Catégories
Uncategorized

Les bénéfices du vaccin contre la grippe pour les bébés

Plusieurs ont cru jusqu’ici que le vaccin contre la grippe était inefficace pour les bébés. Or, les études concordent pour révéler qu’il y a des avantages financiers à les faire vacciner.

Cela est dû au fait que les bébés de moins de deux ans ont le plus haut taux de contagion de la grippe. Ils ont ainsi tendance à la transmettre à leur famille et à la population en général.

Des chercheurs de l’Hôpital universitaire de Turku, en Finlande, ont observé 631 enfants âgés de 9 à 40 mois qui avaient contracté l’influenza de type A ou B.

D’après leurs résultats parus dans The Lancet Infectious, les vaccins seraient efficaces à 66 % en général et à 84 % contre la grippe A.

Ces chercheurs souhaitent que les autorités des autres pays envisagent l’obligation de vacciner les très jeunes enfants, la Finlande étant l’unique pays d’Europe à recommander la vaccination à partir de 6 mois, et ce, jusqu’à 35 ans.

Catégories
Uncategorized

Un vaccin pour les femmes enceintes

La Dre Anne Schuchat, du Centre de contrôle et de prévention des maladies infectieuses aux États-Unis, recommande que les femmes enceintes et les nouveaux parents soient vaccinés contre l’influenza A (H1N1) afin de se protéger eux-mêmes et leurs enfants.

Cette vaccination devrait être effectuée, peu importe le stade de la grossesse. Déjà, plusieurs États américains procèdent à des campagnes de vaccination contre la grippe saisonnière et les autorités sanitaires attendent avec impatience la distribution du nouveau vaccin contre la grippe H1N1, qui devrait être sur le marché en octobre prochain.

Rappelons que l’on recommande de se faire vacciner pour la grippe saisonnière et pour la grippe H1N1, sans attendre de recevoir les deux vaccins en même temps.

Catégories
Uncategorized

Le Tamiflu, déconseillé aux enfants

Une recherche, dont les résultats complets sont publiés dans le British Medical Journal, prétend que les médicaments antigrippe, notamment le Tamiflu, ne devraient pas être administrés aux enfants dans le but de les traiter contre l’influenza.

Selon l’un des auteurs de cette étude, le Dr Carl Henegan, médecin généraliste et expert du John Radcliffe Hospital à Oxford (Royaume-Uni), les effets secondaires de tels médicaments prennent le pas sur les bienfaits chez les petits.

En analysant les inhibiteurs de la neuraminidase chez les enfants, les scientifiques ont conclu que le Tamiflu risque de causer des vomissements pouvant conduire à une déshydratation et entraîner des complications.

Le médicament n’augmente toutefois pas le risque d’asthme et d’otites.

Catégories
Uncategorized

Le vaccin contre la grippe A (H1N1) pour tous?

Margaret Chan, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), déplore que les pays riches aient priorité au vaccin contre l’influenza A (H1N1) au détriment des pays défavorisés.

Les doses du vaccin, lequel ne sera offert qu’à l’automne prochain, seront achetées par les plus offrants, mais Mme Chan croit que cette inégalité est déplorable, d’autant plus que « tous les pays vont avoir besoin du vaccin ».

Dès la semaine prochaine, plusieurs scientifiques se donnent rendez-vous à Toronto afin d’établir un programme visant une meilleure équité dans la distribution du fameux traitement.

Au Canada, une certaine hiérarchie existe déjà et précise que le personnel en milieu hospitalier, souvent en contact avec le virus, a priorité pour être vacciné contre la grippe A. Viennent ensuite les groupes plus à risque comme les femmes enceintes et les personnes atteintes de maladie chronique.

Catégories
Uncategorized

Le virus A (H1N1) persistant

Deux recherches menées par des équipes de chercheurs des U.S. Centers for Disease Control et de l’Erasmus Medical Center à Rotterdam, aux Pays-Bas, arrivent à la conclusion que le virus de l’influenza de type A (H1N1) va muter, ce qui facilitera sa transmission.

Selon l’un des auteurs, le Dr Daniel Perez, malgré toutes les mesures entreprises par les autorités de santé publique, le virus va continuer de s’adapter et n’est pas près d’être éradiqué complètement.

Jusqu’à présent, 77 000 cas de grippe H1N1 ont été diagnostiqués à l’échelle mondiale et 322 personnes en sont mortes, selon les dernières statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

La directrice par intérim du Programme sur les épidémies et pandémies de grippe de l’OMS, Sylvie Briand, a expliqué pourquoi la pandémie ralentit : « En effet, les virus grippaux survivent mieux au froid qu’au chaud. L’autre élément important est la densité de contact entre les gens. Les enfants sont en vacances et on n’a plus ces phénomènes d’épidémie en milieu scolaire comme on a eu aux États-Unis au début de l’épidémie. »

Catégories
Uncategorized

Grippe H1N1 : un premier décès au Québec

Une femme âgée de plus de 65 ans de la région de Québec est décédée vendredi dernier (5 juin) après avoir contracté le virus H1N1, nous a appris le Dr Alain Poirier, directeur national de la santé publique.

Il s’agit du premier décès au Québec, alors que plus de 540 cas ont été répertoriés jusqu’ici.

La dame était « apparemment en bonne santé » et s’est présentée à l’hôpital pour un problème respiratoire aigu. Après un traitement de trois jours contre une pneumonie bactérienne, une analyse a finalement révélé que la patiente avait contracté l’influenza A (H1N1).

Bien que la patiente n’ait pas voyagé au cours des derniers mois, son entourage est surveillé de près, soutient le Dr Poirier.

« Les mesures ne changent pas. L’évolution est plus triste dans ce cas-ci. On parle d’un premier décès sur plus de 500 cas. Dans une année d’influenza saisonnière, on peut aller jusqu’à quelques milliers de décès. C’est une triste histoire pour la famille, mais pour les mesures générales à la population, il n’y a pas de changement », a conclu M. Poirier.

Catégories
Uncategorized

Bientôt une pandémie de grippe A (H1N1)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) écarte de moins en moins la possibilité d’une pandémie de grippe A (H1N1) à l’échelle mondiale.

Selon M. Keiji Fukuda, directeur général adjoint de l’OMS, le virus a commencé à se propager en dehors du continent américain, notamment au Royaume-Uni, au Japon, au Chili et en Australie.

« Il est clair que le virus semble se propager au niveau international. Nous savons qu’un certain nombre de pays sont en phase de transition, avec un passage de cas liés à des voyages [dans des pays affectés] vers un établissement plus marqué [du virus] au sein de la population », a mentionné M. Fukuda.

Ainsi, le niveau d’alerte, qui est en ce moment à 5, pourrait grimper à 6, ce qui représente le niveau maximal et signifie une alerte pandémique.

Catégories
Uncategorized

L’immunité des personnes âgées

Le Dr Daniel Jernigan prétend que les personnes âgées sont moins vulnérables devant le virus de l’influenza A (H1N1) parce qu’elles ont été potentiellement en contact avec d’autres souches du même virus en 1957.

« Plus on remonte dans le temps, plus il y a des risques qu’une personne ait été exposée au virus H1N1. Il y a aussi une possibilité qui veut qu’une exposition au virus il y a de cela des années ait provoqué une réaction immunitaire qui protège aujourd’hui contre le virus H1N1 », a fait savoir le scientifique.

Malgré la présence d’anticorps dans le sang des personnes âgées face au virus, M. Jernigan croit toutefois qu’il faut agir avec prudence avec ces résultats et que nous sommes encore bien loin d’un vaccin pour traiter les cas d’infection de la grippe A (H1N1).

Rappelons que le virus H1N1 actuel se rapproche de celui de la grippe espagnole de 1918 qui avait provoqué le décès de 20 à 50 millions de personnes à travers le monde.

Catégories
Uncategorized

Une meilleure compréhension de la grippe A (H1N1)

Une équipe de chercheurs associés au Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg a réussi l’exploit d’identifier la séquence génétique du virus de la grippe A (H1N1).

Selon eux, la souche du virus présente au Canada est la même que celle qui a causé 29 décès au Mexique.

Grâce à cette découverte, la communauté scientifique pourra se pencher sur une cure et tenter de comprendre pourquoi les cas au Canada n’ont pas mené à un décès, contrairement à ceux du Mexique.

Jusqu’ici, 165 diagnostics ont été confirmés au Canada depuis la mi-avril. Dans la majorité des cas, il s’agit d’infections bénignes de la maladie qui n’ont pas nécessité d’hospitalisation.

Catégories
Uncategorized

Un premier cas de grippe porcine au Québec

Le virus de l’influenza A (H1N1), communément appelé grippe porcine, a touché une première personne au Québec. Il s’agit d’un Montréalais dans la trentaine qui s’est présenté à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont après un séjour au Mexique, selon ce que rapporte Cyberpresse.ca.

« La personne n’a pas été hospitalisée. Elle se rétablit actuellement à la maison », a mentionné Mme Dominique Breton, la porte-parole du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS).

Le MSSS ne divulguera que les cas d’infection confirmés et non tous ceux qui sont sous analyse.

Au Canada, la progression des cas d’infection au virus se poursuit alors que les autorités de la santé en enregistrent 34, ce qui a pour conséquence le déploiement d’un plan d’action partout au pays.