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Avoir des enfants est bon pour le coeur

Il semble qu’être père de famille a des avantages sur la santé. Un homme qui a des enfants serait moins enclin à souffrir d’une maladie cardiovasculaire qu’un autre qui n’en a pas. Le moins grand risque encouru par papa est ici de 17 %.

C’est ce que nous apprend une récente enquête américaine à grande échelle. Différentes instances des États-Unis se seraient penchées sur le cas de 138 000 hommes pour tirer cette conclusion, selon Nouvelobs.

La différence ici observée nous en dirait plus sur l’infertilité. Cette dernière serait un bon indicateur de la santé future. Elle correspondrait en fait à une faiblesse génétique présente chez certains hommes, laquelle pourrait aussi avoir un effet sur leur santé cardiaque.

Malgré tout, les spécialistes nous demandent de ne pas sauter trop vite aux conclusions. Le Dr Daniel Rader, directeur de cardiologie préventive à l’University of Pennsylvania, affirme : « Il est biologiquement plausible qu’il y ait une connexion, mais le risque réduit attribué au fait d’avoir des enfants est plutôt modeste ».

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Le chlore des piscines pourrait rendre infertile

L’étude réalisée à l’Université catholique de Louvain (UCL), en Belgique, révèle que les enfants qui ont nagé au moins 125 heures dans une piscine chlorée avant l’âge de 7 ans ont trois fois plus de risque que les autres d’avoir des problèmes d’infertilité à l’âge adulte.

Selon les chercheurs, les produits organiques de dégradation (urine, transpiration, salive, etc.) que l’on retrouve dans les piscines traitées au chlore attaqueraient l’organisme.

Après avoir validé leurs recherches sur des animaux, les scientifiques ont effectué des prises de sang sur trois groupes d’adolescents de 14 à 18 ans, deux qui fréquentaient des piscines « chlorées » et un troisième groupe fréquentant une piscine traitée par ionisation cuivre argent, sans aucun chlore.

Le résultat indique que la plupart des hormones affichent des valeurs normales, mais deux sont significativement différentes, la testostérone et l’inhibine B.

Ces données sont importantes, sachant que pour 10 % des adultes dont la fertilité pose un problème, les valeurs d’inhibine B sont en déficit.

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L’infertilité a une cause cérébrale

On prévoit que l’infertilité touchera un plus en plus grand nombre de personnes dans le monde au cours de la prochaine décennie. Une récente découverte transformera notre approche de ce problème majeur.

Un chercheur de l’Inserm, Vincent Prévot, soutenu par ses collaborateurs, vient de présenter ses résultats dans PNAS quant à une cause cérébrale de l’infertilité.

En résumé, une hormone serait au cœur du problème, la prostaglandine E2. Cette dernière est libérée par les cellules gliales – lesquelles assurent la nutrition et le soutien des neurones – et elle s’avère indispensable au déclenchement des fonctions reproductives. Celles-ci sont déclenchées par une suite d’événements se situant dans le cerveau.

La libération de la prostaglandine E2 est nécessaire à l’activité électrique des neurones à GnRH, lesquelles sont inévitables pour que le processus de puberté et de fertilité soit enclenché.

Une déficience à ce niveau engendrerait un retard pubertaire ou une faible fertilité. On envisage déjà de futurs traitements des problèmes de fertilité d’origine centrale.

Il s’agit d’une découverte majeure, car comme l’explique Vincent Prévot : « L’identification de cette hormone […] ouvre de nouvelles pistes thérapeutiques pour le traitement des troubles de la fertilité. »

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Découverte majeure en fertilité

À la suite de 30 ans de recherche, des chercheurs viennent de présenter une grande découverte dans le domaine de la procréation. Ils ont démontré comment l’ovule et le spermatozoïde pouvaient s’attirer et se joindre.

Cette attraction n’avait pas encore été expliquée, ce qui constituait un blocage pour les couples infertiles. Or, ce lien entre l’ovule et le spermatozoïde serait possible grâce à une simple molécule.

L’ovule deviendrait collant à cause de cette molécule de sucre, d’où sa jonction avec un gamète. Les résultats complets de cette découverte sont présentés dans la revue Science.

Les possibilités qui suivront cette nouvelle explication scientifique sont évidemment nombreuses. Bien sûr, beaucoup d’espoir naît quant aux traitements de l’infertilité et de la fécondité limitée. On pense aussi à d’autres avenues en ce qui a trait à la contraception.

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Les causes de l’infertilité

Afin de mieux comprendre l’infertilité féminine, Sher Institutes of Reproductive Medicine présente les cinq raisons principales qui peuvent l’entraîner.

On parle tout d’abord des dommages aux trompes de Fallope. Souvent causés par une maladie transmise sexuellement (la chlamydia ou la gonorrhée, par exemple), ils viennent à empêcher l’ovule de joindre les spermatozoïdes.

L’endométriose, un trouble touchant l’utérus, peut quant à elle endommager les trompes et les ovaires. Ces derniers demeurent justement une troisième raison principale de l’infertilité. S’ils sont endommagés ou dans une position incorrecte, entre autres, cela peut empêcher le cours normal de l’ovulation.

Le cycle de l’ovulation peut aussi affecter le déclenchement d’une grossesse et le succès de celle-ci. L’un des facteurs d’une telle irrégularité est l’âge de la femme; on a déjà remarqué une baisse de sa fertilité à partir de l’âge de 35 ans.

L’utérus représente finalement le cinquième élément déclencheur, dans le cas où il est de forme et de taille anormales. L’exemple classique est celui du ventre en forme de T, ce qui fait que l’utérus et la cavité utérine sont nettement plus petits que la normale.

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Espoir pour les couples infertiles

On apprend dans Cell que des chercheurs de l’Université de Tokyo ont réussi un exploit scientifique relativement à l’infertilité. Ils ont réussi à transformer des cellules souches de souris en sperme.

Précisément, des cellules souches embryonnaires, ou cellules germinales primordiales, sont devenues des précurseurs de spermatozoïdes.
 
Bien que l’on ne puisse pas le faire chez l’homme avant une autre décennie, on voit dans cette découverte une future éradication de l’infertilité.
 
C’est que les cellules germinales primordiales (ou PGC) sont à l’origine des spermatozoïdes et des ovules. Mentionnons au passage qu’il s’agit d’une origine commune pour l’homme et la femme.
 
Les chercheurs ont donc pu créer de ces nouvelles cellules et les ont transplantées chez les sujets (souris) qui étaient infertiles. Ces mêmes souris ont pu fabriquer du sperme fertile à la suite de cette transplantation. Des bébés en pleine santé sont même nés après fécondation.
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Données encourageantes sur l’infertilité

On peut lire dans Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire que l’infertilité est un obstacle de moins en moins important pour avoir un enfant. Sur 10 couples infertiles, 7 réussissent à avoir un enfant.

Pour arriver à ce nombre, on a suivi 6 507 couples ayant eu recours à la fécondation in vitro pour la première fois entre 2000 et 2002. Quelques années plus tard, entre 2008 et 2010, les mêmes couples ont répondu à un questionnaire par voie postale.
 
Cette enquête a par ailleurs fait la lumière sur les différentes méthodes vers lesquelles peuvent se tourner les gens qui veulent devenir parents. Parmi les 70 % participants y étant arrivés, on a donc pu remarquer que seuls 41 % l’avaient fait par fécondation in vitro.

D’autre part, chez les autres, 19 % se sont tournés vers l’adoption et 18 % ont finalement eu un enfant par conception naturelle. 11 % ont connu le succès en employant un traitement de procréation.

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Nouvel outil pour la FIV

Parmi les méthodes d’assistance médicale à la procréation (AMP), la fécondation in vitro (FIV) est la plus populaire. Elle n’est pas pour autant sans failles, car seulement le quart des essais aboutit à une grossesse.

On apprend toutefois sur 20 Minutes qu’un nouvel espoir s’offre aux couples devant vivre avec cette réalité. Des chercheurs ont mis au point un appareil, l’EmbryoScope, qui améliorera sûrement les chances de succès d’une FIV.
 
Ce qui rend cet outil unique est qu’il ne nécessite pas que l’on déplace l’embryon. Il est maintenant en test au CHU de Nantes, en France, et ce, jusqu’à l’été. Il faudra évaluer son impact sur les chances de grossesse.

Par la suite, les résultats obtenus devront être comparés avec ceux provenant d’autres hôpitaux qui possèdent aussi l’équipement. Beaucoup d’espoir se trouve pourtant dans l’EmbryoScope, que l’on décrit comme un outil destiné à augmenter les chances de conception d’un bébé à la suite d’une fécondation in vitro.

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Le soya pourrait causer l’infertilité masculine

Bien que le soya soit un aliment bon pour la santé, il semblerait que ce ne soit pas le cas pour les hommes.
 
Selon le Human Reproduction, les hommes devraient éviter de consommer du soya, y compris le lait de soya, car cela diminue la quantité de spermatozoïdes dans leur sperme.
 
Les chercheurs de l’Université Harvard mentionnent que les hommes qui consomment une demi-portion de soya quotidiennement ont 32 % mois de spermatozoïdes par millilitre de sperme que ceux qui n’en consomment pas.
 
De plus, c’est un aliment qui pourrait causer la dysfonction érectile chez certains hommes, en plus d’augmenter leur taux d’œstrogène, les rendant alors plus féminins.
 
Les experts rappellent que pour avoir une fertilité maximale, les hommes devraient s’alimenter sainement et faire de l’exercice, car la graisse corporelle interfère avec la production de spermatozoïdes. Les bains chauds devraient également être évités, car ils ne sont pas favorables à la bonne qualité du sperme.
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La fertilité serait à un bon degré

Depuis quelques années, on entend souvent parler des problèmes d’infertilité et de l’actuelle qualité du sperme dans les pays de l’Occident.

Les causes en seraient majoritairement environnementales, mais de nombreuses avenues ont été abordées à ce sujet.

Parmi elles, il y a la hausse des cas de cancer chez les garçons, le bisphénol A (BPA), les boîtes de conserve, écrire avec son ordinateur portable sur les genoux ou l’alcool. Bref, les raisons en seraient nombreuses.

Pourtant, selon l’Institut national des études démographiques (INED), la fertilité se porterait très bien dans les pays occidentaux. Cet institut assure en effet que cette crainte serait en partie injustifiée.

Ainsi, ne pas tomber enceinte en ayant des rapports sexuels non protégés ne serait pas encore signe d’infertilité, même après 12 mois.

On ne redit rien toutefois sur la baisse de la qualité du sperme dont on a si souvent parlé.