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Les anti-inflammatoires pourraient causer des problèmes cardiaques

L’ibuprofène et ses homologues de la famille des anti-inflammatoires s’avèrent souvent la solution la plus efficace et abordable pour plusieurs problèmes de santé.

Qui n’a jamais utilisé les anti-inflammatoires, véritables sauveurs, pour se soulager! Cependant, une nouvelle étude vient mettre en garde les consommateurs contre une utilisation massive et à long terme de ces produits.

Des chercheurs de l’Université d’Oxford se sont penchés sur la question et ont découvert certains effets potentiellement désastreux des anti-inflammatoires sur la santé cardiaque, rapporte Top Santé

L’étude est bien étoffée, comptant sur l’analyse de près de 400 000 patients consommateurs de ce type de médicaments.

Les risques de troubles cardiaques ou d’infarctus sont bien réels, notent les chercheurs, mais les chiffres restent relativement et heureusement bas.

On note une hausse de huit patients affichant des problèmes cardiaques sur un bassin de mille. Plusieurs cas d’ulcères ont cependant été rapportés.

« Ces risques de maladie cardiovasculaire ou d’infarctus ne concernent que les patients qui prennent de fortes doses quotidiennes et sur le long terme. Mais ces patients ne doivent pas perdre de vue ce risque, et ne pas hésiter à en parler à leur médecin traitant », conclut le professeur Colin Baigent, directeur de l’étude. 

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Lien entre l’inflammation et les maladies coronariennes

Selon le Dr Christian A. Pineau et son équipe de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill, la polymyosite et la dermatomyosite, deux maladies auto-immunes qui causent une l’inflammation des muscles, peuvent faire croître l’incidence de maladies cardiovasculaires.

« Nos résultats montrent que le risque de crise cardiaque est deux fois plus élevé chez ces personnes que chez le reste de la population. Chaque année, 1 personne sur 200 atteintes d’inflammation des muscles, ou myosite, succombe à des accidents vasculaires cérébraux (AVC) et 1 sur 75, à une crise cardiaque », a expliqué la coauteure derrière ces résultats, la Dre Sasha Bernatsky.

Selon les scientifiques, les traitements immunosuppresseurs contre les deux maladies auto-immunes font diminuer le risque de maladies cardiovasculaires. « Ceci est une piste extrêmement intéressante pour les patients souffrant de ces maladies qui sont parfois hésitants à recevoir ce genre de traitement», a conclu le Dr Pineau.

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Le bon cholestérol, un anti-inflammatoire

Les données préliminaires d’une étude de l’Académie américaine de neurologie révèlent qu’un haut taux de HDL, le bon cholestérol, protègerait contre les handicaps liés à la sclérose en plaques.

Selon l’étude, les patients présentant un handicap avaient un faible taux de HDL.

Le HDL aurait des propriétés anti-inflammatoires qui seraient également bénéfiques contre les maladies inflammatoires chroniques.

L’étude suggère aux patients de faire vérifier leur taux de HDL et, s’il est faible, de revoir leurs habitudes alimentaires et d’en parler avec leur médecin.

Certains aliments, comme l’huile de poisson, augmentent le bon cholestérol.

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La vitamine C contre la goutte

Selon le Dr Hyon Choi et ses collègues de l’Université de la Colombie-Britannique à Vancouver, un surplus de vitamine C aiderait à prévenir l’apparition de la goutte chez les hommes.

Une analyse des dossiers médicaux de 47 000 de participants a permis aux chercheurs de découvrir que 500 mg de vitamine C consommés quotidiennement faisaient chuter de 17 % l’incidence de la maladie inflammatoire qui touche 3 millions d’Américains.

Chez les sujets qui consommaient 1 500 mg de la vitamine quotidiennement, le risque de goutte diminuait de 45 %, comparativement aux participants n’en prenant que 250 mg par jour.

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L’anémie est liée à l’arthrite rhumatoïde

Selon une récente recherche publiée dans le Journal of Rheumatology, les patients aux prises avec l’anémie risquent d’être touchés par l’arthrite rhumatoïde.

Les scientifiques ont ainsi analysé pendant 22 semaines la concentration d’hémoglobine chez les personnes atteintes de ce rhumatisme inflammatoire chronique, d’origine inconnue. Parmi l’échantillon, 37 % souffraient d’anémie.

On considère généralement qu’il y a trouble hématologique lorsque la concentration d’hémoglobine dans le sang est inférieure à 13 g/100 ml chez l’homme et à 11 g/100 ml chez la femme. La faiblesse, la pâleur, les vertiges, la tachycardie sont des symptômes de l’anémie.

Bien qu’ils ne soient pas en mesure d’identifier les causes de l’anémie, les chercheurs confirment la corrélation entre le taux d’hémoglobine et l’arthrite. De plus, il est recommandé de prendre de la médication afin de réduire l’inflammation et augmenter le taux de fer dans le sang.