L’étude publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism stipule que le yogourt enrichi contient non seulement plus de vitamine, mais aussi plus de calcium, qui lui confère des propriétés anti-inflammatoires.
L’inflammation joue un rôle important dans le développement du diabète de type 2 ainsi que dans ses complications cardiaques, comme les maladies coronariennes ou les accidents vasculaires cérébraux.
« L’étude a démontré que le fait de consommer du yogourt enrichi en vitamine D diminue les substances sériques comme la protéine C réactive (CRP) dans l’organisme, qui favorise l’inflammation », explique l’auteur principal de cette recherche, Tirang Neyestani.
L’étude a également permis de démontrer que le taux d’adiponectine, une substance sécrétée par les tissus adipeux qui agit contre l’inflammation, augmente lorsque le patient consomme du yogourt enrichi de vitamine D.
Outre ces effets bénéfiques anti-inflammatoires, le yogourt enrichi de vitamine D aide au maintien de la santé des os. Sans vitamine D, le calcium, qui assure la solidité de l’os, ne peut se fixer sur ce dernier, fragilisant la structure osseuse du patient.
Des chercheurs du National Institute of Arthritis and Musculoskeletal and Skin Diseases viendraient de faire une découverte d’un enjeu majeur quant à une maladie cutanée chez l’enfant, lisons-nous sur NIH News.
La maladie grave dont il est question ici est une forme rare de la dermatose. Elle se reconnaîtrait donc, selon les résultats de la présente recherche, par de l’inflammation et une perte de gras.
Selon les chercheurs, les signes cutanés de cette forme rare de dermatose sous-tendraient à un spectre regroupant plusieurs autres formes de maladies.
Encore aujourd’hui, la dermatose chronique atypique (la BOUGIE) ne correspond à aucun traitement. Beaucoup d’espoirs résident donc dans cette récente découverte.
Grâce à des échanges de renseignements, à la suite d’analyses de jeunes patients présentant une inflammation, une perte de gras et ayant une forte fièvre, les chercheurs ont pu statuer qu’une mutation génétique se cachait derrière l’exacerbation de ladite maladie.
Les dangers des épices
Selon une étude de l’Université de Chicago parue dans Archives of Otolaryngology – Head & Neck Surgery, on pourrait réduire les symptômes de l’apnée du sommeil chez l’enfant en lui administrant un vaporisateur nasal.
On a remarqué que des enfants souffrant d’apnée du sommeil à qui l’on avait prescrit du furoate de fluticasone avaient produit moins de cellules inflammatoires pouvant détériorer leur état.
Mentionnons au passage que le furoate de fluticasone fait partie de la famille des corticostéroïdes. Assez récent, on l’emploie généralement pour traiter la rhinite allergique, soit une inflammation des fosses nasales. Il peut être administré aux enfants de deux ans et plus.
L’effet remarqué est bien entendu logique, car l’apnée du sommeil se caractérise par une obstruction partielle ou complète des voies aériennes supérieures. Cela interrompt la ventilation normale durant le sommeil. On estime qu’au moins 1 enfant sur 50 en est atteint.
À la suite de cette expérimentation ayant impliqué 24 enfants de 2 à 12 ans, les chercheurs recommandent le furoate de fluticasone comme un moyen de réduire les symptômes de ce syndrome.
Selon une étude de l’Université de Chicago parue dans Archives of Otolaryngology – Head & Neck Surgery, on pourrait réduire les symptômes de l’apnée du sommeil chez l’enfant en lui administrant un vaporisateur nasal.
On a remarqué que des enfants souffrant d’apnée du sommeil à qui l’on avait prescrit du furoate de fluticasone avaient produit moins de cellules inflammatoires pouvant détériorer leur état.
Mentionnons au passage que le furoate de fluticasone fait partie de la famille des corticostéroïdes. Assez récent, on l’emploie généralement pour traiter la rhinite allergique, soit une inflammation des fosses nasales. Il peut être administré aux enfants de deux ans et plus.
L’effet remarqué est bien entendu logique, car l’apnée du sommeil se caractérise par une obstruction partielle ou complète des voies aériennes supérieures. Cela interrompt la ventilation normale durant le sommeil. On estime qu’au moins 1 enfant sur 50 en est atteint.
À la suite de cette expérimentation ayant impliqué 24 enfants de 2 à 12 ans, les chercheurs recommandent le furoate de fluticasone comme un moyen de réduire les symptômes de ce syndrome.
Des chercheurs de la Georgia Health Sciences University effectuent des tests sur des souris qui pourraient en dire long sur la détection du diabète chez les enfants, lisons-nous sur Medical News Today.
Les chercheurs font aussi des analyses sanguines d’enfants prédisposés par leurs gènes à développer ce type de diabète. L’hypothèse en question est donc vérifiée auprès de 2 500 enfants.