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La saveur des aliments s’avère parfois une supercherie du cerveau

Voici une étude et des révélations surprenantes et fascinantes sur les réactions de l’humain face à ses plats favoris.

En effet, Science Daily rapporte des propos du chercheur et docteur Terry E. Acree, qui décrit le rôle du cerveau sur la façon dont on perçoit, sent et goûte les aliments.

Selon le spécialiste, le cerveau peut y aller d’une supercherie monstre lorsque vous êtes placé devant divers aliments, des réactions qui peuvent être influencées par vos propres appréhensions et expériences.

Ainsi, on pourrait « créer » des saveurs et des odeurs, en fonction de nos attentes.

« Il y a des années, le goût était constitué de deux facteurs : la saveur et l’odeur. Maintenant, on commence à comprendre que la saveur dépend des parties du cerveau qui impliquent le goût, l’odorat, le toucher et la vue. La somme de tous ces signaux, en plus de nos expériences passées et de nos émotions, peut faire varier la perception des saveurs, et déterminer si on va aimer ou détester un aliment », explique Acree, convaincu.

Il explique aussi que l’on peut donc « voir » les odeurs, et que notre perception de ce qu’un aliment ou un vin, par exemple, « devrait goûter » change carrément la façon de le percevoir ensuite.

Fascinant!

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L’équipe de Justin Bieber s’ennuie de Selena Gomez

Alors que Selena Gomez vient de dévoiler des photographies qui risquent de faire réfléchir Justin Bieber, l’équipe entourant l’interprète de One Less Lonely Girl affirme s’ennuyer de la jeune chanteuse.

Gomez avait une excellente influence sur la jeune superstar, selon ce que l’on comprend des propos rapportés par Music-News.

Une influence sans laquelle Bieber semble à peine pouvoir fonctionner, comme l’indique ce fameux retard de deux heures pour un concert à Londres, ainsi que plusieurs photographies compromettantes publiées récemment. Sa prétendue consommation de marijuana fait d’ailleurs beaucoup jaser.

Bref, il semble que le jeune chanteur se cherche sans sa flamme, qui semble quant à elle se porter à merveille.

« Ils (les membres de l’équipe) pouvaient demander à Selena de le convaincre de ce qu’il devait faire. Il n’écoutait qu’elle », explique une source.

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Sky Blu, de LMFAO, parle de son nouvel album solo

L’une des deux moitiés de LMFAO, Sky Blu, a dévoilé certains détails de son album à paraître, un effort solo.

C’est Billboard qui rapporte les propos de l’artiste de 26 ans, alors qu’il parle des diversités de son style et de sa volonté à sortir de sa zone de confort. Selon Sky Blu, les fans peuvent s’attendre à retrouver diverses influences sur le disque, notamment de rock, de pop, et de hip-hop.

« Ça va définitivement vous démontrer le spectre de qui je suis et de ce que je fais, parce que je veux vraiment être excellent dans ce que je fais. Je ne veux pas simplement être connu pour Shuffling. J’aime ça, mais ce n’est que le début de l’héritage musical que je veux laisser. », explique le membre de LMFAO.

On sait déjà que Mark Rosas, The Cataracs et PartySquad collaborent avec Sky Blu pour cette nouvelle production, et un premier simple est déjà en ligne (Pop Bottles).

Sky Blu pourra-t-il égaler le succès remporté par LMFAO? Nous le saurons bientôt (4 juillet).

Découvrez Pop Bottles

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Paramore parle de son nouvel album

Paramore a décidé d’en dire davantage concernant son nouvel album et ses influences, des propos que rapporte NME.

Pour le groupe, ce quatrième album reflète parfaitement la progression de chacun des membres en tant qu’individu. Ceux-ci n’ont pas peur de leur conviction, admettant que plusieurs artistes influencent leur travail, et ce, peu importe le style.

Lorsque questionné à ce sujet, le guitariste Taylor York lance : « J’aime toujours les groupes bizarres. Il y a un groupe qui s’appelle les Dutch Uncles que j’aimais beaucoup, et Alt-J était aussi une grande influence. J’ai écouté pas mal l’album de Frank Ocean aussi. J’ai comme un déficit d’attention en matière de musique et je me promène un peu partout ».

Hayley Williams, quant à elle, parle du choix de nommer simplement ce nouvel opus Paramore.

« Cet album se veut une réintroduction du groupe envers nos fans, mais aussi envers nous-mêmes. Nous sommes vraiment devenus un groupe différent et des gens différents au fil des dernières années. On a eu le temps de grandir et de comprendre qui nous sommes », explique la chanteuse, plus mature et enthousiaste.

L’album Paramore promet donc d’être inspiré et réussi.

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De l’électro pour Mumford & Sons?

Ce qui semblait originalement n’être que de vulgaires rumeurs commence à faire du chemin sur la Toile, alors que le chanteur de Mumford & Sons confirme maintenant la volonté du groupe de garder un esprit ouvert et de se tourner vers des éléments électroniques pour son prochain album.

Bien que cela a de quoi surprendre (et apeurer), il ne faut sans doute pas s’inquiéter outre mesure du côté des fans de la formation.

C’est que, selon ce que rapporte NME, Marcus Mumford parle simplement d’ajouter certaines instrumentations électros, comme des synthétiseurs. Probablement pas de quoi fouetter un chat, puisque la sonorité folk de Mumford & Son, qui a fait sa marque, n’est sans doute pas en péril.

« Nous avons toujours fait ce que nous ressentons, plutôt que de réfléchir trop longtemps avant d’agir, et nous ferons ce qui remplit nos âmes pour la suite… même si ça veut dire utiliser une guitare électrique ou un synthétiseur. C’est dangereux pour nous de discuter de ça concernant le troisième album, mais nous avons vraiment de grandes ambitions et ne voulons pas rester confinés dans un style trop précis. Nous ne serons pas le groupe qui va se tenir debout “pour le folk” ou encore pour la musique organique », déclare le chanteur, qui cherche visiblement à conserver sa liberté créatrice.

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L’influence de l’environnement familial sur le développement cérébral de l’enfant

En résumé, ce que la recherche démontre, c’est que les enfants qui gravitent dans un environnement stimulant et enrichissant, notamment en relation avec les livres à leur disposition, ont un cortex cérébral plus mince en vieillissant.

D’autre part, tel que le rapporte myhelthnewsdaily.com, un cortex cérébral plus mince (couche externe du cerveau) est associé à une plus grande intelligence lors de tests afférents.

Brian Avants, professeur adjoint en radiologie à l’University of Pennsylvania, explique : « Le temps que nous passons en compagnie de nos parents, avant l’âge scolaire, influence directement le reste de notre vie ».

Pendant le processus de recherche, 64 personnes ont été suivies pendant plus de 20 ans. Leur environnement, pendant la petite enfance, avait été évalué, puis au fil des ans, des imageries par résonnance magnétique ont été produites à différents stades.

Avants explique la signification de l’amincissement du cortex : « En vieillissant, les parties les plus utilisées du cerveau éliminent un plus grand nombre de cellules, afin de conserver celles qui se spécialisent. Plus la zone est mince, plus elle est spécialisée dans certaines tâches ».

Ainsi, les enfants ayant été les plus stimulés dans la jeune enfance présentaient un cortex cérébral beaucoup plus mince vers l’âge de 18 à 20 ans.

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Les scènes osées à l’écran influencent la sexualité des adolescents

(Relaxnews) – Sans grande surprise, une étude menée par des psychologues américains, et publiée dans la revue Psychology Science, a montré que les adolescents exposés à des scènes de sexe à la télé ou au cinéma étaient plus susceptibles de passer à l’acte à un plus jeune âge et avec un plus grand nombre de partenaires.

Des chercheurs du Dartmouth College, au New Hampshire, ont mené leur étude à partir de 700 films à succès chez les ados, parmi lesquels American Beauty et American Pie. Leurs résultats ont montré qu’en plus d’avoir une activité sexuelle plus jeune, les ados qui avaient vu ce genre de films étaient moins susceptibles de mettre des préservatifs lors de rapports sexuels occasionnels.

L’étude a pris en compte 1200 enfants âgés de 12 à 14 ans. Les psychologues leur demandaient de nommer les films qu’ils avaient vus, dans une liste de 50 titres pris au hasard. Et ce n’est que six ans plus tard qu’on les questionnait sur leur sexualité.

À la suite de ces résultats, le professeur Ross O’Hara, responsable de l’étude, a suggéré que « les parents devraient limiter les contenus à caractère sexuel que leurs enfants voient dans les films ».

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Le surpoids chez l’enfant est-il réellement lié à la défaite scolaire?

À en croire les dires de la Dre Stephanie von Hinke Kessler Scholder de l’Université de York, lorsqu’un enfant obèse n’obtient pas de bons résultats scolaires, il ne faudrait pas mettre la faute sur son surpoids, mais plutôt sur des éléments environnementaux qui peuvent influencer le poids infantile, comme le statut socio-économique de la famille.

L’Economic and Social Research Council (ESRC) britannique appuie la spécialiste qui « a voulu vérifier si l’obésité entrave directement la performance ou si les enfants obèses réussissent moins bien en raison d’autres facteurs confondants, associés également à l’obésité, comme les niveaux d’éducation ou de revenus de la famille ».

En explorant les données et l’ADN d’environ 4000 enfants participants à l’étude Children of the 90s Birth Cohort Study et en découvrant deux marqueurs génétiques importants qui permettent de pointer du doigt les jeunes qui sont prédisposés à l’obésité, l’experte a pu conclure que les enfants obèses réussissent effectivement légèrement moins bien en classe.

Toutefois, lorsque la chercheuse ne se penche que sur les marqueurs génétiques de l’obésité et ne tient pas compte d’autres facteurs environnementaux, elle ne trouve aucune preuve de cause à effet entre l’obésité et le succès ou la défaite scolaire.

Voilà pourquoi la recherche doit se poursuivre, pour prouver plus en détail que des éléments comme la classe socio-économique de la famille, par exemple, peuvent être des facteurs qui ont plus d’impact sur les résultats scolaires que le poids de l’enfant.

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Comment faire pour que son enfant mange bien?

Des chercheurs de l’Université du Michigan révèlent dans l’American Journal of Clinical Nutrition que les enfants des mères qui se goinfrent de malbouffe ont un mauvais exemple et ainsi plus de risques d’adopter de mauvaises habitudes alimentaires.

Les mères qui sont restrictives, crient ou obligent leurs enfants à manger certains aliments risquent de connaître un moins grand succès que celles qui amadouent et encouragent, explique l’auteure principale de l’étude et professeure experte en nutrition, Sharon Hoerr, qui a observé les habitudes alimentaires de familles à faible revenu.

Mme Hoerr affirme que les femmes qui désirent voir leurs enfants bien manger devraient fournir un environnement alimentaire sain à la maison. Ainsi, elles ne seraient pas obligées de restreindre, contrôler secrètement ou surveiller leurs petits, tentés par la malbouffe.

Elle rappelle qu’interdire certains aliments à l’heure du repas peut conduire l’enfant à mal se nourrir, mais aussi à devenir difficile. Avec ce type d’enfants, il est mieux d’expliquer doucement l’importance de bien manger que de forcer ou de crier.

Maintenir un horaire régulier pour les heures de repas et donner de petites collations santé fréquentes durant la journée favorise également la situation, tout comme faire participer les enfants à faire le marché, cuisiner ou faire pousser des légumes dans la cour.

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L’amitié influence-t-elle l’activité physique durant la petite enfance?

Selon une petite recherche effectuée par Eric Tesdahl, un étudiant diplômé du département en développement humain et organisationnel de l’Université Vanderbilt, les enfants semblent vouloir bouger davantage s’ils sont entourés ou ont des amis actifs, et l’inverse est vrai aussi.

Pour donner l’occasion aux enfants moins actifs de s’activer ou vice-versa, l’auteur de l’étude propose que lors de la pratique de sports, les enfants moins actifs soient regroupés avec des enfants plus actifs, pour influencer leur comportement sédentaire et leur permettre de changer leur vision des choses et leurs habitudes de vie.

Le spécialiste croit que ce « regroupement » aurait de bonnes chances d’influencer la situation, car sa recherche suggère que les enfants sont influencés par leurs pairs, tentent de s’imiter entre eux et ajustent leur niveau d’activité physique selon leurs proches. Ils auraient tendance à augmenter ou diminuer de 10 % leur pratique quotidienne d’activité physique selon le genre d’amis qui les entourent.

L’étude publiée en ligne le 28 mai dans Pediatrics ne prouve cependant pas si l’amitié peut avoir une incidence directe sur la façon dont les enfants sont portés vers le sport, sur le niveau d’obésité ou sur le nombre d’heures d’activité physique pratiquées quotidiennement.

Pour arriver à ces résultats, des dispositifs appelés accéléromètres ont permis de calculer le niveau d’activité physique après les cours, lors de programmes parascolaires, et ce, durant trois mois auprès de 81 enfants majoritairement hispaniques et noirs âgés en moyenne de 8 ans.