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Un divorce financé par le Qatar pour Nicolas Sarkozy?

C’est définitivement la ronde des allégations et des déclarations scandaleuses en France et dans le giron politique, alors que François Hollande et Nicolas Sarkozy semblent s’échanger le bac d’eau chaude.

Après que Hollande ait été lessivé par son ancienne flamme Valérie Trierweiler dans le livre de cette dernière, Merci pour ce moment, c’est au tour de Nicolas Sarkozy (encore) de se retrouver sur la défensive.

Et c’est un autre livre qui provoque cette onde de choc, alors qu’Une France sous influence, publié par Vanessa Ratignier et Pierre Péan, laisse entendre que le divorce de Nicolas et Cécilia Sarkozy aurait été en fait financé par… le Qatar.

L’émir du Qatar, Cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, aurait déboursé la bagatelle de trois millions de dollars pour venir en aide au président de la République de l’époque.

« Sarkozy pleurait presque», aurait-il expliqué. « Il m’a raconté que sa femme Cécilia lui demandait 3 millions d’euros pour divorcer. C’est moi qui ai payé », aurait déclaré al-Thani.

Une histoire à suivre, qui pourrait mettre un terme aux chances de Nicolas Sarkozy de revenir en politique active.

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L’horaire de travail des parents influence le poids des enfants

Les enfants consommant des repas réguliers à la maison sont moins susceptibles de souffrir de problèmes de poids, selon l’étude de chercheurs de Penn State.

Ils ont déclaré lors de la réunion annuelle de l’American Sociological Association qu’un parent qui est à la maison plutôt qu’au travail durant le petit déjeuner et le souper aide ses jeunes à développer de meilleures habitudes alimentaires et une alimentation plus équilibrée.

« Manger à la maison peut aider à contrôler la grosseur des portions, par exemple. Si les jeunes ne mangent pas de petit déjeuner à la maison, ils deviennent plus susceptibles de consommer de la malbouffe plus tard dans la journée» explique Molly Martin, professeure en sociologie et démographie.

Les parents qui sautent des repas ou ne sont pas présents notamment au petit déjeuner inciteraient plus particulièrement les jeunes filles à faire de même, mentionne Science World Report.

La présence des adultes à des heures « critiques » pour les repas, entre autres celle du père, a permis d’observer que dans certains cas les adolescents étaient portés à faire plus d’activité physique et manger davantage de fruits.

L’enquête a été effectuée à l’échelle nationale auprès de 16 991 adolescents.

Crédit photo : Wavebreak Media Ltd /Bigstock.com

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Les dessins de votre enfant en lien avec son intelligence

La manière dont il dessine un personnage à quatre ans, combiné à des tests d’intelligence verbaux et non verbaux, est représentative du niveau réel d’intelligence de l’enfant, et ce, même si on reporte ses capacités intellectuelles10 ans plus tard.

Des scientifiques ont effectué des recherches qui sont publiées dans la revue Psychological Science. Ils affirment qu’un test qui a vu le jour dans les années 1920 est encore d’actualité, en plus de démontrer le lien entre les capacités artistiques et l’intelligence de l’humain.

On a demandé à des enfants de quatre ans de dessiner l’image d’un autre enfant. Les œuvres ont été évaluées entre 0 et 12, selon l’exactitude des éléments de base d’un personnage (tête, oreilles, nez, jambes, etc.), explique Science World Report.

La nouveauté réside dans la corrélation entre un dessin conçu à l’âge de quatre ans et le niveau d’intelligence de l’enfant une décennie plus tard. Les mêmes enfants testaient à nouveau leur intellect à 14 ans et les résultats s’apparentaient à ceux mesurés à 4 ans.

Les chercheurs rassurent les parents. Le dessin, un mode d’expression qui remonte à plus de 15 000 ans, ne représente pas l’unique facteur de l’intelligence. Il faut également considérer la génétique et l’environnement.

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Les parents en mauvaise santé ont plus d’enfants malades

Il n’est plus seulement question de bien se conduire durant la grossesse pour éviter les risques qu’un enfant naisse malade ou développe une pathologie, rapporte les résultats d’une recherche menée par les experts de l’Université d’Adélaïde.

Les adultes qui désirent avoir des enfants doivent changer, l’un comme l’autre, leurs habitudes de vie au moins quelques mois avant de concevoir un enfant. Autrement, ils peuvent favoriser chez l’enfant le risque de maladies comme le diabète et la maladie cardiovasculaire, des troubles psychologiques, anxieux ou comportementaux, entre autres.

 « L’âge des parents, leur alimentation, leur surpoids, le tabagisme et d’autres facteurs environnementaux » ont une influence, explique Santé Log.

Durant la fécondation, l’ovule et le spermatozoïde donnent à l’embryon un profil génomique qui est influencé par l’âge et les facteurs environnementaux des deux parents. Ainsi, le futur père a aussi son rôle à jouer pour être garant d’une meilleure santé pour sa progéniture.

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La couleur et la forme des médicaments génériques influencent les patients

Parue dans les Annals of Internal Medecine, une surprenante étude américaine démontre que l’apparence des médicaments ne serait pas anodine pour plusieurs patients.

De nombreuses personnes se fient sur la couleur et la forme de leurs pilules pour avoir confiance en l’efficacité de ces dernières. De même, ils se servent de l’apparence pour éviter de faire des erreurs ou les mélanger avec d’autres médicaments dans leur pharmacie.

Des chercheurs de l’Université d’Harvard ont suivi 11 513 patients qui étaient de retour à la maison après avoir été opérés pour un infarctus du myocarde, entre 2006 et 2011. Parmi ces gens, 29 % se sont vus prescrire les mêmes médicaments efficaces pour leur guérison, mais sous leur forme générique.

De ce nombre, 34 % ont arrêté de consommer le médicament puisqu’il avait une couleur différente. Quant à ceux qui sont tombés sur des médicaments génériques avec une forme différente de l’original, 66 % ont mis un terme au traitement.

Une autre étude en France sur les médicaments génériques a déjà démontré que 40 % de sa population ne croyait pas en l’efficacité de ces produits et préférait les originaux, relate le site de Top Santé.

Crédit photo : Dolgachov/Bigstock.com 

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Si maman est active, bébé le sera aussi

Une analyse sur plus de 500 mères d’enfants d’âge préscolaire a révélé que si la mère est active, l’enfant le sera aussi.

Malheureusement, les résultats ont également démontré que les mères ne bougent pas assez. Seulement 53 % d’entre elles réalisaient 30 minutes d’exercice modéré à intense au moins une fois par semaine.

L’étude a été réalisée au Royaume-Uni. La norme gouvernementale, selon Female First, recommande 150 minutes de ce genre d’exercice durant la semaine.

La recherche a été publiée dans la revue Pediatrics. Celle-ci suggère d’étendre la norme gouvernementale à toute la famille et d’inciter les mères en particulier à être plus actives.

En résumé, les nouvelles mamans ont tendance à réduire leurs activités physiques, surtout en raison de la fatigue et des nouvelles responsabilités. Mais Dre Kathryn Hesketh, qui a mené l’étude, les encourage à recommencer à bouger le plus tôt possible.

La raison étant principalement qu’au fil des ans, l’enfant a tendance à faire de moins en moins d’activité physique s’il n’est pas motivé. Cela diminue encore à l’adolescence, puis à l’âge adulte.

Il faut donc inculquer des habitudes saines très tôt dans la vie de l’enfant.

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L’estime de soi chez les jeunes, influencée par la culture

C’est une psychologue spécialisée dans les facteurs sociaux, Maja Becker, qui a évalué l’estime de jeunes en tenant compte des différences culturelles.

Ce sont plus de 5000 adolescents et jeunes adultes de 19 pays qui ont pris part à l’étude récemment publiée dans le bulletin en ligne Personality and Social Psychology.

La psychologie a toujours basé l’estime de soi des individus sur la réalisation des valeurs qui sont importantes pour eux. Cependant, ces valeurs diffèrent d’un pays à l’autre.

Les jeunes provenaient de différentes régions de l’Europe, l’Amérique, l’Afrique et l’Asie. Dans chaque pays, c’est environ 200 élèves de l’école secondaire qui étaient interrogés, âgés de 16 et 17 ans.

Les facteurs d’estime communs étaient le contrôle exercé sur sa propre vie, faire son devoir, faire une différence auprès des autres, puis l’acquisition d’un bon statut social. Les différences se situaient dans l’importance que revêtaient ces facteurs.

Par exemple, en Europe de l’Ouest et dans certaines régions de l’Amérique du Sud, la liberté individuelle et la réussite d’une vie stimulante étaient ce qui revêtait le plus d’importance pour la confiance des jeunes de cette région.

La recherche met en lumière l’importance de développer des interventions adaptées à la culture des jeunes lorsqu’ils nécessitent de l’aide.

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Penser au présent influence négativement les choix alimentaires

On nous parle souvent de l’importance de profiter du moment présent et de privilégier celui-ci au lieu d’avoir la tête dans le futur, mais cette idéologie pourrait bien être plus néfaste qu’autre chose en matière d’alimentation.

Selon une étude américaine en provenance de l’Université du Delaware, les personnes aptes à manger de façon équilibrée ou à tenir le coup face à un régime seraient celles dont les pensées sont axées vers le futur, rapporte Top Santé.

Parfois hors de contrôle, le réflexe de se concentrer sur le présent et sur les choses réconfortantes de l’environnement immédiat survient souvent lors de mauvaises passes et de moments de déprime, selon le professeur Meryl Gardner.

Cette dernière, qui dirige l’étude, explique : « Lorsque nous nous sentons mal à l’aise ou de mauvaise humeur, nous savons que quelque chose ne va pas. C’est logique de se concentrer sur ce qui est proche de nous physiquement et temporairement. Si les personnes de mauvaise humeur choisissent souvent des aliments qui leur fournissent une récompense immédiate, il serait plus efficace de les encourager à améliorer leur humeur d’une autre façon. Si vous ne vous sentez pas en phase avec vous-même, au lieu de vous concentrer sur la nourriture et les étiquettes, essayez de parler à des amis ou d’écouter de la musique ».

Comme ces recherches l’indiquent, il est possible de conditionner un patient à prendre les bonnes décisions alimentaires lors de phases de déprime ou de détresse psychologique, et ainsi éviter de compenser ou de se réconforter dans la nourriture.

La clé résiderait donc dans la capacité à penser au futur et à se tourner vers l’avenir, afin de se concentrer sur de meilleurs jours à venir et les conséquences de mauvais choix alimentaires, et non sur ce gâteau au chocolat disponible au présent.

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Un défi boîte à lunch santé qui influence les habitudes alimentaires des enfants

Selon ce que rapporte Medical News Today, les enfants prennent rapidement du poids pendant le congé scolaire d’été. Le choix d’aliments des parents est le grand responsable.

Un groupe de chercheurs de l’Université de la Caroline du Sud a décidé d’utiliser les programmes de camps de jour d’été pour remédier à la situation.

Ils ont établi le Healthy Lunchbox Challenge (HLC), une théorie innovatrice basée sur la récompense lorsque les enfants apportent les bons aliments dans leur boîte à lunch. Le programme a été déployé à grande échelle et a donné d’excellents résultats.

Le HLC est peu coûteux, et donc très facilement adaptable à n’importe quel camp de jour. Il contient 2 volets : l’enseignement des bonnes pratiques aux parents et éducateurs, puis le programme incitatif pour les enfants.

Michael W. Beets et ses collègues, responsables de l’étude, ont obtenu des résultats très probants. Sur les 2000 enfants observés, la moitié participait au HLC. Ceux-ci ont apporté en proportion 12 % plus de fruits frais et 11 % plus de légumes. Ils ont aussi noté une forte participation des employés des camps de jour et une grosse diminution des collations inappropriées (31 %).

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Hausse des cas d’accidents de la route liés à la marijuana aux États-Unis

The National Library of Medicine rapporte des statistiques alarmantes démontrant une hausse significative des cas d’accidents de la route mortels liés à la consommation de marijuana, au cours des dix dernières années.

Ironiquement, la publication de ces statistiques en provenance des États-Unis survient au même moment où certains États américains viennent de légaliser le cannabis, notamment au Colorado et à Washington.

Selon les informations proposées par des chercheurs de l’Université Columbia, les accidents mortels liés à la consommation de cette drogue douce auraient triplé au cours de la dernière décennie.

« En ce moment, un conducteur sur neuf impliqué dans un accident de la route mortel serait testé positivement à la marijuana. Si la tendance se maintient, dans cinq ou six ans, les drogues auront dépassé l’alcool comme substance la plus impliquée dans les décès à survenir sur les routes », s’inquiète le Dr Guohua Li.

Le cannabis est donc de loin la substance qui affiche la plus grande progression à ce chapitre, un phénomène auquel il faudra s’attaquer vigoureusement, selon les chercheurs de Columbia.

L’un des principaux problèmes des autorités est la difficulté à créer et mettre sur pied des tests de dépistage. On estime cependant que de sérieuses percées pourraient être effectuées en ce sens au cours des cinq prochaines années.

Ces révélations ont été publiées en ligne dans l’American Journal of Epidemiology.