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Des déclarations qui influencent la performance des enfants

« Les garçons sont meilleurs en mathématiques », « Les arts sont pour les filles », « Tu es si bon en hockey, ne fais pas de soccer » sont des déclarations ou des stéréotypes de la part de parents ou d’adultes qui peuvent faire en sorte de saper les talents d’un enfant.

Une étude de l’Université de Guangdong en Chine et de l’Université Carnegie Mellon en Pennsylvanie, publiée dans la revue Psychological Science, a tenté de prouver que certains dires poussaient les enfants à s’asseoir sur leurs lauriers, à tenir pour acquis qu’ils excellent dans une tâche et à ne pas expérimenter certains domaines, faute de bon jugement.

« Certains enfants croient que leur capacité à accomplir une tâche est dictée par la quantité de talent naturel qu’ils possèdent pour cette tâche », a déclaré Andrei Cimpian, le directeur de l’étude.

Pour le spécialiste, la société envoie un message erroné en encourageant les enfants à croire que le succès dépend essentiellement du talent inné et a peu à voir avec des facteurs sur lesquels ils peuvent avoir le contrôle, comme « effectuer des efforts pour arriver à un but ».

Il a été démontré, dans cette étude réalisée auprès d’enfants de 4 à 7 ans, que ces derniers avaient plus de difficulté à accomplir une tâche à la suite de déclarations douteuses.

Les chercheurs appellent à la prudence dans les propos des adultes qui participent à l’éducation d’un enfant.

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Quels enfants deviendront des joueurs compulsifs?

Bien que le lien de cause à effet soit minime et très faible, il a tout de même été démontré que certains petits, aussi tôt qu’à l’âge de trois ans, qui sont jugés comme agités, inattentifs, de mauvaise humeur et ayant un goût accentué pour l’opposition, sont plus à risques de souffrir de trouble du jeu pathologique plus tard.

Lors d’une évaluation de 90 minutes, 1037 enfants néo-zélandais de trois ans ont été classés selon leur tempérament dans divers groupes, écrit la revue Psychological Science.

À l’âge de 21 et 36 ans, 939 petits devenus grands ont répondu à des questionnaires sur le comportement du jeu.

À 21 ans, 86 % des répondants avaient déjà joué, mais seulement 13 % pouvaient qualifier leur « passion » de problématique pour leur vie personnelle, professionnelle et leur santé financière.

À 36 ans, il ne restait qu’un faible 4 % des participants qui étaient pris dans le même piège dévastateur. Parmi eux, il y avait davantage d’hommes que de femmes, tout comme durant la petite enfance.

Selon les chercheurs, les enfants qui n’ont pas de contrôle sur leurs émotions peuvent être plus vulnérables aux tentations à l’âge adulte.

« La maîtrise de soi dans la petite enfance est liée à des résultats importants dans la vie à l’âge adulte », a déclaré la psychologue Wendy S. Slutske, mentionnant notamment l’importance des programmes pour enfants de plus en plus présents qui donnent l’exemple au bambin de comment agir dans la société (comportement avec autrui, faire un budget, etc.).

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Le comportement des parents influence la collaboration des enfants

Une étude de l’Université Concordia, publiée dans le journal Child Development, est la première à démontrer que la capacité à collaborer, bien agir et apprendre d’un enfant dépend du comportement de ses parents.

Pour l’adulte, interagir avec son enfant, répondre positivement lorsqu’il requiert de l’attention et lui faire comprendre ce qui peut promouvoir la collaboration permet au jeune d’avoir le goût de collaborer rapidement et hâtivement avec ses parents et dans la société, affirme Marie-Pierre Gosselin, candidate au doctorat en psychologie et auteure de l’étude.

Deux observations ont été réalisées, alors que des parents et leurs enfants se sont retrouvés dans la même pièce. La première occasion a exigé des parents qu’ils répondent à un questionnaire et soient attentifs. Pendant ce temps, il a été prouvé que le parent qui prenait une pause de son action pour répondre à l’enfant en manque d’attention ou pour lui expliquer calmement de patienter obtenait une meilleure collaboration et un respect de l’enfant, comparativement à celui qui poursuivait son questionnaire sans lever les yeux et devait faire face à un enfant criard et plaintif.

Le même scénario positif s’est répété à la deuxième analyse, où le parent devait faire un geste répétitif avec un ballon. Celui qui avait expliqué à son enfant ce qu’il faisait a permis à son petit d’être en mesure d’imiter le geste avec le ballon par la suite.

Mme Gosselin encourage donc les parents à se dire que ce n’est pas tant la quantité que la qualité de l’attention donnée à l’enfant qui donnera de bons résultats et des jeunes plus motivés à collaborer dans sa vie.

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Obésité infantile : tout commence dans l’utérus

Vous faites de l’exercice, vous mangez bien et vous ne réussissez pas à perdre vos kilos en trop. Que se passe-t-il? Il se pourrait bien que vous puissiez blâmer votre mère de votre état actuel.

En effet, des chercheurs de l’Université de Newcastle ont analysé les gènes d’enfants âgés de 9 à 11 ans et ont découvert qu’il est possible d’être programmé à devenir gros, pendant que le bébé est dans l’utérus.

Il semblerait que si la mère ne faisait pas beaucoup d’exercice, ne mangeait pas bien, fumait, prenait de l’alcool et était même exposée à des polluants, cela active et fait monter des gènes.

C’est en recherchant des gènes de même lettre que les experts se sont aperçus que chez les enfants avec un surplus de poids, les gènes se comportaient différemment comparativement à ceux qui étaient minces.

À la naissance, les enfants qui ont développé du surpoids quelques années plus tard affichaient déjà des marques chimiques différentes à leur ADN.

Toutefois, ces marques chimiques sont ouvertes au changement si la personne responsable (mère) modifie son mode de vie.

Les résultats se retrouvent dans la revue PLoS Medicine.

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Obésité infantile : parents, perdez du poids!

C’est ce que révèlent des chercheurs de l’Université de Californie, San Diego School of Medicine, et de l’Université du Minnesota dans la revue Obesity.

À défaut de changer l’alimentation de son enfant, de l’inscrire à des cours d’activité physique et autres, si les parents ne perdent pas de poids et n’appliquent pas eux-mêmes ces changements dans leur vie, l’obésité ne diminuera pas chez l’enfant, qui a besoin d’être influencé et d’avoir un exemple.

En outre, l’élément clé d’une perte de poids réussie chez le jeune repose sur la perte de poids de ses parents.

Selon les chercheurs, « les parents sont les personnes les plus importantes dans l’environnement de l’enfant. Ces derniers jouent un rôle d’enseignants ».

C’est en évaluant trois types différents de comportement parental pendant cinq mois, auprès de 80 groupes parents-enfants obèses ou avec un surplus de poids et âgés de 8 à 12 ans, que les chercheurs ont conclu que seule une modification de l’indice de masse corporelle chez l’adulte pouvait produire des changements bénéfiques de poids chez l’enfant.

Conformément à des études publiées antérieurement, inciter le parent à maigrir sainement est le facteur prédictif d’une perte et d’une bonne gestion de poids chez l’enfant.

Selon les derniers chiffres, aux États-Unis, 31 % des enfants souffrent d’un surplus de poids important, et cette tendance semble vouloir se propager davantage au Canada.

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L’âge des parents influence le développement de l’autisme

Selon des chercheurs danois de Cambridge et leur étude publiée dans la revue Annals of Epidemiology, le risque d’autisme est jusqu’à 27 % plus élevé chez ces derniers que pour ceux qui ont des parents plus jeunes.

Les parents plus âgés sont maintenant considérés comme à « risque accru » de développement de l’autisme chez les enfants.

Initialement, l’âge de la mère semblait importer davantage, mais les chercheurs ont constaté que le risque posé par l’âge de la mère et celui du père sont maintenant pratiquement les mêmes.

Cependant, si les deux parents sont plus vieux que 35 ans au moment de la conception, le risque de donner naissance à un enfant autiste n’est pas plus élevé que si un seul d’entre eux est avancé dans la trentaine.

Toutefois, il y a un autre constat. Si l’un des parents a moins de 35 ans et l’autre en a plus de 40, le risque d’autisme chez l’enfant à naître est plus grand quand c’est la mère qui est plus âgée (65 %) plutôt que le père (44 %).

Rappelons que l’autisme, selon des spécialistes, pourrait être lié à des changements naturels qui se produisent à la fois dans les ovules et le sperme lorsque les gens vieillissent.

Caroline Hattersley, de la National Autistic Society, a déclaré : « Bien que cette recherche suggère qu’il existe un lien entre l’âge des parents et l’autisme, d’autres études sont nécessaires. Nous savons peu de choses sur la chaîne biologique des événements qui donnent lieu à l’autisme ».

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La santé des enfants influence celle des parents

Une nouvelle étude en Ohio, publiée en ligne dans le Journal of Pediatrics, a évalué le taux de cholestérol, la tension artérielle, les triglycérides et le poids de 852 écoliers.

Ils ont été réévalués 26 ans plus tard, âgés dans la quarantaine, afin de connaître l’impact que cet examen avait eu sur leur santé et celle de leurs parents, maintenant âgés d’environ 65 ans.

Les résultats ont prouvé que, globalement, les parents des 852 anciens écoliers examinés étaient environ deux fois plus susceptibles de souffrir de maladies cardiaques ou d’AVC au début de la soixantaine lorsque leur enfant avait fait de la haute pression sanguine ou avait eu des niveaux élevés de cholestérol lipoprotéines de basse densité ou de triglycérides à l’âge de 12 ans.

Et quand les enfants souffraient d’un surpoids, les chances que leurs parents développent un diabète ou de l’hypertension artérielle doublaient. Même principe pour les enfants devenus grands.

Puisque la plupart des adultes ne vont pas fréquemment rencontrer un médecin, les chercheurs pensent que certains problèmes de santé chez les parents pourraient être évités grâce aux examens annuels de leurs enfants.

Selon de nouvelles directives approuvées par les Instituts nationaux américains de la santé, les enfants devraient d’ailleurs avoir un test pour le cholestérol entre 9 et 11 ans, et de nouveau entre 17 et 21 ans.

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Certains facteurs à la naissance peuvent influencer le développement du syndrome métabolique

Une personne est atteinte du syndrome métabolique lorsqu’elle possède une combinaison de 3 risques particuliers ou plus pour la santé.

Chacun de ces facteurs peut augmenter le risque de contracter le diabète, une maladie cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Toutefois, le risque est grandement augmenté lorsque ces variables sont combinées.

Une étude grecque estime que la prévalence au syndrome métabolique durant l’enfance et l’adolescence a augmenté ces dernières années, passant d’environ 2 % dans le milieu des années 1990 à environ 10 % aujourd’hui, notamment aux États-Unis et en Europe occidentale.

Précis à 98 % dans l’identification du syndrome métabolique pendant l’adolescence, l’évaluation des 3 facteurs à la naissance permet de faire croire aux auteurs de l’étude que cela pourrait servir de test complémentaire, comme un test de dépistage précoce après la naissance.

Cependant, avant d’évaluer tous les bébés naissants, d’autres précisions doivent être apportées à plus grande échelle, et d’autres points doivent être évalués pour connaître l’influence sur le profil métabolique, tels que le niveau d’éducation parentale, le statut socioéconomique et l’exposition à la fumée secondaire à la maison.