grandes quantités d’alcool affecte le système immunitaire, rendant donc la personne plus vulnérable aux infections virales, comme le VIH.
 
Les chercheurs ont exposé des globules blancs à des substances chimiques qui imitent les virus et bactéries. 50 % de ces globules avaient été fortement exposés à l’alcool, soit l’équivalent d’une consommation de quatre ou cinq verres par jour.
 
Les globules « alcooliques » avaient moins de force pour lutter contre les virus, et face aux bactéries, les résultats étaient encore plus catastrophiques.
 
Par conséquent, cela confirme également que boire trop rend l’organisme plus vulnérable au cancer, alors que l’alcool est reconnu comme étant un facteur de risque important dans le développement de différentes formes de cancer.
 
Une fois de plus, on apporte la preuve que la modération est le meilleur choix qui s’impose.

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Une innovation pour réduire la mort infantile

Les preuves semblent concluantes quant à l’efficacité du moniteur Heart Rate Observation System (HeRo®), lequel représente une innovation majeure dans le suivi des enfants nés prématurément.

Il permet de détecter les premiers signes de détresse chez le bébé, lesquels sous-entendent très souvent une maladie grave ou une infection.

Une étude longitudinale ayant porté sur plus de 3 000 bébés prématurés a démontré que d’être suivi avec le HeRo® réduisait les décès de plus de 20 %. Cela revient à garder en vie 1 enfant sur 48, parmi ceux qui sont suivis.

En résumé, ce moniteur fournit chaque heure un relevé numérique qui note les données anormales quant au battement cardiaque du jeune patient. On reconnaît donc un nouvel outil dans le diagnostic et dans la prise de décisions médicales.

Les résultats complets portant sur les nouvelles données du moniteur HeRo® sont parus récemment dans le Journal of Pediatrics.

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L’huile de coriandre pour combattre les superbactéries

Le Journal of Medical Microbiology nous apprend que l’huile de coriandre pourrait être très efficace pour combattre de nombreuses bactéries résistantes aux antibiotiques, dont certaines sont mortelles.
 
Les chercheurs ont constaté qu’une solution de 1,6 % d’huile de coriandre pouvait aider à freiner la croissance des bactéries et même les tuer.
 
En fait, cela attaque la membrane externe des cellules bactériennes. Il s’agirait d’une option très efficace contre la salmonelle, la bactérie E. coli et les infections nosocomiales notamment.
 
Cette découverte pourrait grandement améliorer la qualité de vie de nombreuses personnes qui souffrent aussi de maladies alimentaires chaque année.
 
La coriandre est utilisée depuis des lustres comme plante médicinale et elle est très présente dans les cuisines méditerranéenne et asiatique.