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Les régimes rapides augmenteraient le risque d’infections

Certains régimes rapides tels que le 5:2 sont efficaces pour la perte de poids, mais le sont moins en matière de maladies. Ces régimes affaiblissent le système et rendent les gens plus enclins à attraper des infections.

Pendant un an, des chercheurs de l’Université de Bath, en Angleterre, ont testé des régimes puissants sur des mouches drosophiles et se sont aperçus que les régimes faisaient grimper les risques d’infection de 20 %. Cependant,  l’espérance de vie était allongée de 14 % chez les drosophiles en cas de maladie fongique (liée à un champignon).

« Les gènes activés chez ces insectes en cas de maladie fongique seraient similaires aux gènes activés chez les personnes qui suivent un régime », explique-t-on sur Top Santé.

Dans le Daily Mail, le Dr Nick Priest, conférencier en biologie et en biochimie à l’Université de Bath, démontre légèrement sa confusion face à la situation paradoxale. « Perdre du poids et vivre plus longtemps et s’exposer à des infections ou ne pas suivre de régime… » est la question que se pose le scientifique qui se dit que « certains régimes ont des avantages, mais nous ne devons pas oublier leurs effets secondaires ».

L’étude publiée dans la revue scientifique Evolution décrit le régime 5:2 comme étant un moyen à la mode de passer deux jours à se « détoxiquer » et 5 jours à manger de façon équilibrée par semaine.

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Les allergies alimentaires et l’eczéma en hausse chez les enfants

Les Centers for Disease Control and Prevention ont fait une mise à jour des données compilées entre 1997 et 1999, qui indiquaient que 3,4 % des jeunes étaient aux prises avec de l’eczéma ou des allergies alimentaires. Entre 2009 et 2011, c’est 5,1 % des enfants qui se retrouvent dans cette situation.

En ce qui a trait à l’eczéma, les données ont grimpé de 5 %, passant de 7,4 à 12,5 % dans le dernier rapport. Fort heureusement, pour les troubles respiratoires, notamment l’asthme et le rhume des foins, les résultats n’ont présenté aucune hausse des cas recensés.

My Health News Daily rapporte que les causes sont encore indéterminées, selon LaJeana Howie, responsable de l’étude. Cependant, on suggère que les enfants doivent être exposés à différents germes ou infections dans leur petite enfance, ce que la société moderne élimine avec ses normes « trop hygiéniques ».

Il serait tout indiqué, donc, que l’on diminue un peu cette frénésie hygiénique. Celle-ci nous prive de l’exposition naturelle aux germes présents dans notre environnement. Depuis la grippe H1N1, les lieux publics, tout comme nos maisons, se sont transformés en endroits stérilisés.

Prenons conscience que ces mesures affaiblissent nos défenses immunitaires naturelles.

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Infections et stress liés à la schizophrénie

Un article publié dans le journal Science, nous apprend que les comportementalistes de l’ETH de Zurich ont découvert ce lien en effectuant des études sur des souris.

La grippe et la toxoplasmose ainsi que le stress durant la puberté ont longtemps été pointés du doigt pour expliquer le développement de cette maladie, qui atteint environ 1 % de la population.

Le groupe de chercheurs mené par le Dr. Urs Meyer ont maintenant établi la preuve que la combinaison de deux de ces facteurs, parmi d’autres, notamment, semble être le déclencheur réel de cette maladie mentale.

Ainsi, une femme enceinte qui sera atteinte du virus de l’influenza à l’intérieur de la première moitié de sa grossesse ne représentera qu’une des variables de l’équation. Néanmoins, si à l’adolescence, le jeune souffre d’un stress aigu, il déclenchera la réaction en chaîne amorcée à priori par cette infection prénatale. C’est à ce moment que le risque de développer de la schizophrénie sera très accru.

Malgré le traitement de certains de ses symptômes par la médication, la maladie elle-même est incurable. Cette recherche apporte néanmoins l’espoir de trouver des moyens préventifs pour les gens à haut risque de développer la schizophrénie.

« Il est important que les femmes enceintes ne paniquent pas à la lecture de cette nouvelle, précisent les chercheurs. Tous les enfants vivent du stress pendant la puberté, que ce soit à la maison ou à l’école. Et les femmes enceintes peuvent souvent attraper un rhume ou une quelconque infection. Cela ne condamne pas forcément l’enfant à développer la schizophrénie. Les facteurs aggravants doivent se produire dans une période bien spécifique. »

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Les infections respiratoires plus communes en ville

L’étude, publiée dans le Journal of Infectious Diseases, stipule que les enfants qui vivent en ville ont différents modèles de maladies respiratoires virales que les enfants qui vivent en banlieue n’ont pas.

De précédentes recherches avaient mené à la conclusion que les maladies respiratoires virales favorisaient le développement de l’asthme.

De plus, on savait déjà que certains enfants atteints d’infections à rhinovirus humains étaient plus susceptibles d’être asthmatiques à l’âge de six ans que ceux atteints d’infections à virus respiratoire syncytial.

Durant l’étude, les enfants qui vivaient dans les centres urbains avaient un plus haut taux d’infections à rhinovirus humains et d’infections à virus respiratoire syncytial que les enfants de la banlieue.

Les chercheurs ont l’intention de suivre les enfants du centre-ville encore dix ans pour déterminer si un certain autre type de virus, l’adénovirus, est associé à l’augmentation du taux de l’asthme et diminue les fonctions des poumons.

Rappelons que les enfants ayant souffert de la bronchiolite du nourrisson, qui a des répercussions directes sur le système immunitaire, risquent de devenir asthmatiques dans les années suivantes.

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Plus de risques d’infections après une césarienne

 

 

En fait, l’étude démontre que 9,6 % des femmes ayant subi une césarienne ont souffert d’infections reliées à la manoeuvre médicale par rapport à 6,6 % chez les femmes ayant subi une hystérectomie.

Les experts s’inquiètent, puisque plus d’une naissance sur quatre entraîne une césarienne. De plus, le fait d’être âgée de moins de 20 ans, d’avoir un surplus de poids et d’être opérée par un jeune médecin augmente les risques.

Toutefois, la plupart de ces infections ne sont pas très graves tandis que seulement 7 % d’entre elles ont nécessité un séjour prolongé à l’hôpital.

L’auteure principale de la recherche, Dr. Catherine Wloch, croit que ces infections, même si elles sont mineures, représentent un fardeau pour le système de santé.

« Les femmes qui développent des infections postnatales sont plus susceptibles de se sentir moins capables de s’occuper de leur bébé et prendront plus de temps à se remettre sur pied après la naissance », ajoute Gail Johnson, duRoyal College of Midwives.

Rappelons que les enfants dont la mère a eu une césarienne sont également plus susceptibles de devenir obèses et de souffrir d’asthme.

 

 

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Les femmes sont les plus touchées par le sida dans le monde

(WASHINGTON-AFP) – Les femmes sont largement plus touchées que les hommes par le sida dans le monde et sont les plus vulnérables au virus, ont déploré des experts lors de la 19e conférence internationale sur l’épidémie, appelant à des actions audacieuses pour y remédier.

À l’échelle du globe, les taux d’infection chez les jeunes femmes de 15 à 24 ans sont deux fois plus élevés que chez les hommes du même âge, selon les dernières statistiques de l’Onusida publiées la semaine dernière. 63 % de tous les jeunes adultes de cette catégorie d’âge vivant avec le virus sont des femmes.

L’ONU estime par ailleurs que 1,2 million de femmes et de jeunes filles ont été infectées en 2011, la plus grande partie dans les pays en développement et à revenu intermédiaire.

L’infection par le VIH est aussi la principale cause de mortalité chez les femmes en âge de procréer.

« Nous ne pouvons même pas commencer à parler de mettre fin au sida alors qu’une aussi grande partie de l’impact de l’épidémie de VIH-sida continue à affecter aussi lourdement les femmes », a estimé la Dre Diane Havlir, professeure de médecine à l’Université de Californie à San Francisco, coprésidente de la 19e Conférence internationale sur le sida.

Généralement, les femmes ont un plus grand risque de transmission du VIH que les hommes lors de rapports hétérosexuels sans préservatif, soulignent les experts.

Dans de nombreux pays, elles ne sont pas en mesure d’exiger que leur partenaire utilise un préservatif et elles sont aussi plus souvent victimes de rapports sexuels forcés.

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Les chiens protègeraient les bébés de certaines infections

(WASHINGTON-AFP) – Les bébés ayant un contact avec des chiens de compagnie attrapent moins d’infections de l’oreille et d’affections respiratoires que ceux dont les domiciles n’abritent aucun animal, conclut une étude américaine publiée lundi (9 juillet).

L’étude, parue dans la revue américaine Pediatrics, ne dit pas pourquoi, mais suggère que vivre au contact d’un chien qui passe au moins une partie de sa journée à l’extérieur pourrait renforcer le système immunitaire d’un enfant dans la première année de sa vie.

Les chats, également, semblent apporter une certaine protection aux bébés, bien que l’effet observé ait été plus faible qu’avec les chiens.

L’étude s’est basée sur 397 enfants finlandais dont les parents ont consigné quotidiennement dans un journal l’état de santé durant la première année, de l’âge de neuf semaines à 52 semaines.

Dans l’ensemble, les bébés avec des chats ou des chiens à domicile étaient environ 30 % moins enclins à manifester les symptômes d’infections respiratoires — incluant la toux, le sifflement, la rhinite (nez bouché ou qui coule) et la fièvre — et environ moitié moins enclins à développer des infections de l’oreille.

« Si les enfants avaient des contacts avec un chien ou un chat à domicile, ils étaient en bien meilleure santé pendant la période d’étude », affirme la recherche menée par des experts de l’Hôpital universitaire de Kuopio, en Finlande.

« Nous faisons l’hypothèse que les contacts animaux pourraient aider à faire mûrir le système immunitaire, menant à des réponses immunitaires plus efficaces et à des périodes d’infection plus courtes. »

En plus d’avoir moins fréquemment des infections de l’oreille et respiratoires, les bébés proches de chiens nécessitaient en moyenne moins de traitements antibiotiques par rapport à ceux qui étaient élevés dans des domiciles sans animal domestique, affirme l’étude.

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Le liquide amniotique contre les infections mortelles

Le manque de ce liquide pourrait être responsable du risque plus élevé d’inflammation gastro-intestinale comme l’entérocolite nécrosante, ou NEC, chez les enfants prématurés, selon les chercheurs du Children’s Hospital de Pittsburgh.

En injectant sur des souris de petites quantités de liquide amniotique ou en les nourrissant avec ce liquide, les chercheurs ont remarqué que la NEC cessait de se développer.

« La maladie arrive quand ces petits bébés ont deux ou trois semaines. […] En premier, ils sont un peu malades, mais ont l’air d’aller. Ensuite, sans avertir, ils n’absorbent plus aucune nourriture, leur ventre devient gonflé et, dans plusieurs cas, ils deviennent gravement malades en quelques heures. Quand je les opère, je vois des morceaux de tissus intestinaux morts qui doivent être retirés », explique l’auteur de la recherche, David Hackam du Département de chirurgie de la Pitt School of Medicine.

La NEC est en fait la principale cause de décès chez les poupons et affecte généralement plus de bébés nés six à huit semaines trop tôt. Plus de 12 à 15 % des bébés dans cette condition la développent.

Rappelons que l’ingestion de composantes du placenta ou du placenta en soi, selon certains scientifiques, peut être avantageuse pour la mère.

En effet, l’ingestion du placenta, ainsi que l’ingestion de liquide amniotique par des mères mammifères, provoque une augmentation de l’interaction mère-enfant et augmente les effets analgésiques et méditatifs durant l’accouchement.

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Le zinc pour réduire les complications chez le bébé

Une étude menée à New Delhi recommande aux médecins d’utiliser le zinc comme traitement complémentaire afin de réduire les risques d’échec en cas d’infection bactérienne chez nouveau-nés.

Les infections de ce type sont l’une des principales causes de décès chez les jeunes bambins, spécialement dans les pays moins développés. 
 
Les scientifiques suggèrent donc d’administrer 10 milligrammes de zinc en cas d’infection en plus des antibiotiques appropriés.
 
À l’issue de leurs études, les auteurs de la recherche ont déterminé que pour 15 nourrissons traités au zinc, il y a au moins l’évitement d’un échec thérapeutique pour l’un d’entre eux.  
 
Le zinc est également reconnu pour intoxiquer les microbes dans notre organisme.
 
Rappelons que le zinc n’a pas d’effets bénéfiques que sur les poupons, puisque les pastilles de zinc peuvent réduire la durée du rhume chez les adultes. En fait, elles permettraient de réduire de deux jours la durée des symptômes. Cependant, les pastilles de zinc n’ont aucune incidence sur l’intensité des symptômes du rhume.
 
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Des infections à l’origine de cancers

Une étude du Centre international de recherche sur le cancer de Lyon démontre qu’un cancer sur six serait causé par une infection d’origine bactérienne ou virale.
 
Ces cancers pourraient donc être évités simplement avec des actions de prévention et des traitements simples et efficaces comme des vaccins.
 
L’étude s’est penchée sur 13 millions de nouveaux cas de cancer dans le monde en 2008.
 
Selon The Lancet Oncology, on évalue maintenant que les infections causeraient deux millions de nouveaux cas de cancer chaque année.
 
Quatre bactéries, virus ou parasites seraient principalement liés à des cancers, comme la bactérie Helicobacter pylori qui causerait le cancer de l’estomac, l’hépatite B et C qui sont liées au cancer du foie, et le papillomavirus qui est associé au cancer du col de l’utérus.
 
De nombreux vaccins et traitements peuvent facilement enrayer ces infections et ainsi éviter bien des problèmes aux patients.