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Danger avec les désinfectants pour les mains

Beaucoup de gens croient à tort que les désinfectants pour les mains remplacent efficacement le lavage avec de l’eau et du savon.

Mais selon le MedicalNewsToday, ces désinfectants augmentent plutôt le risque d’infection virale qui cause une inflammation du système digestif.

Bien que les désinfectants pour les mains soient plus pratiques, ils ne sont jamais aussi efficaces que de l’eau et du savon. Ils ne devraient être utilisés que dans les cas « d’urgence ».

De plus, leur usage irrationnel, de même que l’usage excessif des antibiotiques, nous rendent moins résistants aux germes.

Les désinfectants pour les mains augmentent les risques d‘infection de type gastro-entérites qui sont facilement transmissibles. Elles causent des diarrhées, nausées et douleurs abdominales et ont été observées en plus grand nombre dans les centres où on utilisait surtout les désinfectants à main plutôt que l’eau et le savon.

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L’hygiène des mains à l’école

Se laver les mains demeure une excellente prévention contre la propagation des maladies. On lit dans l’American Journal of Infection Control qu’une meilleure connaissance de cette forme d’hygiène a un impact majeur sur la transmission des infections à l’école primaire.

Des programmes scolaires apprenant aux écoliers comment bien laver leurs mains en viendraient même à faire baisser le taux d’absentéisme. Cela a été démontré dans plus d’une étude.

Le taux d’absentéisme peut donc chuter de 66 % à la suite de l’implantation d’un tel programme, et le nombre d’enfants ne manquant pas du tout l’école durant l’année grimperait jusqu’à 20 %.

On explique finalement que les effets positifs du lavage des mains chez les enfants d’âge scolaire sont aussi importants que ceux observés chez des travailleurs du milieu de la santé, entre autres.

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Un vaccin contre l’hépatite C ?

Nous pourrions éventuellement avoir un premier vaccin contre l’hépatite C, maladie qui conduit bien souvent à des insuffisances hépatiques et des cancers du foie.
 
Selon le Science Translational Medicine, des chercheurs européens du CNRS et de l’Inserm ont élaboré une nouvelle stratégie dans le développement d’un vaccin.
 
Non seulement cela permettrait un vaccin contre l’hépatite C, mais aussi à l’avenir des vaccins contre d’autres infections, notamment le VIH et la dengue.
 
Leur technique consiste à utiliser des pseudo-particules virales qui sont identiques aux particules virales, exception faite qu’elles ne sont pas dangereuses.
 
Des souris et des macaques qui ont reçu ce type de vaccin ont développé des anticorps capables de neutraliser l’hépatite C, ce qui permet de grands espoirs.
 
« Ces résultats sont importants pour la mise au point d’un vaccin préventif contre le virus de l’hépatite C. Plus généralement, ils sont applicables au développement de stratégies similaires pour des vaccins contre d’autres infections, comme le VIH, la dengue, le Virus respiratoire syncytial (RSV) », concluent les chercheurs.
 
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La bronchiolite aggravée par la fumée du tabac

Il n’est pas surprenant de constater que cette maladie infantile, infection importante des poumons, soit aggravée de façon significative par l’exposition à la fumée du tabac. Medical News Today rapporte les résultats d’une étude effectuée par l’Université de Liverpool.
 
La recherche a été menée auprès d’enfants de Liverpool étant admis à l’Hôpital pour enfants Alder Hey avec un diagnostic de bronchiolite. La démographie socio-économique de Liverpool comprend de nombreux secteurs malfamés et certains où la consommation des produits du tabac est très élevée. Néanmoins, les secteurs de pauvreté ne sont pas les seuls où les fumeurs se retrouvent en forte concentration.
 
Ainsi, les enfants provenant de ménages fumeurs, sans égard au statut social, ont subi beaucoup plus de complications reliées à la maladie. Ces nourrissons nécessitent une thérapie par oxygénation et sont 5 fois plus enclins à subir l’assistance d’une ventilation mécanique.
 
Le docteur Calum Semple, de l’Institut de santé pour enfants, confirme la donne : « L’exposition à la fumée du tabac est un facteur qui peut être prévenu, d’autant plus que non seulement il augmente la sévérité de la maladie, mais il peut aussi la causer, tout simplement. »
 
Pour les spécialistes de Liverpool, cette recherche apporte la première évidence probante que les problèmes de santé des nourrissons ne sont pas nécessairement associés aux conditions sanitaires des familles démunies.
 
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Des antiviraux réduisent les risques d’infection au VIH

Deux études menées en Afrique sur des personnes hétérosexuelles démontrent que la prise quotidienne d’antiviraux réduit considérablement les risques d’infection au VIH.
 
Cela avait été démontré sur les homosexuels, mais il restait à voir si c’était aussi le cas chez les hétérosexuels.
 
La première étude des Centers for Disease Control and Prevention aux États-Unis, effectuée sur 1 200 personnes non infectées au Botswana, montre qu’un comprimé de ténofovir/emtricitabine, une fois par jour, réduit les risques d’infection de 63 %, comparativement au groupe qui a reçu un placebo.
 
Pour la deuxième étude de l’Université de Washington, qui a suivi 4 758 couples hétérosexuels dont un des conjoints était infecté, au Kenya et en Ouganda, la prise seule de ténofovir réduit les risques de 62 %, mais avec l’emtricitabine, les risques chutent de 73 % comparé au groupe avec placebo.
 
« Cette percée scientifique majeure reconfirme le rôle essentiel que le traitement antirétroviral doit jouer dans la réponse au sida. Ces études peuvent nous aider à franchir un seuil dans la réponse à l’épidémie », dit Michel Sidibé.
 
Il est donc clair maintenant que la prise d’antiviraux en prévention est tout indiquée et jumelée à l’utilisation de préservatifs, c’est encore plus efficace.

 

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Le système immunitaire affaibli par certains aliments

Plusieurs facteurs peuvent influencer les fonctions du système immunitaire, comme le stress, le manque de sommeil, le tabagisme, les habitudes alimentaires, l’exercice et d’autres conditions médicales.
 
Cependant, saviez-vous que certains aliments peuvent endommager votre système immunitaire, qui devient alors moins efficace pour vous protéger contre les infections et les maladies?
 
Selon Livestrong, la viande rouge, qui augmente le cholestérol et les risques de diabète de type 2, est un ce des aliments. Ces maladies découlent d’un affaiblissement des défenses naturelles du corps.
 
La margarine et le beurre contiennent des gras trans qui, eux, endommagent le cœur et le système immunitaire. Même chose pour les produits laitiers à forte teneur en matières grasses.

Une consommation trop élevée de sucre est également à proscrire si vous souhaitez avoir un système immunitaire fort et efficace.

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Georges Michael ne chantera pas aux côtés d’Alicia Keys

Georges Michael a été frappé par une douleur aiguë aux dents. Il s’agit d’une infection de la mâchoire inférieure contractée le week-end dernier.

Malheureusement, comme l’artiste le craignait, son infection l’empêchera de chanter aux côtés d’Alicia Keys durant l’événement consacré à l’organisme Keep A Child Alive qui amasse des fonds pour améliorer la qualité de vie des familles affectées par la maladie du sida.

Selon Female First, Georges Michael déclare sur sa page Twitter qu’il a la moitié du visage comme « un ballon de football poilu ». On comprendra qu’il ne pouvait se présenter ainsi au bras des vedettes britanniques Tini Tempah et Paloma Faith à la soirée tenue à Londres.

À voir la gravité de l’infection, Georges Michael se doutait déjà qu’il ne s’en remettrait pas à temps, bien qu’il l’espérait sincèrement. « Ce serait terrible si je laissais tomber cette œuvre de charité et Alicia Keys », mentionnait-il en début de semaine.

Aucune information supplémentaire n’a été divulguée quant à l’affection particulière dont Georges Michael est victime, pas plus qu’il n’est indiqué si son état de santé s’améliore.

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Les antirétroviraux pourraient aider à diminuer le risque de transmission du VIH

Des essais cliniques menés aux États-Unis par les National Institutes of Health (NIH) démontrent que les personnes séropositives qui prennent des antirétroviraux plus rapidement ont moins de chances de transmettre le VIH à leur partenaire séronégatif. En fait, les risques seraient réduits de 96 %, selon les NIH.
 
« Cet essai clinique montre de façon convaincante que traiter des séropositifs avec des antirétroviraux au plus tôt peut avoir un impact majeur pour réduire la transmission du VIH », affirme le Dr Anthony Fauci des NIH.
 
1 760 couples ont participé à cette recherche.
 
Récemment, en Afrique, on a interrompu une étude clinique sur le comprimé Truvada contre le VIH/sida, faute de résultats concluants.
 
Pourtant, l’automne dernier, avec ce même médicament testé auprès d’hommes homosexuels, on avait noté une baisse de 44 % du risque de nouvelle infection et jusqu’à 73 % moins de risques chez ceux qui prenaient le médicament le plus assidument.
 
Cette fois, auprès des femmes, les résultats étaient totalement différents et on ignore pourquoi.
 
Rappelons que 65 000 personnes au Canada sont séropositives.
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Obésité et grossesse : risques d’infection

Comme nous l’apprenons sur Sciences Daily, une étude présentée par les Pediatric Academic Societies fait état d’autres risques encourus par une femme obèse quand elle est enceinte.

Nous connaissions déjà les risques pour la santé même de la femme, mais nous voyons maintenant qu’elle serait moins encline à combattre des infections. On a notamment parlé de chorioamniotite, ce qui comprend des infections du liquide amniotique et des membranes autour du fœtus.
 
L’étude en question comprenait un peu plus de 30 femmes. La moitié d’entre elles étaient obèses, c’est-à-dire qu’elles accusaient un indice de masse corporelle (IMC) de plus de 30. Les autres avaient un IMC situé entre 20 et 25.
 
Au regard des résultats, il semble que les femmes souffrant d’obésité produisaient moins de cellules pouvant combattre les infections. Ainsi, les risques encourus durant la grossesse sont plus grands pour ces dernières.

On s’attend à ce que les recherches se poursuivent à ce sujet.

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Transmission mère-enfant : nouvelles données

De nouvelles données ont été présentées dans Hepatology quant à la transmission de l’hépatite C et du VIH. Un gène influencerait le combat de la transmission à l’enfant, lequel se nomme le IL28B.

En effet, le rejet spontané de l’hépatite C par le bébé serait dû à ce gène IL28B. On a par ailleurs constaté que les facteurs de risque d’une possible transmission auraient tout à voir avec la coexistence de l’hépatite C et du VIH.
 
Des recherches précédentes avaient tenté d’établir des liens entre la transmission de l’hépatite et la façon de nourrir l’enfant (allaitement ou non) ainsi que la méthode d’accouchement (vaginale ou par césarienne), par exemple. Les résultats avaient toutefois été variés, voire contradictoires.

Toutes les données possibles doivent être prises en compte quant à l’épidémie d’hépatite C et du sida. En ce moment, 170 millions de personnes sont infectées de l’hépatite C dans le monde. De 10 à 15 % des cas se soldent par une cirrhose ou un cancer du foie.