Catégories
Uncategorized

Les pas à franchir pour accepter l’infertilité

Plurielles nous informe du cheminement à parcourir pour franchir l’étape ultime d’acceptation de l’infertilité. Parce qu’elle nous touche en tant que couple, mais également en tant qu’individu.

La prise de conscience – Ainsi, la femme infertile se sent incomplète si elle ne peut procréer, alors que l’homme remet sa masculinité, sa virilité et sa puissance sexuelle en question. C’est une étape qui, bien souvent, mène à la rupture du couple.

Des montagnes russes émotionnelles – La femme vit l’infertilité comme une trahison de son corps. Entre la colère, la culpabilité, le sentiment de révolte ou d’impuissance et la jalousie face aux femmes qui sont mères, il faut savoir consulter avant de sombrer dans la dépression.

L’annoncer à nos proches – Préparez-vous à une empathie qui peut vous rendre mal à l’aise et des conseils que vous ne souhaitez pas avoir. Mais malgré tous les jugements, il s’agit d’une étape supplémentaire vers l’acceptation.

Alternatives – Vous tournerez-vous vers l’adoption ou un traitement médical assisté? Abandonnerez-vous simplement? L’important, c’est que la décision soit prise par les deux partenaires. Sachez d’autre part que peu importe l’alternative, c’est un processus très exigeant.

Dans le cas du renoncement – C’est une décision qui peut être très longue. Quoi qu’il en soit, elle doit être bien claire, exprimée tant par l’un que l’autre partenaire, et bien souvent, assistée en thérapie. L’important, c’est de ne pas avoir de regret.

Catégories
Uncategorized

Infertilité chez la femme – nouveau traitement prometteur

L’étude menée sur des souris sera bientôt testée sur des femmes infertiles à cause de l’anovulation. Les chercheurs ont constaté que la prolactine agit indirectement sur l’une des hormones les plus importantes qui affectent la reproduction : la GnRH.

L’hyperprolactinémie (production trop élevée de prolactine) est le plus souvent responsable de problèmes de cycles menstruels, et donc d’infertilité. Chez les souris, les chercheurs ont découvert le processus menant à l’inhibition de l’hormone GnRH.

La kisspeptine, normalement sécrétée, est inhibée lors de l’hyperprolactinémie. L’équipe responsable a donc injecté la kisspeptine chez les souris infertiles, et les résultats ont été concluants. Elle bloque le surplus de prolactine et permet le retour du cycle menstruel régulier, et ainsi l’ovulation.

C’est l’équipe de Jacques Young et Nadine Binart, de l’unité 693 à l’Inserm, responsable des récepteurs stéroïdes : physiopathologies endocriniennes et métaboliques, qui ont travaillé sur la recherche.

Il s’agit donc d’une découverte d’importance, puisqu’elle pourra désormais faire partie d’un nouveau traitement, en remplacement des médicaments prescrits aujourd’hui pour aider les femmes infertiles.

Cependant, d’autres études sont nécessaires pour valider le concept chez les femmes.

Catégories
Uncategorized

Les cellules souches pourraient remédier à l’infertilité

Pour cette expérience menée au Japon, les chercheurs sont parvenus à prélever des cellules souches sur une souris adulte, qu’ils ont modifiées puis réimplantées.

La souris a pu produire des ovocytes viables par elle-même, et ceux-ci ont été inséminés in vitro dans une souris « mère porteuse », qui a donné naissance à des bébés aptes à se reproduire.

Les ovocytes sont des cellules sexuelles femelles, dont certains deviendront des ovules. Ils diminuent fortement avec l’âge de la femme, et s’ils ne sont pas ou plus présents et de bonne qualité, une grossesse sera très peu probable.

« Le résultat de nos expériences va nous aider à comprendre le mécanisme de production d’ovocytes et donc contribuer à élucider et clarifier les causes de l’infertilité », a expliqué le chercheur Michinori Saito, selon magicmaman.

Celui-ci a toutefois rappelé qu’il restait beaucoup d’étapes à réaliser et de recherches à mener avant de pouvoir effectuer des tests sur l’humain.

L’étude a été publiée dans la revue Science.

Catégories
Uncategorized

Les organes reproducteurs responsables de l’infertilité

En fait, d’après le biologiste, l’augmentation du nombre de cas d’infertilité serait reliée à l’évolution des organes reproducteurs des hommes et des femmes. Ces organes seraient beaucoup moins compatibles qu’avant.

L’étude sur laquelle se base Hasson a été publiée dans la revue Biological Reviews et montre que les spermatozoïdes sont plus agressifs qu’avant et cherchent à pénétrer dans l’ovocyte coûte que coûte.

Toutefois, habituellement, une fois l’oeuf fécondé, le corps empêche les autres spermatozoïdes d’y accéder. La recherche a démontré qu’ils sont devenus trop forts et trop rapides pour le corps de la femme. Il arrive donc souvent que deux spermatozoïdes arrivent à l’oeuf, mettant fin à la fécondation. Ce phénomène s’appelle la polyspermie.

De nos jours, 10 % des couples rencontrent des problèmes de fertilité.

Rappelons qu’il existe plusieurs causes à l’infertilité féminine. Par exemple, les dommages aux trompes de Fallope, le trouble de l’utérus appelé endométriose, les irrégularités du cycle de l’ovulation et la taille ou la forme anormale de l’utérus peuvent nuire à la fertilité.

Catégories
Uncategorized

Les traitements contre l’infertilité sans risques de cancer

Une étude publiée dans le British Medical Journal dément les précédentes affirmations de chercheurs danois voulant que ces traitements qui stimulent l’ovulation augmentent les risques de cancer chez les femmes.

En fait, sur les 50 000 femmes traitées pour infertilité ayant pris part à la recherche, 156 seulement ont développé un cancer de l’ovaire.

L’étude comprenait aussi des femmes ayant reçu plus de dix cycles de traitement ainsi que celles qui ne sont finalement pas tombées enceintes.

Toutefois, durant les recherches récentes, les femmes n’avaient pas toutes atteint l’âge où le cancer se développe plus souvent, c’est-à-dire 60 ans.

Il existe plusieurs causes à l’infertilité féminine. Par exemple, les dommages aux trompes de Fallope, le trouble de l’utérus appelé endométriose, les irrégularités du cycle de l’ovulation et la taille ou la forme anormale de l’utérus peuvent nuire à la fertilité.

Certains de ces problèmes peuvent être dus à une infection transmissible sexuellement.

De plus, plus une femme vieillit, plus il est difficile pour elle de concevoir.

Catégories
Uncategorized

Bientôt une pilule contraceptive pour hommes?

Bien que leurs études soient encore préliminaires et encore effectuées auprès de souris, les chercheurs de l’Université d’Édimbourg spécialisés en fécondité ont découvert un gène qui est la clé de la production de sperme.

Appelé Katnal1, ce gène ne réussit pas à produire à maturité les spermatozoïdes s’il ne fonctionne pas correctement, révèle l’étude parue dans PLoS Medicine.

Ainsi, le Dr Lee Smith explique : « Si nous pouvons trouver un moyen de cibler ce gène dans les testicules, nous pourrions potentiellement développer un contraceptif non hormonal masculin », rassurant les hommes que.

Il ajoute que cette pilule ne pourrait pas provoquer une baisse de libido ou des effets secondaires désagréables et que la qualité et la force des spermatozoïdes ne seraient pas affectées.

« La chose importante est que les effets d’un tel médicament seraient réversibles, car Katnal1 affecte uniquement les spermatozoïdes dans les stades ultérieurs du développement, de sorte que les premiers stades de développement des spermatozoïdes et la capacité globale à produire des spermatozoïdes ne seraient pas entravés. »

La « vasectomie génétique » pourrait être également une option. Dans les hôpitaux, le gène Katnal1 serait retiré du corps de l’homme pour éviter toute future procréation.

Finalement, il y aurait même de l’espoir pour les hommes infertiles, en utilisant d’autres gènes pour corriger Katnal1.

Les chercheurs espèrent que d’ici 10 ans, ces trois options seront possibles chez l’humain.

Catégories
Uncategorized

Infertilité : difficile pour l’orgueil?

Une nouvelle thèse de doctorat à l’École nordique de santé publique NHV, réalisée par la travailleuse sociale Helga Sól Ólafsdóttir, affirme également que devant un problème d’infertilité, « les hommes sont plus réticents que les femmes à demander de l’aide spécialisée et même, tout simplement, à accepter l’aide ».

C’est en suivant 22 couples, dès leur premier rendez-vous à une clinique de fertilité et de nouveau trois ans plus tard, que la spécialiste a pu confirmer que le monde du traitement de la reproduction assistée est compliqué sur les plans moral, affectif et physique, en plus d’être une source de confusion.

Toutefois, il est ressorti que la plupart des couples essaient de s’adapter, car le traitement de fécondation in vitro est leur seule possibilité de concevoir un enfant ensemble.

La chercheuse conseille tout de même au personnel de soins de santé qui viennent en aide aux personnes infertiles de les écouter davantage, car « les couples souhaitent être suivis de plus près ».

Elle rappelle que le processus de ces gens est souvent fortement affecté par des facteurs extérieurs, comme les négociations difficiles entre les amoureux, le fait que l’un soit plus prêt que l’autre, la stabilité de la situation sociale, la mise à disposition des diverses options pour procréer, les opinions et l’influence des parents, des amis et du personnel de la santé qui entourent le couple.

Sur les 22 couples qui ont participé à l’étude, 17 sont devenus parents au cours des trois années, et 21 enfants sont nés. Certains ont réussi sans aide, d’autres ont eu recours à la reproduction assistée, au don d’ovules ou à l’adoption.

Catégories
Uncategorized

Tout savoir sur la FIV si vous êtes un homme

Test Tubes And Testosterone: A Man’s Journey Into Infertility And IVF, de Michael Saunders, raconte l’histoire d’un homme qui s’est battu pour avoir des enfants avec sa compagne. 

Ce livre explique aux hommes les différents traitements pour lutter contre l’infertilité. Dans un style léger, l’auteur donne une multitude de conseils et répond à la plupart des questions que se posent les hommes concernant la FIV.
 
Michael Saunders a eu recours à l’injection intra-cytoplasmique de spermatozoïdes, une technique de FIV, car son sperme n’était pas assez bon. « L’infertilité masculine est causée soit par la mauvaise qualité du sperme ou le faible nombre de spermatozoïdes en cours de production dans les testicules », explique l’auteur.
 
Un mauvais style de vie, des niveaux élevés de stress, le tabagisme, une mauvaise alimentation, restent les principales causes de l’infertilité.
 
Michael Saunders a fait des ajustements dans son mode de vie : « j’ai notamment arrêté de boire, réduit la cigarette, augmenté ma consommation de vitamines et de minéraux, en particulier le zinc (…) au fil des mois, mon sperme était meilleur ».
 
Le couple a réussi à avoir des jumeaux nommés Mathilde et George, qui ont désormais 18 mois. « La vie est belle et un peu mouvementée », a indiqué le papa, dont le seul regret est d’avoir attendu si longtemps avant de parler à d’autres hommes.
 
Catégories
Uncategorized

Infertilité : 10 % des couples sont touchés

L’âge, le surpoids et le tabagisme chez les femmes seraient des facteurs suspectés d’affecter la fertilité, révèle une étude de l’Inserm parue dans le Bulletin épidémiologique du 21 février consacré à l’environnement et l’infertilité. Les métaux lourds comme le plomb et les polluants organiques pourraient grandement jouer un rôle également.

Pour arriver à cette conclusion, plus de 15 000 Françaises âgées de 18 à 44 ans ayant déjà accouché ou ayant des rapports sexuels dans le but de tomber enceintes ont été suivies et interrogées au sujet du délai écoulé sans qu’il y ait grossesse, après l’arrêt de contraceptifs.
 
Ainsi, il apparaît que 26 % des femmes ayant accouché sont tombées enceintes dès le premier mois, soit environ un quart, mais 32 % des grossesses sont survenues plus de 6 mois après. Parmi elles, 18 % ont attendu un an, et 8 % ont patienté deux ans.
 
En d’autres termes, 46 % des couples n’ont pas obtenu de grossesse 6 mois après l’arrêt de la contraception, 24 % après un an, et 11 % après deux ans, rapporte Le Figaro.
 
Rappelons qu’en 2010, l’Organisation mondiale de la santé a également modifié ses normes concernant la fertilité des hommes. Aujourd’hui, un spermogramme présentant 15 % de spermatozoïdes typiques est normal, alors qu’il y a quelques années, il en fallait 60 %, affirment les spécialistes.
 
Catégories
Uncategorized

Pour être fertiles, prenez du soleil!

Connue comme la vitamine du soleil, la vitamine D est essentielle pour l’équilibre des hormones sexuelles chez la femme et l’amélioration de la numération des spermatozoïdes chez les hommes, selon des chercheurs. Ces derniers croient d’ailleurs que certains couples devraient dépenser pour des vacances au soleil, plutôt que d’être soumis à un traitement de fertilité inutile et coûteux.

Pour les femmes, la vitamine D contribue à augmenter le niveau de progestérone et d’œstrogène de 13 % et la régulation des cycles menstruels de 21 %.

Pour les futurs papas, la vitamine D est essentielle pour le développement sain du noyau de chaque spermatozoïde. Elle augmente également le niveau de testostérone et l’amélioration de la libido chez l’homme, selon l’étude publiée dans l’European Journal of Endocrinology.

En effet, l’impact de la vitamine D sur les hormones sexuelles mâles et femelles peut expliquer pourquoi le taux de conception est à la baisse en automne et à l’hiver, et à son apogée l’été dans les pays de l’Europe du Nord, expliquent les chercheurs de l’Université médicale de Graz, en Autriche.

Malgré ce fait, les spécialistes rappellent aux couples de ne pas se surexposer au soleil, favorisant ainsi un possible développement du cancer de la peau.

Les rayons UVB représentent 80 % du procédé chimique dont a besoin l’organisme en consommation de vitamine D. De petites quantités peuvent être également consommées grâce aux poissons gras et aux œufs. La vitamine D peut aussi favoriser la réduction de syndrome de mort subite du nourrisson et les problèmes de santé mentale chez les enfants.